L’esclave multi-millionnaire qui possède 10 hotels à Bali

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  • Dernière modification de la publication :30 avril 2025
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L'esclave millionnaire de Bali : la leçon inattendue d’un propriétaire de 10 hôtels

Quand on pense à la vie d’un multimillionnaire à Bali, on imagine des cocktails au bord d’une piscine à débordement, des villas perchées sur des falaises, des assistants pour tout, des voyages en jet privé entre deux îles paradisiaques. Sauf qu’hier, j’ai eu un face-à-face très différent. Le genre d’altercation qui te rappelle que même au sommet, certains restent au charbon.

Le gars en question est propriétaire de dix hôtels à Bali. Oui, dix. Et pas des bicoques dégueulasses. Des vrais établissements, avec des étoiles et des clients exigeants. Le hasard a voulu que je loge dans l’un de ses derniers hôtels fraîchement ouverts. Je m’attendais à y croiser du personnel, peut-être un manager, sûrement pas le big boss en personne. Mais il était là. Et il m’a donné, sans le savoir, une claque de lucidité.

Bienvenue au cœur du chaos

Le décor, d’abord : j’avais quitté Pererenan le matin-même, direction un coin plus paumé, plus brut, au nord de Canggu. Le coin s’appelle Seseh, et on sent que ça bouillonne sous la surface. Dans trois ou quatre ans, ça va devenir le nouveau Canggu, c’est évident. Mais pour l’instant, c’est encore calme, avec des vagues, du vent, et moins de monde. Mon genre de vibe.

J’arrive dans un hôtel flambant neuf. Quatre étoiles, un design soigné, une ambiance relax. Et pourtant, je paie à peine 10 ou 12 euros la nuit. Pourquoi ce prix ridicule ? Parce qu’ils viennent d’ouvrir. Quinze jours d’existence. C’est du rodage. Et quand tu ouvres un hôtel à Bali, tes premiers clients sont ceux qui vont poser le ton avec leurs avis Google, TripAdvisor, Booking et compagnie. Le patron, il le sait. Et c’est pour ça qu’il est là. Présent. Actif. À l’écoute. Pas planqué dans une villa avec vue mer. Non. Là, au front.

Le gars est balinais, la quarantaine, look relax mais regard perçant. Tu sens qu’il a roulé sa bosse. Il possède une dizaine d’établissements dans l’île, dont certains énormes, avec 250 chambres. Et pourtant, il s’implique comme si c’était sa première fois.

Le niveau est là… jusqu’à ce que j’arrive

Franchement, l’hôtel, à première vue, est un sans-faute. Bien placé, un peu en retrait de la route principale, silence royal. Je rentre dans la chambre : le lit est parfait, le matelas aussi, les rideaux occultants, les prises bien placées, même un vrai petit coin bureau. Un bijou d’ergonomie. On sent que le mec maîtrise. Il sait ce que veulent les voyageurs exigeants. Il connaît les codes. J’étais presque ému. Sauf que… il y avait un hic. Et pas un petit.

Le syndrome de la démagnétite

J’ai un truc chelou. Une anomalie. J’appelle ça la démagnétite. En gros, chaque fois que je touche une carte magnétique, elle se démagnétise. Je sais, ça paraît débile, mais c’est réel. Je ne sais pas si j’ai un champ magnétique personnel ou quoi, mais les cartes de chambre d’hôtel se flinguent systématiquement avec moi.

Premier jour, la carte fonctionne une fois. Deuxième tentative : plus capricieuse. Troisième : finito. Je me retrouve bloqué dehors, comme un con. Je vais à l’accueil. Ils ne comprennent pas. Me filent une nouvelle carte : idem. Au bout de quelques minutes, elle aussi est foutue. Je les ai toutes bousillées, une par une. Le personnel panique. C’est l’enfer.

Et là, surprise : c’est le proprio lui-même qui vient s’en mêler. Le gars multimillionnaire, proprio du Bali Rich Hotel. Il cherche des solutions, essaie de comprendre. On discute. Longuement. Il m’écoute. Il ne m’envoie pas balader. Il ne dit pas “désolé monsieur, c’est comme ça”. Non. Il agit. Il tente. Il veut régler.

Le verrou qui crame

J’ai essayé de forcer un peu les choses. Mettre la carte dans tous les sens. À l’envers, à l’endroit, frotter la puce, tout. Rien. Et au final, j’ai réussi à griller le mécanisme. Littéralement. Le verrou de la porte a commencé à chauffer. Le truc avait 15 jours d’existence et j’ai réussi à le flinguer. Magique.

