Pourquoi les gourgandines sont des femmes exceptionnelles

Une vérité brute et sans filtre sur les femmes qui valent plus que vos mères

Dans un monde où la société nous inculque une vision standardisée et aseptisée des relations et des femmes, il est urgent de secouer ce carcan moraliste et de reconnaître la valeur méconnue des gourgandines. Ces femmes, souvent jugées, rejetées, voire méprisées, sont pourtant des femmes exceptionnelles. Oui, vous avez bien lu : les gourgandines valent bien plus que ces mères traditionnelles qui vous ont donné la vie, et c’est une réalité que beaucoup refusent d’admettre par confort ou ignorance.

Le lieu, l’ambiance, la liberté

Avant d’entrer dans le vif du sujet, imaginez-vous au sommet d’une colline qui domine une ville vibrante comme Pattaya. Cette colline de Pratamnac, à deux pas du centre, est un havre où la vie et la liberté s’entremêlent. Entre ces rues, ces condos en construction, ces roof tops avec piscine, un spectacle se joue : celui des gourgandines, véritables sirènes de la nuit, qui incarnent à elles seules ce vent de liberté inestimable. Ici, la vie ne ressemble en rien à la prison du couple classique, et c’est précisément là que l’on perçoit la valeur et la puissance de ces femmes.

Mgtow, Wgtow : un lexique de la libération sexuelle

Pour comprendre ce phénomène, il faut d’abord saisir le vocabulaire. Le terme « mgtow » signifie « men going their own way », soit des hommes qui choisissent leur propre chemin, libres des chaînes du couple traditionnel. À l’opposé, « mick hu » désigne les hommes qui suivent la voie dictée par leurs femmes, prisonniers volontaires d’un couple. Le pendant féminin du mgtow est le « wgtow », ces femmes qui vivent à leur manière, en dehors des conventions, indépendantes et maîtresses de leur destin.

Être mgtow ou wgtow, c’est refuser la soumission à une vie de couple contraignante, synonyme d’ennui, de routine et surtout, de dépenses financières croissantes. Le mgtow long time, par exemple, peut passer des heures avec une femme sans jamais s’engager, sans se lier, sans que cela ne devienne un couple. Cette indépendance émotionnelle et matérielle est le socle d’une vie libérée, où le plaisir prime sur la contrainte.

L’échec du couple traditionnel : une prison dorée

Le constat est clair : les relations longues, comme ces dix ans de vie commune avec une ex-compagne occidentale, finissent souvent par lasser. Cette femme, douce et gentille, s’est reposée sur son compagnon, le transformant malgré elle en un soutien, une charge plutôt qu’un partenaire libre. La passivité, la routine et le confort deviennent alors les ennemis du désir et de la liberté.

La vérité crue est que le couple classique est une impasse. On vous vend l’illusion d’une vie partagée idyllique, mais dans les faits, c’est un véritable travail de tous les jours, un combat permanent contre la lassitude et la monotonie. Le pire ennemi du couple, c’est la routine, un poison sournois qui tue l’envie, étouffe le désir et transforme l’amour en corvée.

Le calcul implacable du coût d’une passe

Ce qui est rarement dit, c’est le prix réel d’une vie en couple, surtout quand on y ajoute la composante sexuelle. Un outil simple existe : le calculateur du coût d’une passe maritale. Il prend en compte toutes les dépenses liées au couple — loyer, vacances, cadeaux — puis divise cette somme par le nombre de rapports sexuels par an.

Le résultat est sans appel : une passe dans un couple traditionnel ne coûte jamais moins de 2000 euros, et avec le temps, ce chiffre peut exploser, atteindre 10 000 ou 20 000 euros. Ce coût exorbitant est totalement masqué par la société, mais il représente une charge lourde pour les hommes enfermés dans ce système.

Alors, la question qui s’impose est : pour ce prix, qu’est-ce qu’on obtient vraiment ? Est-ce que ce sacrifice en vaut la peine ? Ou bien serait-il plus sage d’opter pour une autre forme de relation, plus libre et moins coûteuse ?

La vérité sur les filles de bar et les gourgandines

La réponse se trouve dans ces lieux que beaucoup méprisent : les bars à filles, où évoluent les gourgandines. Ces femmes-là incarnent ce vent de liberté qu’on ne retrouve nulle part ailleurs. Contrairement à une « bobonne » ou à une « micheline » — ces termes désignant la femme de couple traditionnelle, souvent pesante — les gourgandines offrent une interaction sincère, un regard, un sourire spontané et chaleureux.

