La valeur d’une femme selon un regard brut : entre révélations, illusions et désillusions

Il y a des moments dans la vie où une claque vous tombe dessus sans prévenir. Pas une claque physique, non, mais une de ces révélations fulgurantes qui vous redéfinissent le cerveau. Ce jour-là, je n’étais pas en train de méditer dans un temple, ni en train de lire un livre de développement personnel. J’étais simplement à Bali, sur une plage, quand tout a basculé. Une scène banale, une fille qui passe en scooter, et bam. Révélation. Comme un upgrade de mon propre système d’exploitation mental. Et depuis ce moment, je ne vois plus les femmes de la même manière. Je les vois avec un chiffre. Brut, net, sans fioriture.

Ce que j’ai vécu, c’est ce que j’appelle une mise à jour cognitive. Un logiciel interne qui s’est activé tout seul, sans que je le demande. Une sorte de réalité augmentée qui m’affiche, en quelques millisecondes, la « valeur » d’une femme qui passe dans mon champ de vision. Et que personne ne vienne me dire que c’est sexiste, misogyne ou que je deviens fou. Non. C’est une constatation, brutale, mais sincère. Et surtout, révélatrice d’un état de notre monde.

La scène du déclic

Je marchais sur la route qui mène à la plage, tranquillement, dans mes pensées. C’est là qu’elle est apparue. Une nana sublime sur un scooter, une Occidentale, qui roulait à vive allure. Et là, au-dessus de sa tête, je vois un chiffre : 1,5 million. Ça m’a fait buguer. Je me dis : « Qu’est-ce que c’est que ça ? » 1,5 million de quoi ? Après quelques secondes de conversion mentale, je percute : 1,5 million de roupies indonésiennes. L’équivalent d’environ 100 euros. Et à ce moment précis, je réalise que ce chiffre, c’est le prix que mon cerveau estime que je serais prêt à mettre pour un « short time » avec elle.

Cette pensée, aussi crue soit-elle, n’a pas été choisie. Elle s’est imposée. Brutalement. Comme un algorithme qui calcule sans qu’on le lui demande. Et à partir de cet instant, toutes les femmes que je croisais voyaient leur valeur affichée au-dessus de leur tête. 300 000, 500 000, 2 millions, parfois même… zéro. Et pire : parfois des chiffres négatifs. C’est là que j’ai compris que quelque chose d’irrémédiable s’était activé dans mon cerveau.

Une vision sans filtre

Ce que je vis depuis, c’est un scan en continu. Une capacité à « coter » chaque femme selon une estimation personnelle. Et attention : je ne parle pas uniquement de physique. La valeur chute brutalement dès qu’un détail me déplaît. Une fille peut passer de 3 millions à 300 000 en une fraction de seconde. Exemple concret : une bombe que je croise, au départ estimée à 3 millions. Elle sort une clope. Bam. 300 000. Pourquoi ? Parce que je déteste les fumeurs. Une véritable femme, à mes yeux, ne fume pas. Point.

Est-ce moral ? Non. Est-ce juste ? Peut-être pas. Mais c’est réel. Et c’est ça qui dérange. Cette lucidité brutale sur la superficialité des choses. J’ai toujours voulu voir le monde tel qu’il est, pas tel qu’on me dit qu’il est. Et cette mise à jour cognitive m’y oblige.

Ce que dit cette « valeur »

Il ne s’agit pas seulement de prix, mais de projection mentale. Une espèce de bourse humaine. Certaines femmes montent en flèche. D’autres s’effondrent. Ce n’est pas la beauté seule qui joue. C’est l’attitude, la classe, le comportement. C’est une question de cohérence. Une véritable femme dégage une harmonie. Et ça, mon logiciel interne le détecte immédiatement.

Je me suis même rendu compte que ce processus tournait en tâche de fond dans mon cerveau, sans effort conscient. C’est devenu automatique, intégré. Il ne monopolise même pas mes ressources mentales. Et pourtant, il est d’une précision hallucinante.

À l’origine de cette « mise à jour »

Je ne sais pas d’où ça vient. Ce jour-là, j’avais juste fait une séance de yoga, parlé avec une nana, rien de transcendant. Mais il y a probablement un lien. Peut-être que certaines pratiques débloquent des zones du cerveau endormies. Peut-être que j’ai activé une fonction que la plupart des mecs ignorent. Ou peut-être que j’ai juste atteint un niveau de lucidité où la vérité ne peut plus être ignorée.

Et si d’autres mecs ont vécu ça, qu’ils se manifestent. Parce que je pense sincèrement qu’on peut tous activer ce genre de filtres. Il suffit d’ouvrir les yeux, vraiment. D’arrêter de croire ce que la société vous sert comme soupe tiède. Une véritable femme, ce n’est pas juste une paire de fesses bien moulées dans un short. C’est une présence, une aura, une cohérence intérieure. Et ça, ça vaut cher. Très cher.

