Le libérisme masculiniste : manifeste d’une rupture radicale avec les codes anciens
Il se passe quelque chose. Un grondement sourd, longtemps sous-estimé, est en train de faire trembler les fondations du couple traditionnel. Ce n’est plus une simple mutation sociale. C’est une fracture. Une cassure nette entre deux époques, entre deux visions du rapport homme-femme. Et cette cassure, c’est le masculinisme en France, une onde de choc alimentée par la lassitude, le désenchantement, mais surtout par un désir brut, viscéral, de liberté.
Le déclin programmé du modèle romantique
Le vieux modèle de l’homme romantique, gentleman, protecteur, ému par la fragilité d’une femme, est en train de crever. Lentement, puis brutalement. Pourquoi ? Parce qu’il ne fonctionne plus. Parce qu’il repose sur un contrat implicite devenu obsolète : l’homme donne temps, attention, ressources ; la femme donne amour, sexualité, confort. Mais ce contrat est aujourd’hui rompu. Et l’un des grands moteurs de ce changement, c’est la lucidité brutale des hommes face à une réalité de marché : les femmes ne veulent plus seulement de l’amour – elles veulent un sponsor. Et elles l’affichent.
L’homme moyen découvre, parfois tard, souvent à ses dépens, que les règles ont changé. À 65 ans, certains continuent à croire qu’ils vont « trouver l’amour ». Le mot sonne creux. Ridicule presque. Parce que ce qu’ils trouvent, ce sont des profils Tinder où les femmes annoncent cash : “Je cherche un sponsor”. Plus de fioritures, plus d’hypocrisie. L’argent n’est plus un tabou. Il est même devenu une revendication.
De la surprise à la rupture
Ce qui choque, ce n’est pas tant que les femmes demandent de l’argent. Ce qui choque, c’est que les hommes soient encore surpris. Ils n’ont pas compris que nous sommes dans une nouvelle ère. Le masculinisme en France ne naît pas d’un fantasme de revanche. Il naît d’un ras-le-bol. D’une prise de conscience. D’un raz-de-marée d’expériences douloureuses partagées dans l’ombre, entre potes, sur les forums, dans les groupes Telegram, dans les commentaires YouTube.
Ce mouvement a un nom. Il s’appelle désillusion. Et il est radical.
Les femmes sont aujourd’hui libres, décomplexées, fières de dire qu’elles veulent de l’argent. Certaines le verbalisent sans trembler : “Je veux être une Golder.” Ce n’est pas un jugement. C’est un fait. Une femme peut dire ce qu’elle veut. Et c’est justement ça qui bouleverse tout : les hommes aussi commencent à dire ce qu’ils veulent. Et ce qu’ils veulent, ce n’est pas jouer les Romeo. Ce n’est pas jouer à la comédie du couple. Ce qu’ils veulent, c’est du concret : à genoux, tout de suite, combien ?
Le contrat implicite est mort
Le vieux deal était bancal. L’homme devait prouver qu’il était « gentil », « stable », « prêt à s’engager ». Il devait inviter, payer, séduire, attendre. En échange d’une promesse vague : peut-être, un jour, elle céderait. Ce système est mort. Terminé. Les hommes ne veulent plus payer pour de l’espoir. Ils veulent un retour sur investissement.
Quand une femme dit qu’elle veut un homme gentil, elle veut surtout une pompe à fric. Le masculinisme en France le dénonce sans détour. Le restaurant n’est plus un geste de séduction ; c’est un investissement. Et si le retour est nul, alors on arrête de payer.
Une génération entière d’hommes est en train de sortir du mythe du couple. Les chiffres le confirment : 45 % de célibataires en France. Le couple, tel qu’il était pensé, est mort. Ce qu’il reste, c’est une scène de théâtre où chacun ment à l’autre. Mais les hommes ne veulent plus jouer.
Réconcilier vérité et sexe
Et si, au lieu de ce jeu d’hypocrisie, on passait à la vérité brute ? Si l’homme disait ce qu’il veut vraiment ? Et si la femme faisait de même ? Ce serait violent, certes. Mais aussi libérateur. Certaines femmes, confrontées à cette vérité frontale, ne fuient pas. Au contraire. Elles s’ajustent. Parce qu’elles aussi veulent du vrai. De l’efficace. Pas du blabla.
Il y a des femmes qui, sans être escortes ni prostituées, acceptent la vérité nue : oui, elles veulent de l’argent. Oui, elles sont prêtes à négocier. C’est un échange. Un contrat. Et tant mieux. On sort du flou. On sort de la manipulation affective. On entre dans un monde où chacun annonce son prix, son besoin, son désir. C’est ça, le masculinisme en France : un refus de la dissimulation, une quête de clarté.
