Chinois et russes, Fracture culturelle : le choc de la rencontre avec les Russes à l’étranger
Ils nous ressemblent, mais ils sont profondément différents. Les Russes sont caucasiens, souvent chrétiens, et partagent avec nous certains marqueurs civilisationnels. Pourtant, une fois à l’étranger, en interaction directe, la façade s’effondre. Ce qui paraît être un peuple proche culturellement devient un véritable mur d’incompréhension. La cohabitation, même temporaire, avec les Russes — particulièrement dans certains lieux d’Asie du Sud-Est — révèle une fracture, un gouffre comportemental, et une brutalité sociale difficilement conciliables avec la vie en communauté.
Une proximité génétique… mais un abîme culturel
Les Russes sont blancs, comme beaucoup d’Européens. Ils sont chrétiens orthodoxes, comme les Grecs ou certains Serbes. Ils partagent des siècles d’histoire, de guerres, de littérature, d’intellect. Et pourtant, au quotidien, l’expérience avec eux est tout sauf fluide. Dès les premiers échanges, on se rend compte que le lien humain ne passe pas. Leur manière d’être, leur attitude dans l’espace public, leur approche des autres semblent ancrées dans une logique où l’individu prime au détriment du collectif.
Là où l’on attend un minimum de civilité — un bonjour, un merci, un sourire — il n’y a que silence ou arrogance. Leur mode d’interaction est sec, voire brutal. Aucun effort pour s’adapter à la culture locale. Ni pour apprendre un minimum d’anglais, ni pour comprendre les us et coutumes des pays qu’ils envahissent… en tant que touristes.
Le désastre comportemental dans les transports
Le premier vrai choc survient souvent lors d’un vol international. Un long-courrier entre Bali et la Thaïlande, par exemple. Devant vous, un ogre russe : obèse, malodorant, tapant sans arrêt dans votre siège. Aucun respect, aucun mot d’excuse, même pas un regard. Et ce n’est pas un cas isolé. Les avions sont remplis de familles russes braillardes, incontrôlables, bruyantes. Les enfants hurlent, les parents distribuent des téléphones à plein volume comme s’ils étaient seuls au monde. Aucun filtre. Le confort des autres ? Un détail insignifiant.
C’est là qu’on réalise que le mythe de la politesse orientale ou européenne n’a jamais touché certaines couches de la population russe. L’éducation semble absente. Et si comparaison il faut, même les pires caricatures de Français en vacances à l’étranger paraissent civilisés à côté.
Le poids de l’obésité et de la vulgarité
Dans des endroits comme Pattaya, les touristes russes ne sont pas issus de l’élite. Ce sont les classes moyennes ou populaires. Et cela se voit. Leur corps même semble crier l’indignité. Obésité massive, comportements pachydermiques, gestes lourds. En Russie, 35 % des adultes sont obèses. C’est presque aussi grave qu’aux États-Unis, où 75 % sont en surpoids ou obèses. Ces chiffres ne sont pas que des données : ils se matérialisent dans les rues, dans les cafés, sur les plages.
Les Russes ne se déplacent pas, ils s’effondrent dans l’espace public. Leur masse corporelle devient une agression en elle-même, tant elle prend toute la place, physiquement et symboliquement. Et avec ça, la vulgarité : tatouages criards, tenues inadaptées, voix qui percent les tympans, arrogance permanente. Ils n’ont pas seulement un problème d’éducation, ils ont un problème de civilisation.
Interaction impossible : brutalité comme seule forme de communication
Les rares fois où l’interaction est possible, elle se fait dans la violence ou par l’intermédiaire des autorités. Un voisin russe bruyant ? Il faut appeler la police. Le dialogue est impossible. On tente poliment : « Bonjour, pourriez-vous baisser le volume ? » On reçoit un regard vide, une absence d’âme. Aucun mot. Aucune reconnaissance. On est face à un mur. La seule réponse, c’est la menace d’expulsion, et parfois l’expulsion effective. Voilà ce qu’il faut pour qu’un russe comprenne.
Même scénario dans une résidence fermée, avec portique de sécurité. Un père de famille sibérien — rougeaud, imbibé, hors d’âge — tire comme un sauvage sur la porte sécurisée. On lui crie « STOP ! », il continue. Il est fier d’avoir cassé le système de sécurité. Il bombe le torse comme s’il avait accompli un exploit. Et ce n’est qu’en voyant son acte filmé, en comprenant qu’il risque l’expulsion, que son sourire s’efface. Pas un mot d’excuse. Rien. Le néant.
