Quitter l'épave France : entre fiscalité toxique, Micheline enchaînante et libération totale

La France, autrefois terre de lumière intellectuelle et d’aspirations humanistes, s’est transformée pour beaucoup en véritable épave. Un pays rongé par une administration kafkaïenne, une fiscalité délirante, une idéologie gauchiste omniprésente, une insécurité galopante et un climat social empoisonné. La question n’est plus « est-ce exagéré ? », mais « jusqu’à quand va-t-on encore s’accrocher à ce radeau qui coule ? ».

Et la vraie question derrière tout ça : faut-il quitter cette épave France, prendre le large, devenir multipays, multi-expériences, et oui, même multi-femmes ?

État des lieux : pourquoi larguer la France ?

Commençons par le point de départ. Quitter la France ne se résume pas à fuir une géographie, c’est abandonner un logiciel mental devenu obsolète. Le trio fatal : administration délirante, fiscalité punitive, et perte de sens collectif.

On parle d’un pays qui figure dans le top 3 mondial des enfers fiscaux depuis 1960. Payer plus que partout ailleurs pour des services publics qui se dégradent à vue d’œil, ça devient simplement inacceptable. C’est l’illusion de l’État-providence qui continue de tenir la corde, mais en réalité, la machine est cassée. Ce n’est plus une gouvernance, c’est une prise d’otage organisée.

Au retour d’un simple voyage, tu trouves une lettre du RSI (ou son équivalent) qui te réclame des sommes sorties de nulle part, générées par un algorithme conçu pour voler sans opposition. C’est la goutte d’eau qui te pousse à tout plaquer.

Une bureaucratie qui te parasite

Il n’y a plus aucun rapport sain entre ce que tu verses à l’État et ce que tu en obtiens. La France a érigé l’incompétence et le gaspillage en mode de gouvernance. Pire : la plupart des citoyens trouvent ça normal, presque inévitable.

Et ce cancer bureaucratique est accompagné d’un conformisme social qui anesthésie toute ambition. Essaye donc de créer quelque chose, de sortir du moule, de t’émanciper ? Tu te feras fusiller socialement. Tu passes pour un traître si tu pars, un égoïste si tu ne veux plus cotiser, un misogyne si tu refuses le diktat féministe.

Alors tu pars.

Dubaï, Thaïlande, ou ailleurs : une autre réalité

Quand tu ouvres enfin les yeux, tu réalises que l’épave France est une anomalie dans un monde qui avance. Vivre à Dubaï ou en Thaïlande, c’est découvrir un monde sans agressivité constante, sans climat délétère, avec une sécurité omniprésente. Des pays où tu ne vis pas dans la peur de la racaille, du fonctionnaire planqué ou du prochain impôt surprise.

L’expatriation, c’est une aventure qui t’explose les chakras. Tu te rends compte que tu n’étais pas en vie en France. Tu survivais.

Être multipays : le vrai levier d’évolution

C’est là que la notion de multipays entre en jeu. C’est quoi un monopays ? C’est quelqu’un qui naît, vit, travaille, investit, procrée, vieillit et meurt dans le même pays, sans jamais avoir eu le courage ou l’opportunité de tester autre chose. C’est la majorité. Mais c’est aussi une prison mentale.

Être multipays, ce n’est pas forcément être un nomade fou. C’est simplement comprendre que tu peux et dois choisir les règles du jeu auxquelles tu veux jouer. C’est transformer ta relation à l’État : tu n’es plus un sujet, tu deviens un client. Et si un pays ne respecte pas ses clients, tu changes de boutique.

En quittant l’épave France, tu passes d’un monopole de services publics imposés à un marché international de juridictions qui se battent pour t’attirer. C’est l’inverse total du modèle français.

Un monde à l’envers

Quand tu pars, ton pays d’origine te crache dessus. Il ne t’encourage pas. Il te menace d’exit tax, d’imposition sur la nationalité, de te retirer ton passeport. Pendant ce temps, des dizaines d’autres nations te déroulent le tapis rouge, t’offrent des deals incroyables pour que tu viennes créer, consommer et investir chez eux.

Les Français, eux, sont encore persuadés d’avoir la meilleure Sécu du monde. Aucun esprit critique. Ils répètent ce qu’on leur a inculqué depuis l’école : que tout va bien, qu’on est en sécurité, que l’État veille sur nous. En réalité, ce que tu vis, c’est une forme de stalinisme soft.

La France, un pays irréformable

Tout cela serait supportable si on avait une lueur d’espoir. Mais non. La France est probablement dans le top 3 des pays les moins capables de gérer la transition vers le monde qui vient. Trop de dette, trop de charges, une population qui attend encore que l’État résolve tout, un système éducatif en ruine, une élite politique hors-sol.

