guerre en ukraine nombre de mort : causes réelles, absurdités modernes et bilan humain ignoré

Depuis février 2022, la guerre d’Ukraine fait rage. Ce conflit, qu’on nous présente comme la défense des valeurs occidentales ou comme une agression impérialiste, dissimule des motivations plus profondes et surtout, une série d’absurdités géopolitiques. Le bilan de morts humain, colossal, est systématiquement étouffé. La vérité est que cette guerre n’a rien de noble. Elle révèle surtout une humanité gangrenée par la corruption, l’obsession du pouvoir, et une pulsion morbide que certains États semblent entretenir comme une drogue.

L’hypocrisie des camps 

ni pro-russe, ni pro-ukrainien

Dans ce conflit, ceux qui cherchent à imposer une lecture binaire – les gentils contre les méchants – se trompent lourdement. D’un côté comme de l’autre, on retrouve les mêmes travers : corruption massive, nationalisme aveugle, militarisme fanatique. Le camp ukrainien est gangrené par des milices ultranationalistes comme le régiment Azov, dont les penchants idéologiques sont ouvertement nazis. Côté russe, le groupe Wagner fait la même chose dans l’ombre du Kremlin, avec des exécutions sommaires, une brutalité aveugle, et une posture fasciste assumée.

La guerre d’Ukraine nombre de mort n’est pas un affrontement idéologique, c’est une guerre de clans déguisée en combat civilisationnel. Ni les Russes, ni les Ukrainiens ne représentent un modèle à suivre. Ce sont des peuples frères, de même origine ethnique, parlant la même langue (le russe reste dominant en Ukraine), partageant la même religion (christianisme orthodoxe), et pourtant prêts à s’entretuer avec une rage quasi animale. La guerre d’Ukraine est un conflit fratricide, absurde au plus haut point.

Fusion impossible

identité surjouée

Pourquoi deux peuples si proches s’entretuent-ils ? Dans une logique rationnelle, l’Ukraine et la Russie devraient fusionner ou au minimum coopérer. Mais au lieu de cela, on observe une haine identitaire nourrie artificiellement par des décennies de propagande. Cette haine est d’autant plus ridicule qu’elle ne repose sur aucune différence significative. Ce n’est pas un choc de civilisations comme l’avait anticipé Huntington. Ce n’est pas les chrétiens contre les musulmans, ni l’Est contre l’Ouest. C’est l’Est contre l’Est. Des Slaves blancs, chrétiens, qui s’égorgent entre eux. Et pourtant, la guerre d’Ukraine nombre de mort augmente chaque jour.

Cette guerre montre que la nature humaine, en Europe particulièrement, semble avoir besoin de s’autodétruire. Première Guerre mondiale ? Blancs contre blancs. Deuxième Guerre mondiale ? Idem. Troisième ? On y retourne. Une boucle infernale où la paix semble insupportable pour certains dirigeants vampirisés par le pouvoir.

guerre en ukraine nombre de mort

Un théâtre géopolitique de vampires

Le goût du sang dans cette guerre ne relève pas seulement du symbolique. Il semble viscéral. Les discours des chefs d’État, notamment occidentaux, sont glaçants. Certains parlent de “fleuves de sang nécessaires”, de mobilisation “totale”, prêts à envoyer des générations entières de jeunes au massacre pour “libérer” la Crimée ou le Donbass. C’est à se demander si derrière cette façade diplomatique ne se cachent pas de véritables vampires modernes, au sens littéral.

À force de jouer avec le feu, ces figures de pouvoir ne cherchent même plus à cacher leur appétit morbide pour le conflit. La guerre est devenue une nécessité pour maintenir un système économique, politique et militaire en état d’alerte permanent. Et la guerre d’Ukraine nombre de mort devient une variable floue, volontairement ignorée pour ne pas casser l’ambiance belliciste des plateaux télé.

guerre en ukraine nombre de mort

Combats de coqs à l’échelle planétaire

Ce qui se joue en Ukraine n’est ni plus ni moins qu’un combat de coqs à l’échelle géopolitique. Deux camps qui se haïssent sans véritable cause profonde, mais parce qu’on leur a dit de le faire. Comme dans les combats illégaux où des animaux sont dressés à tuer, les États dressent leurs citoyens à haïr et tuer l’ennemi.

Ces affrontements n’ont rien de stratégique ou d’intelligent. Ils sont bestiaux, archaïques. Et ils se soldent toujours par le même résultat : un carnage. La guerre d’Ukraine nombre de mort ne cesse d’augmenter, mais personne ne veut faire pause pour réfléchir. On continue à foncer tête baissée, galvanisés par des discours virilistes, où la politique étrangère se résume à qui a la plus grosse.

guerre en ukraine nombre de mort

La logique du chaos contrôlé

Les dirigeants des grandes puissances aiment le chaos. Il leur permet de gouverner par la peur, de maintenir un contrôle absolu sur la population par la sidération permanente. Crise sanitaire, crise énergétique, guerre, inflation… Il y a toujours un prétexte pour écraser la pensée critique et faire passer des décisions absurdes pour des impératifs vitaux.

