Rétention séminale : jusqu'où peut-on aller sans craquer ?

Une discipline : quels sont les confins de la spiritualité et de la chair

La rétention séminale est une pratique qui suscite à la fois fascination, scepticisme et respect. Si certains y voient une forme de privation sexuelle inutile, d’autres y trouvent un chemin de transcendance, une méthode pour canaliser l’énergie vitale vers des sommets spirituels ou intellectuels. Mais cette démarche exige une rigueur mentale extrême, une capacité de résistance hors du commun face aux sollicitations incessantes du désir. La question cruciale que posent ceux qui s’y lancent est souvent la même : rétention séminale combien de temps peut-on tenir avant que le corps ou l’esprit ne cède ?

Dans le cas présent, l’individu concerné en est à son 92e jour. Pas un écart, pas une goutte. Plus de trois mois à contenir l’élan le plus puissant de la biologie masculine, dans une quête qui dépasse de loin les simples ambitions charnelles. Il s’est engagé dans ce processus comme on entre dans une guerre : sans retour possible, sans compromis, sans pitié pour la moindre faiblesse. Pourtant, il s’apprête à entrer dans l’une des zones les plus dangereuses de la planète pour un homme en rétention : l’Asie du Sud-Est. Là où les femmes ressemblent à des fleurs de frangipanier, irrésistibles, hypnotiques, et, selon ses mots, capables de faire tomber même les plus déterminés.

Beauté omniprésente, tentation constante

Ce n’est pas seulement une épreuve mentale. C’est un siège, une guerre de nerfs. L’homme vit dans une région de France où la tentation ne manque pas : Montpellier. Bord de mer, climat chaud, nudisme assumé, étudiantes venues de tout le pays. La beauté y est banale, la séduction permanente. Dans ce contexte, sa capacité à rester maître de sa semence relève du miracle. Il affirme même avoir un tel magnétisme qu’il attire non seulement les femmes, mais aussi les animaux femelles. Les chiennes, les ânesses, toutes viendraient vers lui, happées par une énergie mystérieuse, une aura que lui-même attribue à la puissance de son énergie conservée.

Rétention séminale combien de temps avant que ce genre de pression quotidienne ne fissure la carapace du plus stoïque ? Voilà la question. Il n’a pas craqué. Pas une fois. Il en a même fait un mode de vie. Et désormais, il s’apprête à affronter une épreuve encore plus brutale : les femmes asiatiques, réputées pour leur grâce, leur mystère, et cette capacité ancestrale à captiver l’homme occidental jusqu’à le rendre dépendant.

La fièvre jaune, ce poison incurable

La « yellow fever », comme il l’appelle, est une affection étrange. Une obsession romantico-sexuelle pour les femmes asiatiques, qui s’installe sournoisement dans la psyché de l’homme étranger. Une fois atteint, dit-il, il devient quasiment impossible de retrouver un quelconque intérêt pour les femmes occidentales. Elles deviennent fades, vulgaires, dénuées de cette subtilité hypnotique qui semble émaner de chaque mouvement, chaque regard, chaque sourire d’une femme asiatique.

Rétention séminale combien de temps pourra-t-il durer au milieu de ces créatures quasi divines ? Il se prépare comme un moine-soldat. Méditation, renoncement, maîtrise de soi. Il affirme que même en France, il refuse toute implication sentimentale ou sexuelle avec les femmes locales, se contentant de relations purement transactionnelles : repas, massages, services divers. Rien de plus. Pas un atome de son énergie ne sera donné gratuitement.

Une semence considérée comme sacrée

Ce n’est pas du puritanisme. C’est une vision du monde. Pour lui, la semence masculine est une essence sacrée, un fluide énergétique porteur de force, de créativité, de pouvoir. La dépenser pour du plaisir éphémère est une hérésie. Mieux vaut l’utiliser pour nourrir son âme, renforcer son corps, clarifier son esprit. Cette logique rejoint certaines écoles anciennes, notamment indiennes ou taoïstes, pour qui la semence est un condensé de vitalité, de longévité et de transcendance.

À la question rétention séminale combien de temps peut-on aller sans nuire à sa santé ou à son équilibre, il répond : toute une vie, si nécessaire. Mais à condition que la pratique soit bien menée. Il avertit : une mauvaise gestion de cette rétention séminale peut avoir des effets désastreux. Tensions, frustrations, pertes d’énergie mentale, voire troubles physiques. D’où l’importance d’un accompagnement ou d’une formation sérieuse sur ce sujet. Il envisage même d’en créer une, pour éviter aux débutants de sombrer.

