Libre comme le clochard ?

La Liberté : Entre Illusion et Réalité

Le débat sur la liberté personnelle dans une société de plus en plus matérialiste est devenu un sujet brûlant de discussion, notamment lorsqu’il s’agit de comprendre qui, finalement, peut se considérer comme libre : le clochard ou le rentier

C’est en partie cette question que pose un commentaire énigmatique reçu sur une vidéo précédente, d’un internaute qui se fait appeler « dette envers les animaux ». Dans son message, cet internaute s’interroge sur l’utilité de continuer à travailler quand on dispose d’un patrimoine suffisant, lorsque la notion de travail semble totalement obsolète.

L’idée de se poser cette question mérite réflexion, et je vais tenter de l’explorer sous un angle radicalement brut et sans concession, pour montrer que la « liberté » n’est jamais aussi simple qu’on voudrait le croire.

Avant de plonger dans le cœur du sujet, permettez-moi de vous introduire brièvement à mon décor : je me trouve dans un cadre paradisiaque, mon bureau secondaire situé en bord de mer. L’air est doux, la vue est splendide, et l’atmosphère est calme. Un lieu que beaucoup pourraient envier, mais qui n’est finalement qu’une petite partie d’un quotidien façonné par des choix conscients.

La question qui revient sans cesse dans ce contexte est : qu’est-ce que la liberté, et surtout, qu’est-ce que la liberté financière ? À première vue, on pourrait penser qu’un rentier, qui vit de ses investissements, ou un retraité avec une pension confortable, sont des exemples de liberté absolue. Mais cette idée est-elle réaliste ?

sdf français, Le Mythe de l’Homme Libre

Je l’affirme haut et fort : un homme libre n’existe pas. Que l’on soit salarié, entrepreneur, investisseur, retraité ou même rentier, nous sommes tous soumis à des contraintes. Ce qui différencie ces statuts, ce sont les types et les degrés de liberté auxquels chacun a accès. Par exemple, un salarié de bureau est contraint par ses horaires et son supérieur hiérarchique, tandis qu’un entrepreneur gère les lourdes responsabilités de son entreprise. Mais personne n’est exempt d’un système d’obligations, de règles et de dépendances.

La question reste donc pertinente : qui est véritablement libre ? Si l’on devait citer un « modèle de liberté », serait-ce le SDF français, celui qui vit en dehors des normes imposées par la société ? Ce n’est pas si simple.

Un retraité, pour prendre l’exemple suivant, peut avoir l’illusion d’être totalement libre. Si sa pension est élevée, il semble être dans une situation confortable. Toutefois, la réalité est bien différente. Un retraité, même avec un bon revenu, doit toujours gérer son budget. S’il touche 1000 € par mois, il devra faire attention à ses dépenses. S’il touche 2000 €, il pourra vivre plus sereinement, mais il restera toujours contraint par son niveau de revenu. 

D’un autre côté, si sa pension est bien plus élevée, il devra gérer son argent différemment pour maintenir son niveau de vie, souvent en ayant des choix d’investissement à faire. Et même sans avoir de patron, un retraité reste soumis à des contraintes budgétaires, physiques, et parfois même géographiques.

sdf français, La « Liberté » du Rentier et du Clocheard

En ce qui concerne le rentier, une personne supposément libre parce qu’elle ne dépend plus de son travail, il faut savoir que cette liberté n’est qu’une illusion partielle. Un rentier n’est jamais vraiment libre, sauf à fermer les yeux sur son patrimoine et à renoncer à toute forme de gestion. Mais cela serait imprudent et risqué. Si vous êtes un rentier qui ne s’occupe pas de son patrimoine, vous êtes à la merci des aléas du marché et des mauvais choix d’investissement. Personne, même les plus riches, ne peut ignorer complètement son patrimoine sans risquer de le voir fondre.

Un exemple concret de cette gestion passive : les revenus locatifs. Si vous possédez plusieurs propriétés à Paris, vous devrez toujours suivre l’état de vos investissements, même si vous déléguez la gestion à une agence immobilière. Les problèmes peuvent surgir à tout moment : un locataire ne paie pas son loyer, des réparations sont nécessaires, ou encore des squatteurs s’installent dans votre bien. Ignorer ces aspects, c’est s’exposer à des risques que beaucoup d’investisseurs évitent par nécessité.

Cela nous amène à une réflexion plus profonde : la gestion de son patrimoine, qu’il s’agisse de biens immobiliers, d’actions ou d’investissements financiers, exige un suivi constant. Même avec des investissements dits passifs, comme les fonds indiciels (ETF), vous êtes responsable du choix de l’investissement. Donc, en tant que rentier, vous ne pouvez pas ignorer totalement vos actifs, sous peine de vous exposer à des pertes financières importantes.

