Esclave de bar ou esclave de bureau : qui mène vraiment la meilleure vie ?
Dans un monde moderne où le mot « liberté » est brandi comme un étendard, il est ironique de constater que tout le monde reste enchaîné à une forme d’esclavage. Que ce soit dans un open space aseptisé à Paris ou sur une plage tropicale à servir des cocktails, personne n’échappe au joug de la nécessité économique. La vraie question n’est donc pas de savoir si nous sommes esclaves, mais comment nous le sommes. Et surtout, quel type d’esclavage est le plus vivable ? Esclave de bureau ou esclave de bar : quel est le meilleur deal dans ce grand cirque capitaliste ?
l esclave bar, Une société d’esclaves qui s’ignorent
Le fantasme de la liberté s’effondre dès qu’on gratte un peu le vernis social. Salariés, freelances, entrepreneurs, prostituées, investisseurs, influenceurs… peu importe le statut, tout le monde travaille pour survivre, et tous vénèrent le même dieu invisible : Mamon, divinité antique de l’argent et de la cupidité. Il ne s’agit pas ici de condamner cet état de fait, mais de le regarder bien en face. L’esclave moderne n’est plus enchaîné par des fers, mais par ses factures, ses obligations, son crédit immobilier et sa peur du déclassement.
Le salarié type, vissé à son bureau, croit parfois être au-dessus de tout ça. Il croit que son diplôme ou sa fiche de paie lui confère une supériorité morale ou sociale. Pourtant, chaque matin, il retourne dans sa cage, son costume bien repassé et son badge autour du cou, pour y subir huit heures d’aliénation mentale, sous la lumière froide des néons.
De l’autre côté du monde, certaines femmes massent des touristes sur la plage ou divertissent des étrangers dans des bars. Elles sont appelées gourgandines, prostituées, filles de bar. Elles aussi travaillent. Elles aussi obéissent à une logique marchande. Mais à y regarder de plus près, leur degré de liberté est parfois bien supérieur à celui de la grande majorité des travailleurs occidentaux.
La plage, la fête et les gourgandines
Imaginez un instant : une plage sublime, le soleil couchant sur l’horizon, une mer chaude, des grillades à la lumière des torches, des massages à l’huile pour moins de dix euros, des soirées rythmées par la musique, la danse et les sourires. Ce n’est pas une carte postale. C’est la réalité quotidienne pour de nombreuses femmes thaïlandaises qui travaillent dans les zones touristiques, dans un secteur dactivité restauration élargi au monde de la nuit.
Certaines d’entre elles sont masseuses, d’autres barmaids, hôtesses ou danseuses dans les bar rue du limas avignon de l’Asie tropicale. Et si on enlève tous nos préjugés occidentaux, que reste-t-il ? Une activité économique à part entière. Un métier. Un vrai. Et parfois, une vie plus libre que celle du cadre sup’ coincé entre deux réunions Teams.
La girlfriend experience : un service comme un autre
Beaucoup d’hommes qui découvrent l’Asie sont bouleversés par la GFE : la « Girlfriend Experience« . On paie, et on reçoit en échange non pas seulement une prestation sexuelle, mais aussi un sourire, de l’attention, des mots doux. Ce n’est pas de l’amour. C’est un service. C’est un arrangement mutuel et assumé. Un jeu de rôles rémunéré.
Les critiques fusent souvent : « Elles ne veulent que ton argent. » Mais c’est oublier que dans tout échange commercial, il y a une contrepartie. Dire que ces femmes ne veulent que votre argent revient à dire qu’un pizzaiolo ne veut que votre fric. C’est une évidence. Mais entre deux bouchées de margherita, vous oubliez cet échange, car il est socialement accepté. Le sourire contre un billet, dans un contexte érotique, devient soudainement tabou. Pourquoi ? Parce que l’Occident traîne une hypocrisie morale massive autour de la sexualité tarifée. Le sexe gratuit serait noble, le sexe payé serait sale. C’est une fable pour enfants.
Esclave de bureau : le choix imposé
Revenons à l’autre type d’esclave : celui du bureau. Le salarié modèle. Celui qui a suivi le programme : bonne école, bonnes notes, bon boulot, bon salaire. Et pourtant, il est à genoux, sans même le savoir. Il ne choisit ni ses horaires, ni ses lieux de travail, ni ses collègues. Il n’a que peu de liberté de mouvement, aucune spontanéité, des vacances limitées, et une vie souvent dénuée de passion.
Il subit. Il attend le vendredi. Il soupire le lundi. Il fait semblant d’y croire. Son compte de résultat personnel est à peine à l’équilibre, et il se dit qu’un jour, peut-être, il pourra vivre ses rêves. En attendant, il les reporte à la retraite. Ce n’est pas une vie. C’est une prison à ciel ouvert, avec un abonnement Spotify offert.
Une activité choisie, pas subie
Les filles de bar, contrairement aux clichés, ne sont pas des victimes passives. Beaucoup d’entre elles sont des entrepreneuses déguisées. Elles travaillent comme indépendantes, choisissent leurs clients, changent de bar quand elles le veulent, monétisent leur image sur OnlyFans, TikTok, Thaifriendly et autres plateformes. Elles diversifient leurs revenus, se font sponsoriser par des hommes aux quatre coins du monde, gèrent leur emploi du temps, et vivent souvent dans des lieux de rêve.