Et le gars, toujours là. Il ne s’énerve pas. Il regarde. Il analyse. Il cherche une sortie. Tu te dis : il devrait être ailleurs. Il devrait déléguer. Mais non. Il est là, à subir mes caprices technologiques de malade imaginaire. Et il le fait avec un calme… bluffant.

La savonnette, déclencheur de guerre froide

Le jour suivant, autre histoire débile mais révélatrice : j’avais une savonnette achetée à Ubud, au parfum de frangipanier. Un petit plaisir personnel. Et elle disparaît lors du changement de chambre. Rien de grave. Mais je le signale. Et là… le patron prend ça au sérieux. Il convoque le staff. Le gars qui a nettoyé ma chambre nie. Je sais qu’il ment. Il ne l’a pas volée. Il l’a juste jetée en pensant que c’était un reste. Mais il ne veut pas l’admettre.

Et le proprio, au lieu de trancher comme un roi paumé, il cherche à comprendre. Il fait la médiation. Il essaie de calmer le jeu. Il me dit même : “Dis-moi quel savon c’était, je te le rachète.” Un millionnaire, prêt à courir m’acheter une savonnette. Là, tu te dis : ce mec, il joue à un autre niveau. Ce n’est pas un patron, c’est un stratège du détail. Une école de management à lui tout seul.

Tu veux des les information utiles sur la gestion hôtelière ? Voilà. Gère toi-même les détails que les autres trouvent insignifiants. Parce que ce sont eux qui, accumulés, font ton succès ou ta chute.

Le drame du spot inextinguible

La soirée arrive. Nouvelle chambre. Même standing. Nickel. Sauf un détail : impossible d’éteindre la lumière du balcon. Et moi, je suis une chauve-souris. J’ai besoin de noir total pour dormir. J’éteins tout. La pièce est sombre, mais cette foutue lumière du balcon perce les rideaux, me vrille la rétine.

Je redescends. Je râle. Mais poliment. Enfin… presque. Je commence à chauffer. Et là, le gars de la réception me dit un truc hallucinant : “Vous êtes le 4ème aujourd’hui à nous le dire.” Donc ce n’est pas un bug isolé. C’est une connerie de conception. Il n’y a pas d’interrupteur pour cette lumière.

J’insiste. Je monte le ton. Et là, qui débarque encore ? Le proprio. Encore lui. À 22h. Il sort du lit, descend à l’accueil. Et au lieu de s’excuser mollement, il me dit : “Tu as raison. C’est une erreur. On va corriger.” Il m’explique que les architectes ont bâclé, malgré ses directives. Il ajoute : “On va coller une tuile pour masquer la lumière en attendant.” Le mec ne fuit jamais le problème. Il le confronte. Toujours.

Une autre vision du business

Tu penses que le business, c’est déléguer ? Peut-être. Mais parfois, le vrai luxe, c’est de garder le contrôle. Lui, il est partout. Il est sur place. Il touche tout. Il anticipe, il écoute, il résout. Le bali rich hotel, c’est son bébé. Il ne veut pas qu’il prenne une mauvaise note, il ne veut pas que les premières impressions dégénèrent. Il n’attend pas qu’un manager lambda fasse le boulot à sa place. Il le fait lui-même.

Et ça, c’est une claque. Parce qu’en tant qu’entrepreneur moi-même, je me dis souvent que je pourrais tout automatiser. Mais voir ce gars – bien plus riche que moi – transpirer au comptoir, prendre les plaintes une par une, ça remet l’église au centre du village. Le luxe, c’est pas fuir les problèmes. C’est être assez libre pour les affronter.

C’est quoi être riche, vraiment ?

Il m’a dit un truc que j’oublierai jamais :
“Tu peux me réveiller 24 heures sur 24. Si c’est pour régler un problème dans un de mes hôtels, je me lève.”
Ce gars-là, il n’est pas riche pour dormir. Il est riche parce qu’il reste esclave de la qualité. Esclave du détail. Esclave de l’expérience client. Et paradoxalement, c’est ça qui fait qu’il est libre.

Morale de l’histoire ?

Si tu veux réussir à Bali — ou ailleurs — sois comme lui.
Travaille comme un ouvrier, pense comme un roi.
Ne te cache pas derrière des excuses ou des process.
Et surtout : ne sous-estime jamais une foutue lumière de balcon.

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