La compétition sexuelle mondiale

Il établit des comparaisons. Pour lui, résister aux femmes françaises, surtout les fameuses « bobonnes Micheline », ne présente aucune difficulté. Elles sont, selon ses termes, peu attirantes, déconnectées du sacré, souvent militantes d’un féminisme qui nie l’énergie masculine. La France, pour lui, c’est la division 3 du championnat mondial de la tentation. L’Asie, c’est la ligue des champions. Un autre niveau. Il affirme que résister là-bas serait une consécration. Une preuve ultime de maîtrise de soi.

Il raconte l’avoir déjà vécu. Deux ans et demi à Singapour, plongé dans l’univers asiatique. Résultat : une perte totale d’intérêt pour les femmes occidentales. À son retour en Europe, il a fallu trois mois pour réactiver, comme un muscle atrophié, le moindre désir pour les femmes du cru. Cette rétention séminale combien de temps avait-il tenu durant cette période ? Il ne précise pas, mais on comprend que son engagement était déjà radical.

Le piège des jeunes, jolies et joyeuses

Pour lui, seules les femmes « JJJ » – jeunes, jolies, joyeuses – représentent une réelle menace pour son vœu de rétention. Les autres n’existent même pas sur son radar. Il affirme que ces femmes convoitent son énergie, son « Ojas », cette essence spirituelle indienne qui serait contenue dans la semence. Et il refuse catégoriquement de céder. Chaque tentative d’une femme pour s’emparer de cette énergie est vue comme une tentative de vol, une intrusion spirituelle.

C’est un combat. Une guerre permanente entre son énergie sacrée et les appétits du monde. Il se sent observé, traqué, sollicité à chaque instant. Mais il ne cède pas. Il sait que la moindre éjaculation, la moindre défaillance, le ramènerait en arrière dans sa progression spirituelle. Il veut s’élever, gravir les plans subtils de l’existence, s’extirper du cycle des réincarnations.

Une perspective radicale sur la réincarnation

Son système de croyance est clair : il faut évoluer spirituellement avant la mort physique, sinon on est condamné à se réincarner dans des conditions médiocres. Et selon lui, la pire des réincarnations est celle d’une femme, en particulier une féministe dégénérée. Il estime que l’incarnation féminine empêche l’évolution spirituelle. Pour lui, c’est une punition karmique. Une vision extrêmement controversée, pour ne pas dire misogyne, mais qu’il assume totalement.

Cette rétention séminale devient alors un outil pour s’assurer une réincarnation supérieure. Un corps d’homme, sain, dans un environnement spirituellement évolué. Pour cela, il faut du bon karma, et le karma s’obtient en résistant aux plaisirs faciles, en refusant de céder à l’appel des sens.

Le corps comme outil de transcendance

Il traite son corps comme un temple. Tout est calibré pour préserver cette énergie : alimentation, discipline, absence de stimuli sexuels, méditation quotidienne. La question de rétention séminale combien de temps n’est plus une question biologique, mais métaphysique. Aussi longtemps que nécessaire. Il s’agit de transformer cette tension sexuelle en puissance spirituelle.

Il parle d’élévation, d’illumination, de guidance pour les autres. Il aide, dit-il, ceux qui veulent eux aussi se libérer du cycle infernal des désirs corporels. Pour lui, la rétention n’est pas une fin en soi, mais un outil. Un outil pour aller plus haut, plus loin. Pour conquérir l’intérieur de soi-même.

Vers une nouvelle masculinité

Son témoignage s’inscrit dans un mouvement plus large : celui de la redéfinition de la masculinité. Loin des clichés de virilité toxique ou de fragilité affective, il propose une voie austère, brute, ascétique. Un homme, selon lui, ne se définit pas par sa capacité à séduire ou à posséder, mais par sa force à se contenir. Par sa puissance intérieure.

Rétention séminale combien de temps faut-il pour

atteindre ce niveau de maîtrise ? Il répond : toute une vie si nécessaire. Car il ne s’agit pas de prouver quelque chose aux autres, mais de devenir souverain sur son propre royaume intérieur.

Conclusion

Cette rétention séminale, dans cette approche radicale, n’est pas un jeu. C’est un sacerdoce. Une voie rude, solitaire, exigeante. Une guerre contre l’animalité, contre la facilité, contre la société qui glorifie l’éjaculation comme une libération alors qu’elle pourrait être, selon lui, une servitude.

Rétention séminale combien de temps peut-on tenir sans faiblir ? La vraie réponse n’est pas dans le nombre de jours. Elle est dans l’intention. Dans l’engagement. Dans la capacité à transformer l’instinct en lumière, la pulsion en direction, le sperme en sagesse.

En résistant aux fleurs de frangipanier, en défiant les JJJ, en méprisant les Micheline du Cantal, cet homme s’est fixé une mission : incarner une masculinité souveraine, inaccessible, intouchable. Une montagne qui ne cède pas aux tempêtes. Et pour lui, tant qu’il pourra contenir sa semence, il avancera. Vers l’éveil. Vers la lumière. Vers l’éternité.