Comment faire de l’argent sur YouTube en 2024 : la méthode brute et sans filtre

Faire de l’argent sur YouTube fait rêver. Beaucoup pensent qu’il suffit de poster des vidéos pour devenir riche. Erreur. La vérité est beaucoup plus crue. Il ne suffit pas d’allumer une caméra et de parler pour que les billets tombent du ciel. Si tu veux vraiment savoir comment gagner de l’argent sur YouTube, il faut mettre les mains dans le cambouis. Ce guide va te balancer la réalité en pleine gueule, étape par étape. Pas de bullshit, pas de poudre aux yeux. Juste du concret.

L’argent sur YouTube : d’où il vient vraiment

Quand on parle de faire de l’argent avec YouTube, la majorité pense à la monétisation classique : les pubs. C’est-à-dire atteindre 1000 abonnés et 4000 heures de visionnage sur une année. Mais ça, c’est juste la partie visible de l’iceberg. En réalité, ce n’est pas ce qui rapporte le plus.

Les vraies sources d’argent avec YouTube, c’est :

• Les donations (type Tipeee ou BuyMeACoffee)

• Le coaching

• L’assistance personnalisée

• L’affiliation, surtout l’affiliation « custom », directe avec des partenaires ou via des plateformes

• Les formations en ligne

• La vente de logiciels, SaaS ou autres outils numériques

• Les memberships privés (Telegram, Discord)

• Le merch (moins rentable qu’on croit)

• Les e-books

• Les sponsors de vidéos

Parmi toutes ces sources, les plus lucratives restent les formations et l’affiliation. C’est là que le vrai cash se fait. Si tu veux faire de l’argent sur YouTube, oublie les pubs à deux balles et pense comme un entrepreneur. YouTube n’est pas qu’un média, c’est un canal de vente.

Étape 1 : Choisir un nom (mais on s’en fout un peu)

Tout le monde se prend la tête sur le nom de sa chaîne. Stop. C’est pas ça qui va faire la différence. Le nom de ta chaîne ne va pas t’apporter des vues. Il pourra avoir un rôle plus tard pour ton branding, mais au départ, c’est totalement secondaire. Tu peux le changer à tout moment.

Petit conseil quand même : choisis un nom non utilisé, histoire que tu puisses prendre le domaine plus tard si tu veux vendre des produits. Sinon, utilise ton prénom + un mot bidon ou ta localisation. Genre « Thomas Tokyo » ou « Julie Marseille ».

Étape 2 : La thématique – trouver ton terrain de jeu

Tu ne sais pas de quoi parler ? Pas grave. Voici les options :

• Ce que tu aimes

• Ce que tu apprends en ce moment (pas besoin d’être expert)

• Ce que tu maîtrises déjà

• Ton lifestyle, si tu vis dans un endroit atypique

• Des problèmes que tu as résolus

Exemple concret : tu as réussi à débloquer ton compte LeBonCoin ? Fais-en une vidéo. Tu as galéré 2h à comprendre un logiciel ? Partage la solution. Ce type de contenu explose à chaque fois, car il répond à un besoin précis. Le monde est rempli de gens qui cherchent des solutions à leurs emmerdes.

Conseil brutal : teste tout. Fais du multithématique au début. Teste, observe les retours, et quand tu vois un filon, creuse-le. Si tu touches une niche avec peu de concurrence et un vrai besoin, jackpot. Tu veux savoir comment gagner de l’argent avec YouTube ? C’est là que ça commence.

Étape 3 : Équipement – pas besoin de te ruiner

Ne perds pas ton temps (ni ton argent) à acheter une caméra hors de prix. Ton smartphone suffit. Tu veux faire de l’argent avec YouTube, pas claquer 2000 balles en matos dès le départ.

Setup de base :

• Smartphone basique

• Trépied à 10 balles

• Micro optionnel (le son compte, mais pas au début)

• Logiciel de montage : CapCut (gratuit)

Tu veux évoluer plus tard ? OK. Micro Rode Wireless, caméra 360, laptop pour montage propre. Mais pas au début. Le point clé, c’est de produire. Le reste viendra après.