Le prix du sexe et la fin du couple
Le sexe dans le couple, aujourd’hui, a un coût. Et ce coût n’est plus moral. Il est financier. Un mariage, c’est 20 000 euros. Une relation longue, c’est des cadeaux, des restos, des voyages. Et à la fin ? Une rupture et des dettes.
La passe maritale – c’est-à-dire le coût pour coucher avec sa propre femme – peut atteindre 2000 €. Absurde. Il est temps d’arrêter. Il est temps de reconnaître que la relation amoureuse, dans sa forme actuelle, est une arnaque pour l’homme. Et que si une femme exige des dépenses, elle doit offrir une contrepartie claire. C’est un business. Et dans un business, on ne vend pas de la promesse. On vend du concret.
Fin du gentleman, début du pragmatique
On ne veut plus être gentils. On veut être efficaces. Si tu veux quelque chose de moi, dis-le. Et je te dirai ce que je veux. Il n’y a pas d’amour dans un monde où tout se négocie. Il y a des deals. Des partenariats. Et ceux qui ne veulent pas jouer ce jeu, qu’ils restent sur les bancs du romantisme mort.
Le masculinisme en France remet en question toutes les bases : le flirt, les dates, le romantisme, les fausses promesses. Il pousse à dire ce qu’on veut, ici et maintenant. Et s’il faut sortir la carte bleue, on la sort. Mais pas pour une illusion.
L’explosion des célibataires et le Big Bang relationnel
Depuis 30 ans, le célibat a explosé. Le nombre de célibataires a triplé. Pourquoi ? Parce que les hommes se retirent du marché. Ils ont compris que l’équation est perdante. Que les efforts ne mènent à rien. Qu’on leur demande toujours plus, pour moins en retour.
C’est un Big Bang. Une reprogrammation totale des relations hommes-femmes. Le féminisme a déclenché une libération des femmes. Tant mieux. Mais maintenant, c’est au tour des hommes. Ils ne veulent plus être des outils. Ils veulent être des individus libres.
Et c’est là que naît le masculinisme en France, un mouvement d’émancipation masculine aussi profond que déstabilisant.
L’éveil du libérisme masculiniste
Mais cette émancipation ne se fait pas sans douleur. Elle passe par des remises en question violentes. Par des choix difficiles. Faut-il rester freelance esclave ? Ou faut-il construire un business en ligne, même au prix de l’isolement, de la peur, du doute ?
Le libérisme masculiniste, c’est ce chemin intérieur. C’est la volonté de vivre autrement. De se libérer du salariat, du couple, des fausses promesses. C’est choisir un chemin plus difficile, plus incertain, mais aussi plus vrai. Dans les rizières d’Ubud, on trouve cette métaphore : marcher seul, au bord du vide, sans assurance, mais avec la liberté comme horizon.
Un lexique nouveau pour une nouvelle époque
Pour décrire ce mouvement, il fallait des mots nouveaux. Parce que le langage ancien ne suffit plus. Le mot “libérisme” est né de cette quête. Une aspiration à la liberté totale, sans filtre. Avec lui, des concepts comme “authentitude”, “vérisme”, “décomplexisme” apparaissent. Ils traduisent un besoin de parler vrai, d’être brut, sans masque.
Et dans ce nouveau langage, le masculinisme en France devient une évidence. Ce n’est pas une idéologie violente. Ce n’est pas une haine des femmes. C’est un mouvement d’hommes qui veulent exister autrement. Hors des rôles, hors des scripts imposés.
La nouvelle ère : des relations contractuelles et transparentes
Ce qui se joue aujourd’hui, c’est une bascule anthropologique. Une rupture franche avec les mécanismes du passé, dans lesquels l’homme devait mériter, prouver, supplier. Aujourd’hui, il exige. Il établit un cadre. Il refuse le flou. Et ce cadre, ce n’est pas de la domination, c’est de la transparence.
Il ne s’agit pas de négocier froidement chaque interaction comme un contrat commercial, mais plutôt de poser dès le départ des fondations claires. Le flou est fini. Le théâtre de la séduction aussi. À la place, un échange franc : tu veux un iPad, des vacances, un resto trois étoiles ? Très bien. Mais moi, je veux du sexe, maintenant, sans détour, sans suspense, sans engagement déguisé. Et si ça ne te convient pas, chacun sa route.
Le refus du flou, c’est le cœur même du masculinisme en France. C’est une philosophie pragmatique. Elle rejette les mensonges socialement admis et les attentes unilatérales. Elle n’excuse plus les comportements manipulateurs sous couvert de romantisme. Elle ne protège plus les illusions.
Le « gentleman » est mort : acte de décès signé par les femmes
Ce n’est pas l’homme qui a tué le gentleman. C’est la femme. C’est elle qui, à force de réclamer le meilleur des deux mondes — sécurité financière d’un mari + indépendance d’une célibataire — a fini par rendre obsolète ce modèle.