Le parallèle avec le freelancing est frappant. Elles sont leur propre produit. Elles construisent leur clientèle, gèrent leur personal branding, exploitent leurs atouts et capitalisent sur leur attractivité. Certaines d’entre elles gagnent bien plus que les cadres parisiens qui rament pour payer leur loyer dans un 35 m².
L’hypocrisie morale occidentale
En Occident, on tolère qu’un être humain passe 40 ans dans un bureau pour un salaire modeste. Mais on s’offusque qu’une femme tire profit de son corps, de son sourire, de son charisme pour gagner en une soirée ce que d’autres gagnent en une semaine. On glorifie l’esclave de bureau et on condamne l’esclave bar. C’est une absurdité morale. Une posture. Une jalousie mal dissimulée.
Il faut en finir avec cette hiérarchie morale des métiers. Un masseur, une strip-teaseuse, une barmaid ou une escort ne valent pas moins qu’un comptable, un DRH ou un consultant. Ils ne sont ni plus ni moins esclaves, ils se prosternent simplement devant le dieu Mamon avec des postures différentes.
Liberté relative mais réelle
Il est illusoire de croire à une liberté absolue. Mais il est tout à fait possible d’évaluer les degrés de liberté. Et sur ce point, l’avantage penche nettement en faveur des filles de bar. Elles sont mobiles, libres de choisir leurs clients, parfois riches, souvent joyeuses, toujours dans l’instant. Là où l’esclave de bureau anticipe sa mort dans les embouteillages, elles vivent leur jeunesse dans la fête, l’alcool, la mer et les rires.
Certaines vivent dans des endroits paradisiaques, font des rencontres internationales, envoient de l’argent à leur famille, et investissent parfois mieux que les petits porteurs occidentaux. Elles prennent des risques, oui. Elles s’exposent à la précarité, oui. Mais elles le font en connaissance de cause, avec le sourire. Et surtout, elles peuvent arrêter quand elles le veulent. Le salarié occidental, lui, est coincé jusqu’à l’âge de la retraite.
Un monde festif contre un monde gris
La vie de bureau est souvent synonyme de grisaille, de névroses et de burn-out. Réunions inutiles, collègues toxiques, bullshit management, et cette impression persistante de passer à côté de sa vie. À l’inverse, la vie nocturne est exubérante, colorée, intense. Elle a ses excès, bien sûr. Mais elle offre un sentiment de liberté, de mouvement, d’adrénaline, de spontanéité que le bureau ne pourra jamais offrir.
Beaucoup de ceux qui critiquent les filles de bar vivent une frustration sexuelle et affective immense. Ils ne comprennent pas que ce service qu’elles offrent — un sourire sincère contre de l’argent — est exactement ce dont ils auraient besoin pour ne pas sombrer. C’est un baume sur les blessures d’ego, une illusion temporaire mais précieuse de connexion humaine.
Et si c’était elles qui avaient tout compris ?
Ces femmes qui exercent dans les bars, sur les plages ou dans les clubs, ont peut-être compris quelque chose que beaucoup d’occidentaux refusent de voir : la vie est courte, et mieux vaut la vivre intensément que la subir dans un bureau à ruminer des tableaux Excel.
Si elles jouent
bien leurs cartes, elles peuvent non seulement survivre, mais prospérer. Certaines gagnent des fortunes. D’autres se marient, voyagent, investissent. Beaucoup rient. Souvent plus que les salariés qui les jugent. Elles ont parfois moins de sécurité, mais bien plus de vitalité.
Un choix à faire : quel type d’esclave veux-tu être ?
Tout le monde est esclave. Mais tout le monde peut choisir son maître. Esclave de bureau ou esclave de bar, chacun choisit selon ses talents, ses préférences, ses rêves et ses compromis. L’un n’est pas supérieur à l’autre. Ils sont simplement différents.
L’esclave de bureau se rassure avec son CDI, sa mutuelle et son crédit sur 25 ans. L’esclave de bar mise sur sa jeunesse, son charme et son art du contact. Les deux courbent l’échine. Mais l’une le fait sur une plage, l’autre dans un open space. Il y a une différence de décor. Et parfois, de dignité.
Conclusion : la liberté n’est pas dans l’intitulé du poste, mais dans le mode de vie.
Le monde est un marché géant. Chacun vend ce qu’il peut. Son temps, ses idées, son corps, sa voix, sa force, son charme. Et chacun choisit, à sa manière, le type de prison qu’il accepte. La vraie liberté ne réside pas dans l’illusion d’un statut social, mais dans la capacité à vivre selon ses règles.
Alors, esclave de bureau ou esclave de bar ? L’un te donne un plan de carrière, l’autre t’offre un coucher de soleil. À toi de voir ce que tu veux admirer en te réveillant le matin.
L'Enrichissement Pour TOUS - Sébastien de Stratégie Liberté
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