Étape 4 : Le SEO – le secret pour exister

Le SEO sur YouTube, c’est ce qui va faire que ta vidéo est vue ou pas. Et la plupart des créateurs ignorent totalement ce point. Résultat : ils bossent comme des chiens pour zéro vue.

Les points clés du SEO :

• Miniature qui claque (visage, émotion, contraste, 4-5 mots max)

• Titre accrocheur

• Description optimisée

• Tags pertinents

• Hashtags bien choisis

Si tu rates cette étape, tu divises ton potentiel de vues par 10. Tu veux faire de l’argent sur YouTube ? Commence par faire des vues. Apprends à jouer avec l’algorithme.

Utilise Canva ou Gimp pour tes miniatures. Analyse ton CTR (Click Through Rate) : si t’es en dessous de 4%, t’es dans le rouge. Au-dessus de 10%, t’es une machine. Un CTR à 20% ? Tu viens de trouver de l’or.

Étape 5 : Uploader et analyser

Quand tu balances ta vidéo, mets-la d’abord en non-répertoriée. Regarde le rendu. Vérifie que tout est propre. Puis mets-la en public.

Ensuite, analyse. Pas dans la minute. Attends 24h, 48h. Check :

• Vues

• CTR

• Durée de visionnage

• Abonnés gagnés

Si ça explose ? Refais la même chose, en mieux. Si ça foire ? Change de thématique. N’insiste pas comme un bourrin. Tu veux faire de l’argent sur YouTube ? Faut savoir pivoter vite.

Étape 6 : Créer une communauté

YouTube pousse les memberships, mais en vrai, c’est pas ouf. Crée plutôt un groupe Telegram ou Discord. Tu parles direct avec ta communauté, tu crées du lien, tu vends tes produits plus tard.

Fais aussi des lives, des FAQ, des sessions réponses. Ta communauté va grossir, et c’est elle qui va t’amener du revenu long terme.

Étape 7 : Vendre (et donc gagner)

C’est maintenant que tu commences à rentrer dans le dur du business. Tu peux commencer à vendre dès le début, même si t’as peu de vues.

Voici ce que tu peux vendre :

• Coaching individuel

• Formations en ligne

• Ebooks

• Accès à un club privé

• Produits affiliés

Tu mets un lien en description, tu renvoies vers ta page Tipeee ou autre, tu appelles aux dons. Tu n’attends pas que YouTube t’envoie un chèque. Tu prends les devants.

Et si tu veux vraiment professionnaliser ton approche, là tu crées :

• Ton site web (WordPress ou autre)

• Une page de vente

• Une automatisation (paiement, livraison, email)

Mais ça, seulement quand t’as commencé à capter du trafic et à convertir.

Étape 8 : Se protéger et respecter les règles

YouTube, c’est pas le Far West. Tu veux pas que ta chaîne saute pour une connerie. Donc :

• Pas de diffamation

• Pas de copyright

• Pas de contenu médical sans précaution

• Pas de langage trop trash

Un strike, c’est déjà la merde. Deux, c’est l’épée de Damoclès. Trois, t’es mort. Donc joue avec les règles. Tu veux faire de l’argent sur YouTube ? Commence par garder ta chaîne en vie.

Ce qui ne sert à rien au début (et que tout le monde fait)

On va te dire de :

• Travailler ton logo

• Faire un branding de ouf

• Créer un site dès le début

• Avoir une identité visuelle

Grosse perte de temps. Tant que t’as pas 1000 abonnés, tout ça c’est du vent. Ton seul objectif au départ, c’est de passer de l’ombre à la lumière. Le reste, tu le feras plus tard, quand t’auras un vrai public.

Quelques techniques pour accélérer

Tu veux aller plus vite ? Voilà les hacks :

• Parle de l’actu brûlante. Tape « fiscalité Macron », « crise logement », « faits divers », et balance ton avis.