La vraie femme dans le chaos ambiant

En marchant sur cette plage de Bali, j’ai vu des dizaines de femmes. Toutes différentes. Des beautés naturelles, des filles refaites jusqu’aux dents, des gamines pomponnées à l’extrême, des mères posées. Et toutes affichaient une valeur. J’ai compris que dans ce monde saturé d’apparences, une véritable femme se distingue sans faire d’effort. Elle n’a pas besoin d’en faire. Elle est. Et ça, ça n’a pas de prix.

Mais justement, c’est là le paradoxe. Car mon cerveau, lui, met un prix. Il ne peut pas faire autrement. Et parfois, ce prix est humiliant. 20 €, 40 €, 0 €. C’est violent, mais c’est honnête. C’est ce que je ressens. Je ne prétends pas avoir raison. Je dis juste ce que je vois.

Une capacité à ne plus se mentir

Depuis que cette capacité s’est déclenchée, je vis dans une forme de réalité augmentée. Et plus moyen de revenir en arrière. Quand je croise une femme, je ne peux plus juste la « voir ». Je la jauge. Immédiatement. Même dans les bars, dans les restos. Ça continue. C’est là, en moi.

Et ce qui est fou, c’est que parfois, les notes sont négatives. Moins 100, moins 500. Pourquoi ? Parce qu’il y a des femmes qui, au lieu de m’apporter quelque chose, me retireraient. De l’énergie, du temps, du respect de moi-même. Ces femmes-là ont une valeur inférieure à zéro. Je ne les voudrais même pas gratuitement. Et c’est là que j’ai compris que la vraie richesse, c’est de savoir dire non.

Le piège de l’illusion

À force de croiser des femmes au rabais, on oublie ce qu’est une véritable femme. Une femme qui sait ce qu’elle veut, qui a une classe naturelle, qui impose le respect sans jamais le réclamer. Pas besoin de marques, pas besoin de chirurgie. Une véritable femme, tu la reconnais au silence qu’elle crée autour d’elle. C’est une évidence. Et cette évidence, mon cerveau me l’affiche désormais.

C’est un filtre brutal, mais salvateur. Il me protège. Il m’évite de tomber dans les pièges, dans les leurres, dans les illusions. Parce que les illusions, elles coûtent cher. Pas seulement en argent. En temps, en énergie, en estime de soi. Une véritable femme, c’est un investissement rentable. Une illusion, c’est une dette.

Vers une conscience élargie

Alors non, je ne suis pas devenu misogyne. Je suis devenu lucide. Et dans cette lucidité, il y a de la tristesse, parfois. Parce que je me rends compte qu’on vit dans un monde où les vraies femmes sont rares. Mais quand tu en croises une, tu le sais tout de suite. Et ça vaut de l’or. D’ailleurs, pour moi, une vraie femme ne peut jamais valoir 100 €. Elle est au-dessus de tout ça.

Et si je devais résumer tout ça en une phrase, ce serait une citation vraie femme que j’ai entendue un jour : « La vraie valeur d’une femme, c’est ce qu’elle te donne sans jamais rien demander. » Cette phrase, elle m’a marqué. Parce qu’elle dit tout.

Quand le logiciel fait le tri

Depuis que mon esprit a intégré cette capacité, il trie pour moi. Il scanne, filtre, classe, rejette. Ce n’est pas moi qui décide consciemment. Ce n’est plus de l’ordre du choix, c’est un réflexe. Ce n’est plus de l’ordre du goût, c’est devenu une lecture froide et directe de ce que je perçois.

Il y a des moments où je me dis que ce « logiciel », ce mécanisme que j’ai maintenant dans la tête, est une bénédiction. Il m’empêche de perdre mon temps avec des femmes qui ne sont que des coquilles vides, emballées dans de jolis vêtements. Celles qui n’ont rien à l’intérieur, sinon des comptes TikTok à entretenir et des selfies à poster. Ce genre de femmes n’ont aucune valeur dans ma grille de lecture. Ce ne sont pas des vraies femmes. Ce sont des produits dérivés de l’époque, des simulacres.

Et quand je croise une vraie femme – ça arrive, heureusement – mon système le reconnaît instantanément. Il n’affiche pas un chiffre, ou alors, il s’emballe. Il bug. Parce qu’elle sort de la logique marchande, elle explose les standards. Elle n’a pas de prix. Et ça, c’est exactement ce que je recherche. C’est pour ça que je continue à observer, à chercher, à débusquer la vraie valeur dans ce monde de valeurs flinguées.

Le revers de cette lucidité

Mais il faut être honnête. Voir le monde ainsi, ça isole. Ça rend cynique. Parce qu’on comprend à quel point tout est calculé, à quel point les relations sont devenues des échanges froids de services, d’images, de statuts sociaux. Il y a une forme de désespoir à comprendre que la majorité des femmes autour de vous ne cherchent plus à être, mais à paraître. Et qu’elles le font bien. Trop bien. Au point de duper même les hommes intelligents.