Mentalité coloniale inversée
Les Russes se comportent comme s’ils étaient chez eux partout. Restaurants affichés uniquement en russe, même en Thaïlande. Aucun effort d’intégration. Ils n’apprennent ni la langue locale, ni l’anglais. Ils s’installent avec arrogance, posent leurs affaires, commandent ou non, parlent fort, boivent dès le matin, imposent leur présence. Dans un Starbucks, deux Russes obèses arrivent, bière à la main, à 11h du matin. Une serveuse thaïlandaise, respectueuse, leur demande poliment si elles veulent commander. Réponse : le menu est jeté sur la table avec mépris. « Il n’y a rien d’intéressant dans ce menu. » Voilà l’attitude.
C’est un comportement de colon, mais inversé. Ce n’est plus le colonisateur occidental du passé. C’est le touriste russe d’aujourd’hui qui impose, exige, écrase. Une brutalité banalisée.
Les femmes russes : beauté glaciale, arrogance tarifée
Certaines femmes russes, il faut le reconnaître, sont très belles. Surtout jeunes. Taille élancée, peau pâle, regard perçant. Mais beaucoup sombrent ensuite dans une vulgarité physique et morale absolue. Dans les bars, les gogo-girls russes demandent à boire. Tout est transactionnel, mécanique. L’humour ne passe pas. La négociation non plus. Le verre demandé vaut 20 fois plus que celui d’une thaïlandaise. Et quand on refuse ? Aucun drame. Juste une frustration froide, une déconnexion. Le sourire, ici, est tarifé. La beauté devient une arme sans âme.
Et même là, on se dit : est-ce que ça vaut le coup ? Est-ce que le plaisir est supérieur à celui offert par une locale ? Honnêtement, non. Et si différence il y a, elle ne justifie en rien l’écart de prix. Il n’y a ni chaleur, ni authenticité. Tout est mécanique, facturé, procédural.
Ni bonjour, ni merci, ni au revoir : l’anti-civilisation
Dans les clubs de sport, même scénario. Les joueurs russes ne saluent pas. Ils arrivent, jouent, repartent. Un comportement robotique. Certains semblent même drogués, le regard vide. Il n’y a rien à construire avec eux. Aucune relation. Aucun lien. Juste un vide, une cohabitation imposée, souvent conflictuelle.
On parle souvent d’identité européenne, de fraternité continentale, d’unité culturelle entre Chine et russie, mais dans la réalité, rien ne relie. L’expérience montre qu’il est plus facile d’échanger, de plaisanter, de se comprendre avec un Maghrébin, un Balinais ou un Singapourien qu’avec un Russe. C’est un paradoxe cruel. Mais c’est un fait.
Le choc des civilisations inversé
Quand on parle de relations internationales, on pense souvent aux États, aux intérêts économiques entre chine et la russie, aux alliances stratégiques. Mais sur le terrain, dans les cafés, les hôtels, les résidences, les Russes sont des boulets sociaux. On pourrait penser que les chinois et russe partageraient des traits communs, eux aussi marqués par un certain autoritarisme culturel. Mais les chinois et russe ne se comportent pas de la même façon. Les chinois, dans leur majorité, ont une forme d’auto-discipline. Les russes, eux, semblent s’en foutre.
Et pourtant, certains comportements chinois agacent aussi. Mais rien à voir avec le déluge de vulgarité russe.
L’illusion de la proximité européenne
On nous vend l’idée d’une unité entre pays européens, ou d’une entente possible entre la chine et russie. On nous répète que la Russie est européenne. C’est faux. L’âme russe, dans ses manifestations quotidiennes, n’a rien à voir avec ce qu’on peut vivre en France, en Allemagne ou en Pologne. D’ailleurs, il est souvent plus facile de discuter avec un Allemand ou un Polonais qu’avec un Russe.
L’Europe n’a pas échoué à intégrer la Russie. Elle n’a jamais réussi à en comprendre la nature même. Il n’y a pas de lien culturel. Pas de racine partagée. Pas de socle commun. Juste un vernis blanc sur une société étrangère, opaque, brutale.