Elle veut tout : le frisson, la stabilité, le confort, le bad boy, le gars fiable, le cash et le romantisme. Mais aucun homme n’a envie d’endosser ce rôle hybride. Surtout pas gratuitement. Ce que beaucoup d’hommes ont compris, c’est qu’ils n’ont plus rien à gagner à incarner le gentil. Parce que dans le monde moderne, le gentil se fait tondre.
Le masculinisme en France, dans ses formes les plus brutes, appelle donc à une reconquête du pouvoir personnel : ne plus se plier à des attentes unilatérales, ne plus se faire voler son temps, son argent, son énergie pour des miettes d’attention.
Ce n’est pas de la haine, c’est de la lucidité
Certains diront : “C’est misogyne.” Mais la vérité, c’est que ce mouvement ne hait pas les femmes. Il hait le mensonge. Il hait la mascarade. Ce n’est pas “mascus les hommes qui détestent”, ce sont des hommes qui en ont marre d’être pris pour des cons.
Et parmi les femmes, nombreuses sont celles qui respectent cette posture. Parce qu’elles aussi veulent de la clarté. Elles aussi veulent un deal net. La plupart ont compris qu’il est inutile d’attendre un prince charmant en 2025. Il y a juste des mecs qui assument, qui payent, ou qui refusent. Mais au moins, ils annoncent la couleur.
Le masculinisme gagne du terrain, non pas dans la haine, mais dans la franchise. Et cette franchise, quand elle est réciproque, permet de bâtir autre chose. Pas forcément un couple, mais une entente, une logique, un arrangement.
Un terrain glissant : entre business, sexe et solitude
Le revers de cette libération, c’est la solitude. Il y a un prix à payer pour sortir du système. Car une fois qu’on a quitté le modèle classique – celui du couple, des enfants, du foyer – il ne reste plus que le business, la liberté, et parfois… le vide.
Beaucoup d’hommes se retrouvent seuls. Pas parce qu’ils ne peuvent pas séduire. Mais parce qu’ils ne veulent plus tricher. Ils préfèrent marcher seuls que s’enchaîner à nouveau dans une mascarade affective. Et certains se perdent. Dans les rizières, dans la jungle, dans des business en ligne fumeux. À la recherche d’un sens.
Mais c’est le prix à payer pour la vérité. Pour la cohérence. Pour la paix intérieure. Mieux vaut être seul que faux. Et ça, c’est peut-être le cri le plus puissant du masculinisme en France : la solitude assumée vaut mieux que la comédie sociale.
L’État observe, mais ne comprend rien
Pendant ce temps, les institutions restent figées. Le discours officiel continue de promouvoir un modèle de couple qui n’existe plus, qui ne fonctionne plus, et que personne ne veut plus vraiment. Le haut conseil à légalité, les associations de genre, les experts médiatiques : tous parlent d’un monde qui a disparu.
Ils ignorent la réalité concrète de millions d’hommes dégoûtés, désengagés, désillusionnés. Ils ne voient pas le mur arriver. Ou peut-être qu’ils s’en foutent. Car ce mur, ce ne sont pas les hommes qui vont s’y écraser. Ce sont les illusions sociales.
Une dernière frontière : réécrire les règles
Si on va au bout de la logique, il reste une question : faut-il réécrire les règles ? Faut-il établir de nouveaux contrats affectifs ? Dire noir sur blanc : je paye ceci, tu donnes cela. Faut-il que les rapports entre les sexes deviennent des transactions officielles, codifiées, chiffrées ?
Ce serait brutal. Mais ce serait aussi honnête. Et peut-être que cette brutalité vaut mieux que la tendresse hypocrite du vieux monde. Parce que les sentiments, quand ils sont instrumentalisés, deviennent des armes. Et le masculinisme en France préfère les accords froids aux pièges chauds.
Pour conclure : la fin d’une ère, le début d’une autre
Ce texte n’est pas une plainte. C’est un constat. Un appel à sortir du mensonge, de la manipulation émotionnelle, de la mise en scène permanente des relations. Ce qui émerge aujourd’hui n’est pas une utopie. C’est une mécanique froide, un retour aux réalités.
L’homme moderne n’a plus envie de supplier. Il n’a plus envie de jouer le rôle de l’amoureux transi, du chevalier servant, du bon gars. Il veut un échange. Il veut une entente claire. Il veut pouvoir dire non. Et surtout, il veut pouvoir exister pour lui, sans culpabilité, sans devoir plaire, séduire, sauver.
Le masculinisme en France est là. Pas dans les livres. Pas dans les conférences. Dans la rue. Sur Tinder. Dans les DM. Dans les discussions entre potes. Il est sale, cru, sans vernis. Mais il est réel.
Et il est temps que le monde l’écoute.
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