Bien choisir ses amis : anatomie d’un solitaire radical
Dans un monde saturé de connexions superficielles, où l’amitié se mesure parfois à la fréquence des emojis échangés, une voix dissonante émerge : celle d’un homme pour qui l’amitié n’est ni un refuge affectif, ni un tissu de promesses émotionnelles, mais un contrat d’utilité. Ici, il ne s’agit pas de tendresse ni de souvenirs partagés autour d’un feu de camp, mais de stratégie, de synergie, de complémentarité. Il s’agit de bien choisir ses amis, non pas pour combler un vide émotionnel, mais pour maximiser l’efficacité de chaque interaction humaine.
Ce récit cru, sans filtre, sans romantisme, nous plonge dans une réalité peu explorée : celle d’un individu nomade, entre Rayong, Bali et Singapour, pour qui chaque relation est un investissement à retour mesurable. Pas d’amis au sens traditionnel du terme. Pas d’affections gratuites. Juste des partenaires de badminton, des collaborateurs YouTube, des contacts business, et des gourgandines long terme. Et dans cette vision presque algorithmique de la sociabilité, une règle d’or : faut bien choisir ses amis.
L’amitié, version activity-based
Ici, le mot « ami » est banni de son sens affectif. On parle de partenaires. Chaque « ami » est affilié à une activité précise : le sport, les affaires, le contenu vidéo, les loisirs nocturnes. La relation ne survit que tant qu’elle sert un but commun. Paddle, badminton, YouTube, restaurants, relations physiques. Tout le reste est superflu. Il n’y a pas de place pour l’attachement pur, pour la nostalgie, pour la conversation gratuite. Il y a des objectifs, des rythmes, des règles. Et si quelqu’un ne joue pas le jeu, il est archivé – littéralement.
Bien choisir ses amis, dans cette optique, signifie identifier rapidement la valeur ajoutée que chaque individu peut apporter à sa vie, puis structurer la relation autour de cette valeur. Ni plus, ni moins.
Une solitude choisie, non subie
À ceux qui diraient : « Tu n’as pas connu l’amitié », ou pire, « Tu connaîtras un jour l’amour », la réponse est cinglante : épargnez-moi vos commentaires de psy de comptoir. Ce n’est pas qu’il ne veut pas d’amis, c’est qu’il n’en a pas besoin. Il est trop sollicité, trop demandé. Il attire, malgré lui. Les gens veulent passer du temps avec lui, parce que ce qu’il touche, il le fait à un niveau d’excellence. Sur le terrain de paddle, il humilie les adversaires. En vidéo, il capte l’attention. Dans le business, il inspire confiance. L’attraction est presque toxique.
Résultat : il doit se protéger. Pas de notifications. Pas de messages. Pas d’attachement. Il archive les gens sur WhatsApp, désactive les canaux de communication. Il faut repousser. La paix est dans la solitude.
Le sport : un catalyseur social pragmatique
Le sport est un outil de liaison sociale, pas une fin en soi. Paddle, badminton… peu importe l’activité tant qu’elle sert à se connecter à des gens « au bon niveau ». Mais là aussi, la sélection est brutale : pas question de perdre du temps avec des amateurs. Il faut que le partenaire soit au niveau, ou rien. S’il n’existe pas, il change de sport. Il abandonne le paddle quand il ne trouve plus de compétition. Il se tourne vers le badminton, plus économique, plus diversifié, plus féminin. Il choisit ses amis comme il choisit ses raquettes : pour la performance.
YouTube : les collaborations comme source d’amitié
Autre forme d’amitié utilitaire : les collaborations YouTube. Là encore, il ne s’agit pas d’amis au sens émotionnel. Ce sont des collègues, des partenaires créatifs, parfois même des rivaux qu’il admire secrètement. L’important, c’est le produit : la vidéo. S’il y a une synergie, on tourne ensemble. Sinon, chacun repart de son côté.
Il appelle cela des relations « synergiques ». C’est-à-dire que chaque partie donne et reçoit de manière équilibrée. Il n’y a pas d’endettement affectif, pas d’obligation morale. Et paradoxalement, c’est peut-être là qu’il se sent le plus connecté : dans ce monde de créateurs passionnés, chacun concentré sur sa mission.
Même ceux qui le détestent ont sa considération. Parce qu’ils partagent cette obsession du contenu, cette capacité à se jeter corps et âme dans une idée. Pour lui, c’est ça, une forme d’amitié brute, sans fioritures.
Le business : la loyauté sans le pathos
Le lien professionnel est aussi une base d’amitié, selon lui. Là encore, c’est la rigueur, la discipline et les valeurs communes qui créent un lien. Une agence immobilière bien gérée à Pattaya, une famille thaïlandaise qui comprend ce qu’il attend sans trop parler : pour lui, c’est plus fort qu’un apéro entre copains.