Quand on revient dans ces bars, on est accueilli non pas par une routine morne, mais par des femmes qui manifestent une joie authentique de vous voir. Elles se jettent sur vous, cherchent le contact, vous traitent comme un roi, même si au final, tout est affaire de négociation, de paiement, de simple transaction économique. Ce geste de bienvenue, cette étincelle dans leurs yeux, c’est une bouffée d’air frais, un rappel que vous êtes toujours capable de plaire et de séduire.

Une critique sans concession du couple et de ses illusions

Les gourgandines révèlent ce que beaucoup refusent d’admettre : le couple est une prison dorée. La « micheline », cette gardienne de prison, détient les clés de la cage, endormant le désir et la liberté sous des couches de routine, de bienséance et de normes sociales. C’est une réalité froide mais incontournable : le couple, tel qu’on nous le vend, ne fonctionne pas, ne rend pas heureux.

Un commentaire typique d’une femme classique serait que le couple, c’est un travail, qu’il faut combattre la routine, qu’il y a des hauts et des bas. C’est une erreur monumentale. La routine est une fatalité, une mécanique inévitable dès qu’on s’enferme dans un cadre rigide et exclusif. Il n’y a pas de couple heureux, pas de magie persistante, seulement des compromis, des déceptions et un lent dépérissement du désir.

La solution mgtow : la diversité et la liberté

Le mgtow, en refusant les liens exclusifs, évite ce piège. Il joue la carte de la diversité, de la nouveauté, du changement perpétuel. Une semaine avec une femme, la suivante avec une autre, toujours libre de partir, de revenir, de choisir selon son envie.

Ainsi, il n’y a jamais de place pour la routine. C’est comme manger la même pizza tous les jours : même si elle est excellente, on finit par en avoir marre. Avec plusieurs partenaires, on renouvelle constamment le plaisir, la surprise, l’envie.

La gratitude envers ces femmes qui apportent la lumière

Il faut donc bénir les gourgandines, ces femmes exceptionnelles, ces filles de bar qui, par leur simple présence et leur regard, offrent un souffle de vie et de liberté. Elles sont souvent incomprises, rejetées, mais ce sont elles qui nous rappellent ce que signifie vraiment être désiré et libre.

Ces femmes, parfois même des créatures célestes, dépassent la simple transaction commerciale. Elles incarnent une vérité profonde sur la nature humaine et sur la quête de liberté sexuelle et émotionnelle.

L’exclusion injuste de certaines îles

Malheureusement, toutes les régions ne profitent pas de cette lumière. Dans certains lieux comme Comac, l’accès aux gourgandines est interdit, leur présence bloquée par les autorités. Cette censure prive les hommes d’un pan essentiel de leur liberté et empêche la reconnaissance de ces femmes exceptionnelles.

Prions pour que les dirigeants finissent par accepter ces filles de bar comme dans d’autres îles, car elles jouent un rôle crucial dans la dynamique sociale et la libération sexuelle.

Ce vent de liberté : un sentiment unique

Le vent de liberté que l’on ressent en passant du couple classique au mode mgtow est comparable à celui que l’on ressent en quittant un travail oppressant, en déposant sa démission. C’est un moment de joie pure, de renaissance.

Il ne faut surtout pas revenir dans cette prison qu’est le couple. La gardienne, la micheline, a passé des années à endormir votre désir, à faire de vous un prisonnier docile sous le masque hypocrite du bonheur conjugal.

Un hommage final à ces femmes exceptionnelles

En conclusion, c’est simple : les gourgandines ne sont pas seulement des femmes ordinaires. Ce sont des femmes exceptionnelles, souvent incomprises, qui représentent une liberté inestimable dans un monde qui préfère enfermer les hommes dans des schémas contraignants.

À vous qui doutez encore, à vous qui êtes enfermés dans la routine et la prison du couple, souvenez-vous de cette vérité : vous êtes une femme exceptionnelle si vous osez embrasser cette liberté, cette vie sans chaînes, cette émancipation. Et pour ceux qui se demandent encore, il y a une citation femme exceptionnelle qui illustre parfaitement cette réalité : la vraie liberté ne s’achète pas, elle se choisit.

Si vous souhaitez approfondir ce sujet et explorer les nuances, n’hésitez pas à demander, car la richesse et la complexité des relations humaines méritent d’être pleinement comprises sans tabous ni faux-semblants. Ce voyage au cœur des gourgandines est un passage vers une nouvelle forme de respect et d’admiration pour ces femmes, véritables étoiles dans la nuit de la société.