Dans cette logique, la guerre d’Ukraine nombre de mort est un outil de gestion politique. On ne cherche pas à sauver des vies, mais à justifier des budgets militaires faramineux, des alliances discutables, des sanctions qui ruinent les populations civiles. Toute tentative de dialogue ou de désescalade est immédiatement taxée de faiblesse ou de trahison.

Le mensonge statistique : les morts qu’on ne compte pas

L’un des aspects les plus macabres de ce conflit est le silence organisé autour du bilan humain. Officiellement, personne ne sait exactement combien de morts a causé la guerre. L’Ukraine interdit de les compter. La Russie aussi. Les États-Unis s’en lavent les mains. Les médias parlent de “dizaines de milliers” ou “centaines de milliers”, mais sans certitude. La guerre d’Ukraine nombre de mort est volontairement floutée.

Selon certaines sources sérieuses, on atteindrait un million de morts cumulés. Mais impossible de vérifier : aucune nouvelle fenêtre vÉrif n’est ouverte. Les ONG sont empêchées, les journalistes muselés, les familles dans le déni. La guerre moderne se fait aussi dans les chiffres, et quand ceux-ci sont trop macabres, on les efface.

Une solution que personne n’a voulu écouter

Pour éviter ce désastre, il aurait suffi d’évacuer les zones de guerre, d’abandonner les territoires contestés comme le Donbass et la Crimée – des zones froides, moches, abandonnées, où personne ne vit réellement bien – pour sauver des centaines de milliers de vies. Mais non. L’orgueil a primé. La guerre d’Ukraine nombre de mort aurait pu être stoppée. Il suffisait d’accepter de perdre une bataille territoriale pour sauver des générations entières. L’option de négociation est systématiquement écartée. On préfère sacrifier des peuples entiers plutôt que perdre la face.

L’absurde comparaison avec la Palestine

La guerre d’Ukraine rejoint une autre tragédie : le conflit israélo-palestinien. Un autre exemple de guerre sans fin, basée sur des légitimités historiques impossibles à départager. Là aussi, le bilan humain est occulté. Là aussi, une solution simple aurait pu être envisagée : un combat unique entre les représentants des deux camps, dans un match de MMA arbitré par un juge suisse. Le gagnant garde le territoire, le perdant le quitte. Fin.

Cette solution, aussi provocante soit-elle, aurait évité des décennies de massacres inutiles. Mais l’humanité préfère les bains de sang. La guerre d’Ukraine nombre de mort est un miroir de cette même logique de destruction volontaire, entretenue par des gouvernements pour qui la paix est synonyme de perte de pouvoir.

Les territoires ne sont que des illusions

Qu’on parle de l’Ukraine, de la Russie, d’Israël ou de la Palestine, une vérité s’impose : les pays ne sont que des constructions administratives temporaires. Ils sont interchangeables. Aujourd’hui, qu’on vive en France, en Allemagne, ou ailleurs, on trouve les mêmes restaurants, les mêmes chaînes, les mêmes boutiques. Starbucks, McDo, hôtels de luxe, et terrains de padel. Ce qu’on appelle « nation » n’est qu’un mot vide. Pourtant, on tue pour ça. On détruit des villes entières. On sacrifie la jeunesse.

La guerre d’Ukraine nombre de mort aurait pu être évitée si l’on avait compris à temps que le monde moderne n’a plus besoin de frontières ensanglantées pour fonctionner. Il a besoin d’intelligence, de recul, et d’humanité. Trois choses qu’aucun des dirigeants impliqués ne semble posséder.

Les vampires de la modernité

Que ce soit Macron, Poutine ou Zelensky, tous semblent drogués à l’idée d’entrer dans l’Histoire par la guerre. Tous participent à ce carnaval morbide où la virilité s’exprime à travers la destruction. Tous utilisent la guerre comme théâtre de leur ego. Et pendant ce temps, la guerre d’Ukraine nombre de mort dépasse le seuil du tolérable.

On ne parle plus de stratégie. On parle de sacrifice humain sur l’autel de la puissance. Et les peuples, eux, restent les otages de cette folie. La logique de domination a remplacé toute forme de compassion. L’humain n’est plus qu’un pion dans un jeu de vampires.

Ce que personne ne veut entendre

La guerre en

Ukraine est l’exemple parfait de ce que devient le monde quand l’intelligence recule. Une humanité qui se détruit pour des illusions. Une géopolitique de cirque. Un carnage qui n’a plus aucun sens. La seule chose qui reste, ce sont les morts. Des centaines de milliers de morts qu’on ne veut pas voir, qu’on ne veut pas compter.

Il est temps de regarder en face cette réalité glaçante. Et de comprendre que tant qu’on acceptera que les guerres soient pilotées par des égos malades et des fantasmes de puissance, on continuera à creuser des fosses communes au nom de causes absurdes.