En conclusion : une fracture humaine, pas seulement culturelle
Ce que l’on vit au contact des Russes, ce n’est pas seulement un choc culturel. C’est un rejet. Un refus instinctif de s’unir à un peuple qui ne partage rien, ni nos codes, ni nos valeurs, ni notre manière d’être. Loin de l’image du frère européen, le Russe devient l’intrus, le perturbateur, le facteur de chaos. Il n’est pas un autre parmi d’autres. Il est un contre-modèle.
Et ce constat, aussi dur soit-il, doit être entendu.
Ce que l’on vit au contact des Russes, ce n’est pas seulement un choc culturel. C’est un rejet. Un refus instinctif de s’unir à un peuple qui ne partage rien, ni nos codes, ni nos valeurs, ni notre manière d’être. Loin de l’image du frère européen, le Russe devient l’intrus, le perturbateur, le facteur de chaos. Il n’est pas un autre parmi d’autres. Il est un contre-modèle.
Et ce constat, aussi dur soit-il, doit être entendu.
Il est facile d’accuser la mondialisation ou les tensions géopolitiques pour justifier les clivages actuels. Mais la vérité est plus brutale. Les tensions ne viennent pas toujours des élites ou des guerres d’intérêts. Elles naissent souvent de l’expérience concrète, vécue, intime : celle du voisin insupportable, du vacancier irrespectueux, du client qui méprise tout. C’est dans ces moments simples du quotidien que les différences deviennent infranchissables.
Il faut le dire clairement : l’expérience humaine avec certains peuples est souvent plus difficile qu’avec d’autres. Et dans cette hiérarchie du lien social, les Russes se placent en queue de peloton. La relation avec eux est cassée d’avance. Elle est faussée par un refus de base : celui de partager le monde avec les autres. Ils n’écoutent pas, ne regardent pas, ne considèrent pas. Ils consomment, imposent, écrasent.
On pourrait être tenté de comparer les chinois et russes. Deux civilisations autoritaires. Deux histoires de contrôle, de nationalisme, de fermeture. Mais même dans cette comparaison, les différences sautent aux yeux. Les chinois et russes n’agissent pas pareil. Les premiers sont stratégiques, économes en conflits visibles, souvent discrets dans leur comportement personnel. Les seconds sont brutaux, directs, souvent arrogants et désinvoltes. Les chinois et russes ne se ressemblent qu’en apparence. Dans la pratique, les chinois et russes vivent leur rapport au monde de façon radicalement opposée.
Là où un Chinois peut susciter l’agacement par sa méfiance ou son absence de chaleur, le Russe déclenche le rejet par sa violence symbolique. Les chinois et russes se croisent dans les mêmes espaces — hôtels, avions, centres commerciaux — mais ils n’ont pas le même impact. Les Chinois s’organisent entre eux, se regroupent, suivent des règles internes, parfois envahissantes, mais cohérentes. Les Russes, eux, ignorent toute règle, toute harmonie. Ils sont le chaos ambulant. Les chinois ou russes peuvent être nombreux au même endroit, mais ce sont toujours les Russes qui dérangent.
Ce constat n’est pas qu’un ressenti d’occidental fragile ou choqué. C’est le retour permanent d’expatriés, de locaux, d’entrepreneurs, de serveurs, de passants. Tous disent la même chose. Les chinois et russes posent des problèmes, mais les Russes sont souvent ingérables. Même dans les zones touristiques taillées pour le tourisme de masse, même dans des endroits déshumanisés par la mondialisation, les chinois et russes ne provoquent pas les mêmes réactions. Les Russes laissent des traces de tension, des souvenirs désagréables, des anecdotes de conflits, de manque de respect.
Alors oui, les chinois et russes font partie des grandes puissances actuelles. Oui, leur présence mondiale est croissante. Mais sur le terrain, dans l’interaction directe, le constat est clair : s’il fallait choisir avec qui vivre, travailler, partager un espace, les chinois et russes ne seraient jamais sur le même plan. Les Chinois peuvent être durs, distants, parfois cyniques. Mais les Russes, eux, sont trop souvent toxiques.
Les chinois et russes incarnent deux visions d’un monde fermé. Mais un seul des deux semble avoir renoncé à la coexistence. Et ce n’est pas le Chinois.
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