L’État français, et sa population, fonctionnent avec un logiciel du XXe siècle. Centralisation extrême, étatisme asphyxiant, dépendance maladive à la redistribution. Tout cela est incompatible avec un monde agile, décentralisé et rapide. Le pays ne veut pas s’adapter, il préfère couler avec ses illusions.

Insécurité et féminisme : les deux boulets

Ce qui rend l’épave France encore plus invivable, c’est l’insécurité devenue quotidienne, banalisée. Les agressions, les vols, les violences dans les transports… C’est la routine. Ajoute à ça un féminisme hystérique qui transforme toute interaction homme-femme en terrain miné.

Ce n’est pas seulement un État en déclin, c’est une société malade.

Les Français méritent-ils mieux ?

La vérité est crue : les Français n’ont que ce qu’ils méritent. Des moutons contents de se faire tondre, qui n’ont même pas l’idée de regarder ailleurs. La majorité sont des monopays, enfermés dans une bulle informationnelle contrôlée par les mêmes monopays. Aucune ouverture, aucun recul.

Et pourtant, le monde est vaste. Mais il faut une claque pour sortir de l’illusion. Pour beaucoup, cette claque ne viendra jamais.

Multipays, mais aussi multifemmes

Quitter la France, ce n’est pas qu’un choix fiscal ou logistique. C’est aussi, et surtout, une libération personnelle. Et cette libération passe aussi par la fin de la monogamie subie. Pourquoi garder Micheline quand on découvre qu’on peut tout réinventer ?

Dans de nombreux pays, tu redeviens intéressant, désiré, même valorisé. Juste parce que tu es étranger, occidental, libre. C’est un fait : être blanc, parler français, voyager… ça te donne un statut immédiat. Tu gagnes des points automatiquement, sans forcer.

Faut-il emmener son sandwich au restaurant ?

La métaphore est brutale mais juste. Tu adores peut-être ton partenaire, mais est-ce que tu veux manger le même plat toute ta vie ? Être multipays, c’est aussi envisager le multifemme. Pas pour faire n’importe quoi, mais pour vivre autrement.

Ce mode de vie implique de la transparence. Il existe des femmes qui acceptent, comprennent, vivent aussi cette liberté. C’est rare, mais ça existe. Et ça change tout.

La tyrannie de l’endroit : casser les chaînes

Pendant des siècles, les gens étaient prisonniers de leur lieu de naissance. Aujourd’hui, tu as la possibilité de t’en libérer. Mais rares sont ceux qui l’osent. C’est une forme d’aliénation volontaire. Et pourtant, dès que tu brises cette tyrannie, le monde s’ouvre.

Tu n’es plus esclave d’un seul système. Tu choisis. Tu testes. Tu expérimentes. C’est ça, être vivant. Et en quittant l’épave France, tu réalises que c’est elle qui t’empêchait de vivre depuis le début.

La fausse menace de l’impôt sur la nationalité

Certains rêvent encore de t’enchaîner avec un impôt sur la nationalité, à la manière américaine. Mais c’est un fantasme irréalisable à court terme. Renégocier 130 conventions fiscales internationales prendrait des décennies. Même le Parlement l’admet. Et de toute façon, dans la pratique, ces mécanismes ne rapportent presque rien.

Par contre, des méthodes détournées existent déjà : exit tax, pression consulaire, blocage administratif. On l’a vu en Ukraine : si ton pays part en guerre, ton passeport devient un piège. Tu ne peux plus circuler, plus sortir.

Avoir un deuxième passeport : assurance vie

C’est pourquoi il est vital de penser à acquérir un second passeport. Pas forcément pour renoncer à ta nationalité actuelle, mais pour te donner une option. Une porte de sortie. Ant

iciper, c’est éviter d’être pris au piège. C’est penser comme un homme libre.

Le passeport français est précieux, mais aussi dangereux si ton pays part en vrille. Et il est naïf de croire que cela n’arrivera jamais. Tu ne construis pas ta vie sur des certitudes. Tu construis sur des plans B solides.

Conclusion : le vrai luxe, c’est la liberté

Quitter la France, c’est avant tout se libérer de ses chaînes mentales. Ce n’est pas une trahison, c’est une renaissance. C’est passer de la survie à la vie. De la peur à la maîtrise. Du monopays au multipays. De Micheline à la liberté.

La France est une épave ? Peut-être. Mais tu n’es pas obligé de couler avec elle. Tire le parachute, et vole.