Mais avec ce filtre, impossible de me faire avoir. Il détecte les signaux faibles. Il voit les incohérences, les contradictions. Il capte les femmes qui jouent un rôle, qui veulent te vendre une image, qui ne sont là que pour leur intérêt. Et il me les affiche à -1000. Moins que rien. Des femmes qui te coûteraient plus qu’elles ne t’apporteraient. Ce n’est pas une opinion. C’est une mesure froide, immédiate.

Et c’est dans cette logique que je me dis : une vraie femme ne te fait jamais sentir que tu dois la « gagner ». Elle est avec toi parce qu’elle a envie d’être là, parce qu’elle voit en toi quelque chose de sincère. Et toi, tu ressens cette même envie, cette même évidence. Là, tu ne comptes plus. Il n’y a plus de prix. Il y a une forme de présence partagée. Et ça, c’est inestimable.

Ce que la société veut qu’on oublie

Ce système que j’ai développé m’a aussi ouvert les yeux sur les mensonges qu’on nous sert depuis des années. Les slogans, les campagnes, les idéaux marketés sur l’égalité, la beauté intérieure, le développement personnel… tout ça, c’est du vernis. Le marché des relations est devenu une foire où chacun essaie de tirer son épingle du jeu. Et dans ce jeu, beaucoup de femmes ont appris à manipuler, à monétiser, à capitaliser sur leur physique, leur jeunesse, leur pouvoir de séduction.

Mais dans cette jungle, il y a encore des vraies femmes. Celles qui n’ont rien à vendre. Celles qui ne se maquillent pas pour exister, qui ne draguent pas pour se rassurer, qui ne te regardent pas comme une opportunité, mais comme une personne. Celles qui ont des valeurs, des principes, une profondeur. Des femmes pour qui le mot « respect » n’est pas un outil de chantage émotionnel, mais un engagement réciproque.

Et ces femmes-là, crois-moi, je les reconnais. Immédiatement. Elles ne brillent pas comme les autres. Elles ne cherchent pas la lumière. Mais elles l’émanent. Une vraie femme, c’est ça. C’est une source de lumière intérieure. Elle n’a pas besoin d’en faire des tonnes. Elle EST.

Réévaluer le féminin

Depuis que je vis avec ce regard, je me suis mis à réévaluer ce que je cherchais. Avant, je me laissais avoir. Je regardais les formes, les courbes, les sourires. Je tombais dans les pièges. Aujourd’hui, je vois clair. Et ce que je cherche, ce n’est plus une femme sexy, ce n’est plus une femme attirante. C’est une vraie femme.

Elle peut avoir des défauts. Elle peut être discrète. Mais elle ne triche pas. Elle assume. Elle vit. Elle donne sans calculer. Elle ne fait pas semblant. Elle ne s’invente pas une personnalité de façade. Elle ne te demande pas d’être quelqu’un d’autre. Et elle ne vend pas son temps, son corps, son attention. Elle les partage. Parce qu’elle a compris que la vraie richesse, c’est ça : le partage sincère.

L’après, la quête, l’essentiel

Alors, oui, j’ai un logiciel dans la tête. Oui, je vois des chiffres au-dessus des têtes. Mais ce n’est pas ça, le cœur de l’histoire. Le cœur, c’est que ce système m’a ramené à l’essentiel : savoir ce que je veux vraiment. Ne plus courir après des mirages. Ne plus me perdre dans des illusions. Chercher l’authentique. L’intègre. Le profond. Le vrai.

Et dans cette quête, les vraies femmes sont rares. Mais elles existent. Et elles changent une vie. Pas avec des discours. Pas avec des artifices. Mais avec une présence. Une constance. Une loyauté silencieuse.

J’ai croisé des femmes qui avaient tout pour plaire. Physiquement parfaites. Mais leur valeur était nulle. Parce qu’elles étaient vides. Et j’ai croisé des femmes simples, sans prétention, mais qui portaient en elles une puissance invisible. Celles-là, ce sont les vraies femmes. Et je les honore, même si je ne leur dis pas. Parce que ce sont elles qui méritent qu’on s’arrête. Qu’on se pose. Qu’on change.

Une conscience à double tranchant

Je ne dis pas que cette façon de voir est pour tout le monde. Elle est brutale. Elle est sans concession. Mais elle est honnête. Et dans ce monde de faux-semblants, c’est déjà énorme. On ne peut plus se permettre de croire aux contes de fées. Il faut ouvrir les yeux. Lire entre les lignes. Et faire confiance à cette part de nous qui sent quand quelque chose est vrai.

Et si vous cherchez vous aussi une vraie femme, apprenez d’abord à vous affranchir des apparences. À dépasser le marketing sexuel. À voir au-delà du corps. Parce que ce qu’il reste, au bout du compte, c’est ce qu’elle est quand tout le reste tombe.

Et ça, c’est une richesse qu’aucune monnaie ne pourra jamais mesurer.