Il utilise une phrase qui revient souvent : « Vous et moi, on va devenir de grands amis. » Ce n’est pas une promesse de barbecue ni de week-ends à la campagne. C’est une reconnaissance de compatibilité. Une façon de dire : tu es un prolongement de moi-même, je peux te faire confiance. Et c’est probablement la définition la plus honnête d’amitié fonctionnelle.
Les gourgandines : les amies de la nuit
Ici, le propos devient encore plus frontal. Les relations avec les femmes sont vues comme une forme d’amitié du plaisir. Des partenaires de joie, avec qui il bâtit, à sa façon, des relations solides, longues, durables. Contrairement à l’image cliché du tourisme sexuel jetable, il parle de fidélité, de construction, d’histoires qui s’étalent sur plusieurs années.
L’argent n’est pas un tabou, mais un levier. Il ne dissocie pas transaction et affection. Au contraire, il pense que l’argent clarifie les rôles, les attentes. Et dans cette clarté, il y trouve de la confiance, de la stabilité, et une forme d’amour lucide. Il les appelle « grandes amies ». Et c’est dit sans ironie.
Bien choisir ses amis, ici, revient à choisir des femmes qui apportent de la joie, de la tendresse, du plaisir – et qui, en retour, gagnent une stabilité, une relation sincère dans sa mécanique.
Une relation unilatérale avec la solitude
Il ne cache rien : sa vie est vide en dehors de ces piliers. Paddle. Badminton. YouTube. Restaurants. Gourgandines. Rien de plus. Il ne simule aucune vie sociale cachée. Pas d’amis d’enfance, pas de potes de bistrot, pas de groupe WhatsApp de vieux collègues. La journée, il est seul. Le soir, parfois accompagné. Et ça lui va. Il n’a jamais prétendu autre chose.
Pour lui, bien choisir ses amis signifie aussi savoir ne pas en avoir. C’est un choix de ne pas s’embarrasser de relations chronophages. Il veut des relations efficaces, claires, utiles.
La mécanique relationnelle : rationalité absolue
Ce système de sélection relationnelle repose sur une logique froide, mais cohérente : les gens qui entrent dans sa vie doivent augmenter quelque chose. Sa joie. Son efficacité. Son réseau. Son plaisir. Son argent. Sa chaîne YouTube. Son niveau au badminton. Sinon, dehors.
C’est une version assumée de la maxime : faut bien choisir tes amis. Pas pour qu’ils soient là dans les moments difficiles, mais pour qu’ils contribuent à la construction d’un quotidien performant. Il ne cherche pas des bras pour pleurer, mais des cerveaux, des muscles, ou des talents avec lesquels bâtir quelque chose – même fugace.
Le réseau se reconstitue partout
À chaque nouveau lieu – Bali, Singapour, Rayong – le schéma se répète. Il n’a pas besoin de chercher : les gens viennent à lui. Il joue une fois au paddle, et les invitations affluent. Il filme une balade, et d’autres créateurs tendent la main. Il est constamment entouré de gens qui veulent collaborer. Il trie. Il sélectionne. Il garde ceux qui augmentent. Il archive les autres.
C’est une application grandeur nature de sur linférence de cartes sociocognitives, où chaque rencontre est évaluée selon son potentiel relationnel. Pas de place pour le flou ou la nostalgie.
Les filtres : un outil de survie mentale
Pour survivre dans ce monde d’attractions permanentes, il faut des barrières. Il archive les contacts. Il coupe les notifications. Il refuse les sollicitations inutiles. C’est une gestion active de la pollution sociale.
Ce système de tri permanent s’apparente à une mécanique de désignations bilatérales : chaque interaction doit être acceptée par les deux parties, selon des règles implicites. Sinon, elle est éteinte, ignorée, effacée. Ce n’est pas du mépris. C’est de l’hygiène mentale.
L’amitié dans un monde utilitaire
Dans cette perspective, l’amitié ne meurt pas :
elle mute. Elle devient partenariat, alliance, collaboration. Elle se mesure à l’impact, pas à la durée. Ce n’est plus le cœur qui guide, mais la stratégie. Et dans ce monde, bien choisir ses amis n’est pas une question de morale, mais d’optimisation.
Ce n’est pas l’univers coloré de « friends central perk », mais une version post-moderne, désenchantée, presque clinique de l’amitié. C’est matrix on, relation humaine sous stéroïdes logiques, où chaque individu devient un point de convergence de flux utiles.
Conclusion : choisir ou s’enfermer
Dans ce récit, certains verront de la froideur. D’autres, de la lucidité. Mais ce qui est certain, c’est que ce modèle de relation pousse à une seule réflexion essentielle : dans un monde de saturation sociale, bien choisir ses amis est peut-être la seule forme de liberté qu’il nous reste.