Quant à la liberté d’un SDF français, souvent perçue comme totale en raison de l’absence de contraintes sociales et professionnelles, c’est une vision erronée. En réalité, le SDF vit dans une contrainte constante, peut-être même plus grande que celle du salarié ou de l’entrepreneur. Un SDF n’a pas d’abri, il n’a pas accès à une nourriture garantie, et il est dépendant de la générosité des autres pour subsister. 

Son mode de vie, bien que sans horaires de travail fixes ou de responsabilités hiérarchiques, est en réalité marqué par une série de contraintes extrêmement pesantes. Par exemple, le clochard n’a pas la liberté de voyager, de se nourrir correctement ou de prendre soin de sa santé. Il est constamment confronté à la nécessité de survivre.

sdf français, La Question de l’Héritage et de l’Existence

Je vais maintenant aborder une autre question qui se pose à ceux qui ont la possibilité d’arrêter de travailler : que faire de sa vie une fois que l’on a atteint une certaine liberté financière ? C’est une question existentielle que beaucoup d’entrepreneurs, de rentiers et même de retraités se posent. Si l’on a suffisamment d’argent pour ne jamais avoir à travailler de sa vie, que reste-t-il à accomplir ? Le défi devient alors de trouver un but, une passion, une raison d’être au-delà de l’accumulation de richesse.

Pour ma part, j’ai vécu cette situation en 2017, lorsque j’ai choisi de me retirer du monde du travail pour vivre de mes revenus passifs. Au début, l’envie de voyager m’a guidé. Je suis allé en Asie du Sud-Est, explorant des lieux et profitant de la liberté géographique. Mais rapidement, je me suis rendu compte que cette liberté, bien que séduisante, était trop vide. 

La vraie liberté, celle qui apporte une véritable satisfaction, vient de la création et de la production. C’est pourquoi j’ai choisi de me lancer dans des projets en ligne, de créer des contenus, de développer des business, et finalement de m’investir dans des activités qui me passionnent réellement.

Il est intéressant de noter que cette recherche de sens et de projet de vie ne touche pas uniquement les rentiers ou les retraités. Même les plus jeunes, ceux qui sont encore dans la course à la réussite professionnelle, se posent ces questions : quelle est la vraie signification de la liberté ? Est-ce d’être un SDF français, libre de toute contrainte, mais dans la misère ? Ou est-ce d’être un rentier avec des milliers d’euros de patrimoine, mais coincé dans un cycle de gestion sans fin ?

sdf français, La Vérité Sur Le Travail et La Passion

Finalement, on en revient à cette question : est-ce que l’on peut vraiment se considérer comme libre si l’on doit toujours gérer ses investissements, que l’on soit rentier ou SDF ? Ma réponse est non. Chacun, dans son cadre de vie, doit faire face à des contraintes, qu’elles soient matérielles, physiques, ou mentales. 

La véritable liberté ne consiste pas à vivre sans aucune contrainte, mais à choisir les contraintes auxquelles on est prêt à se soumettre pour atteindre un but qui nous dépasse. Que ce soit la gestion d’un patrimoine ou la lutte quotidienne pour survivre dans la rue, les contraintes existent.

La clé de la liberté, selon moi, réside dans le choix des contraintes. Un rentier, un investisseur ou un retraité peut vivre en dehors du système traditionnel de travail, mais il doit toujours gérer ses choix, ses investissements, et parfois même son existence. Même le SDF, bien qu’en apparence totalement déconnecté des règles sociales, est également contraint par la nécessité de survivre.

Ainsi, la vraie question à poser n’est pas de savoir qui est « libre », mais plutôt comment choisir les contraintes qui nous donnent un sens, un but, et une raison de vivre, qu’il s’agisse de gestion financière, de création, ou même de survie.

sdf français, Conclusion

Loin d’être un simple débat entre l’apparente liberté des personnes riches et l’image souvent idéalisée du clochard ou de l’indépendant, la question de la liberté, dans son essence la plus pure, mérite une analyse plus profonde. Le clochard, qui est souvent vu comme celui qui vit sans contraintes, est en réalité enfermé dans un cycle de survie, dominé par la précarité. De l’autre côté, ceux qui semblent être « libres » grâce à leur patrimoine, leur réussite financière ou leur indépendance, sont eux aussi prisonniers de contraintes invisibles : gestion de leur patrimoine, choix d’investissements, de projets, et des conséquences de ces choix à long terme.

Les sdf français, tout comme les retraités, les rentiers ou les entrepreneurs, vivent chacun à leur manière des formes différentes d’esclavage, déguisées sous des apparences de liberté. L’illusion de la liberté totale, sans contrainte, n’existe tout simplement pas. Même ceux qui ont fait le choix de ne plus travailler, comme c’est le cas pour de nombreux rentiers ou personnes ayant réussi financièrement, doivent gérer des décisions constantes, qu’elles soient liées à l’argent, aux investissements ou à la gestion de leur temps.