Et pour ce solitaire organisé, chaque relation est un choix. Pas une conséquence du hasard, ni un héritage du passé. Un choix actif, répété, ajusté. Pas d’amis, peut-être. Mais un système. Un ordre. Une paix.
L'Enrichissement Pour TOUS - Sébastien de Stratégie Liberté
Envie de transformer radicalement ta situation financière et de prendre le contrôle total de ta vie ? « L’Enrichissement pour Tous » est bien plus qu’un simple livre développement personnel, c’est ta feuille de route vers la liberté financière !
Pourquoi ce livre est-il différent des autres livres développement personnel ? Parce qu’il ne se contente pas de théories creuses, mais te propose des stratégies concrètes et applicables immédiatement pour construire ton indépendance financière.
Tu rêves de vivre de tes rentes et de ne plus dépendre d’un salaire ? Ce livre va transformer ce rêve en réalité. Inspiré par des penseurs comme MJ DeMArco (ou MJ de Marco dans certaines références), cet ouvrage déconstruit tous les mythes sur l’enrichissement.
Comment passer de la survie financière à la prospérité ? La clé réside dans une approche systémique et méthodique. Pour être rentier, il ne suffit pas d’avoir de bonnes intentions, mais de mettre en place des stratégies intelligentes.
Devenir rentier comment ? En comprenant les principes fondamentaux de la création de richesse. Tu apprendras à :
– Investir stratégiquement
– Multiplier tes sources de revenus
– Développer un état d’esprit d’entrepreneur
– Gérer intelligemment ton patrimoine
Pour devenir rentier immobilier ou dans d’autres domaines, tu dois maîtriser l’art de la négociation. Le livre t’enseignera des techniques précises, comme la phrase type pour négocier un prix ou comment refuser une offre d’achat trop basse.
Négocier le prix devient un art que tu maîtriseras parfaitement. Ne t’inquiète pas si tu as peur de faire une offre d’achat trop basse : tu recevras des outils pour négocier avec confiance et intelligence.
Devenir rentier sans capital de départ peut sembler impossible ? Ce livre te prouvera le contraire. Tu découvriras des méthodes innovantes pour générer des revenus passifs, même en partant de zéro.
Ce n’est pas qu’un livre, c’est un véritable programme de transformation. Chaque chapitre est conçu comme une étape concrète vers ta liberté financière. Tu ne liras pas simplement, tu agiras !
Les témoignages de lecteurs qui ont réussi grâce à ces méthodes sont là pour le prouver : changer sa vie financièrement est possible. Tu as entre tes mains plus qu’un livre, tu as une opportunité unique de réinventer ton rapport à l’argent.
vivre de ses rentes, est on riche avec 100 000 euros ? Attention : ce livre n’est pas pour les rêveurs passifs, mais pour les acteurs déterminés. Si tu es prêt à sortir de ta zone de confort, à remettre en question tes croyances limitantes sur l’argent et à agir concrètement, alors « L’Enrichissement pour Tous » est fait pour toi.
pour une longue vie et prospérité, Ne laisse plus jamais ton avenir financier au hasard. Chaque page de ce livre de développement personnel est un pas de plus vers la liberté, la sécurité et l’abondance. Ton voyage vers l’indépendance financière commence maintenant !
Ce livre est un véritable grand guide pratique, il t’apprendra comment développer tes connaissances financières dans tous les domaines, même les impôts ne seront pas oubliés. Une véritable mine d’or d’informations et actions à entreprendre te seront dévoilées, pas à pas, sans aucun tabous. Tu y trouveras une multitude d’exemples simples chiffrés pour aider l’assimilation et la compréhension des différents concepts.
Ton niveau de salaire importe peu, ce qui importe, c’est ce que tu vas faire de ce salaire. Apprend et applique ce que les riches savent tous pour s’enrichir toujours plus de manière sereine et pérenne. Découvre comment court-circuiter les mauvaises pensées qui te maintiennent pauvre.
Ta richesse se construira sur la durée moyennant de petits efforts qui provoqueront sur la durée de gros résultats. Crois-moi tu ne regretteras pas ce petit achat ! Tu en ressortiras bien plus malin, je te le garantis ! Si tu veux voir un court extrait et le sommaire détaillé, c’est par ici :
https://www.amazon.fr/dp/2959545052
Pages : 330
Prix : 19,90€ au format papier broché disponible sur Amazon
Prix : 9,90€ au format Ebook Kindle disponible sur Amazon
Année : 2024
Articles Comparatifs des meilleurs livres developpement personnel en immobilier, finance et relation de couple
Devenir rentier : Les 24 meilleurs livres de développement personnel
Comparatif complet des meilleurs livres sur la finance et le mindset d'entrepreneur
Comparatif complet des meilleurs livres pour apprendre toutes les bases d'une relation de couple qui fonctionne réellement
Table of Contents
Toggle