Ce qui différencie les individus dans cette quête de liberté, c’est la manière dont ils gèrent les contraintes qui se présentent à eux. Le retraité ou le rentier n’a pas les mêmes contraintes physiques que les personnes sdf, ni les mêmes défis à relever. Tandis que l’un se pose la question existentielle de ce qu’il doit faire de son temps, l’autre lutte pour sa survie au quotidien, cherchant simplement à manger, à se protéger du froid et à vivre une journée de plus.

Il est intéressant de noter que la notion de liberté est liée à une capacité de décision et à une forme d’autonomie. Cependant, elle n’est jamais absolue. Les sdf français vivent une forme de dépendance tragique et de subordination à la générosité d’autrui, ce qui les rend dépendants de circonstances sur lesquelles ils n’ont aucun contrôle. Si une personne en situation de précarité totale peut sembler ne pas avoir de contraintes horaires ou géographiques, sa réalité est bien plus sombre. Il est prisonnier de sa situation, d’une pauvreté qu’il ne choisit pas, et ce n’est là qu’une des multiples facettes de ce qu’il peut endurer.

Pour ceux qui ont réussi financièrement, comme ceux qui se définissent rentiers, l’illusion de la liberté est aussi un mirage. La liberté d’action, géographique ou financière, est contrebalancée par la nécessité de gérer leur patrimoine et de prendre des décisions constamment. La gestion de l’argent, qu’il s’agisse de propriétés, d’investissements financiers ou d’entreprises, peut devenir une source de stress tout aussi importante que celle rencontrée par les sdf français. Ceux qui prétendent être libres n’échappent pas à un besoin constant de s’assurer que leur richesse reste préservée. Un rentier qui ne s’occupe pas de son patrimoine est une fiction. Quel que soit le montant de sa fortune, une gestion négligente de ses biens peut le faire tomber dans la précarité.

Il y a également une différence fondamentale dans la manière dont les personnes en situation de précarité et celles qui ont réussi à accumuler des richesses abordent la question de leur existence. Si les sdf français sont constamment dans une lutte de survie, les autres cherchent à donner du sens à leur existence en poursuivant des passions, des projets personnels ou en créant un héritage à transmettre. La question « Que faire de sa vie une fois libéré de la contrainte financière ? » se pose alors comme un défi plus philosophique, mais tout aussi existentiel, que celui de savoir « Comment survivre ? » auquel les plus précaires sont confrontés quotidiennement.

Dans la société moderne, on fait souvent l’erreur de considérer que ceux qui n’ont pas besoin de travailler sont véritablement libres. Cependant, l’expérience montre que la liberté totale est une utopie. Même ceux qui jouissent d’une certaine indépendance financière ne sont pas exempts de préoccupations, qu’elles soient liées à la gestion de leur patrimoine ou à leur impact social. Les sdf français, quant à eux, vivent dans une forme de révolte silencieuse, n’ayant ni le contrôle sur leur situation ni les ressources nécessaires pour s’en échapper. L’illusion de la liberté ne concerne finalement que ceux qui ont les moyens de la cultiver, mais même eux, à leur manière, sont des esclaves de leur propre réussite ou de la pression sociale.

En définitive, chaque individu, quelle que soit sa situation, est confronté à des contraintes qui façonneront son quotidien. Si certains sont esclaves de leurs besoins financiers ou de la quête de leur indépendance, d’autres sont pris au piège de la précarité et de l’impossibilité de se libérer des chaînes invisibles de la pauvreté. L’un comme l’autre vit dans une forme de dépendance, que ce soit aux autres, à l’argent ou aux circonstances. La liberté, quant à elle, demeure une illusion partielle, toujours conditionnée par des facteurs externes et des décisions internes.

L’important, dans cette réflexion, est de prendre conscience des réalités qui sous-tendent ces concepts et de ne pas succomber à la tentation de la superficialité. En cherchant à comprendre la véritable nature de la liberté, nous devons admettre que personne n’est totalement libre, mais que la liberté réside dans la capacité à choisir comment naviguer parmi les contraintes qui nous entourent. En fin de compte, la liberté ne se mesure pas seulement par la capacité à ne rien faire, mais par celle de donner du sens à ce que nous faisons et de vivre en harmonie avec ce que nous sommes, tout en faisant face aux défis de l’existence.

Que ce soit pour un sdf français cherchant à survivre, ou un rentier recherchant un sens profond à sa vie, la véritable question n’est pas celle de la liberté absolue, mais de la manière dont chacun choisit de la façonner dans les limites imposées par sa situation et ses choix. La richesse, qu’elle soit financière, intellectuelle ou spirituelle, ne nous rend pas libres de toutes les contraintes, mais elle nous donne le pouvoir de les affronter et de nous réinventer.

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