• Interviewe des YouTubeurs (même plus petits). L’effet levier est énorme.

• Fais des clashs ou des revues. Analyse, critique, réagit.

• Réponds aux questions des gens en vidéo.

• Traduis ou adapte des vidéos anglophones à ta sauce.

Ces techniques font grimper ton audience vite. Et plus t’as d’audience, plus tu fais d’argent sur YouTube.

Conclusion : YouTube, un vrai business (si tu t’en donnes les moyens)

Tu veux savoir comment gagner de l’argent sur YouTube ? Voilà la vérité :

• Ce n’est pas en misant tout sur la pub.

• Ce

n’est pas en cherchant à être parfait dès le début.

• Ce n’est pas en copiant ce que tout le monde fait.

C’est en testant, en t’adaptant, en vendant dès que possible, et en traitant YouTube comme un vrai business.

L’argent ne vient pas de YouTube. Il vient de ce que tu fais de ton audience. Ce que tu proposes, ce que tu vends, la confiance que tu crées.

Et maintenant ? Tu n’as plus aucune excuse. Prends ton smartphone, filme, publie, et recommence. Jusqu’à ce que ça prenne.

La plateforme, c’est un prétexte. Ce qui compte, c’est ce que tu en fais.

Tu vois, la réalité, c’est que ce n’est pas l’outil qui fait le succès. C’est ce que tu décides de créer avec. Tu peux avoir les meilleures caméras, le micro qui coûte une blinde, un montage hollywoodien… si tu n’as rien à dire, si tu n’as pas cette étincelle qui pousse à revenir, à cliquer, à s’impliquer, ça ne vaut rien.

On vit dans un monde saturé. Tout le monde parle. Tout le monde montre sa tête. Tout le monde pense avoir une opinion qui mérite d’être entendue. Et toi, au milieu de ce chaos, tu dois décider : est-ce que tu vas être un bruit de plus dans le fond ? Ou est-ce que tu vas être celui qui fait taire la pièce quand il parle ?

Ce n’est pas une question de talent. Ce n’est pas une question de charisme. C’est une question d’intention, d’énergie, de cohérence. Si tu débarques avec quelque chose de réel, de brut, avec des tripes et un minimum de structure, les gens le sentent. Et quand ils le sentent, ils reviennent.

Mais voilà l’autre face du miroir : c’est long. C’est chiant. C’est parfois humiliant. Tu vas passer des heures à écrire, tourner, monter, pour au final voir trois péquins cliquer sur ta vidéo. Et là, tu auras deux options : abandonner, ou te servir de cette claque comme d’un coup de fouet. La majorité baisse les bras ici. Ceux qui percent sont ceux qui se prennent la claque, la digèrent, et repartent au charbon.

Tu vas douter. Tu vas comparer. Tu vas regarder ceux qui cartonnent et te dire : « Pourquoi pas moi ? » Et la vérité, c’est que ce n’est pas une question de mérite. C’est une question de persistance. Ceux qui explosent, ce sont souvent ceux qui ont osé publier 100 trucs nuls avant de trouver ce qui marche. Ceux qui ont accepté de faire moche, bancal, mal éclairé, mais qui ont posté quand même. Parce qu’ils avaient compris une chose : avancer dans la merde vaut mieux que rester propre et figé.

La constance, c’est ta meilleure arme. Oublie l’inspiration divine. Oublie le moment parfait. Rien ne sera jamais prêt. Il faut poster quand c’est encore imparfait. Il faut lancer l’idée quand elle te paraît encore fragile. Il faut publier même quand t’as le doute dans le ventre. C’est ça, le vrai boulot.

Et puis, il y a un autre truc dont on parle peu : le regard des autres. Tes potes vont se foutre de ta gueule. Ta famille va te demander si « ça sert à quelque chose ». Les inconnus vont t’insulter gratuitement. Ce n’est pas personnel. C’est la taxe à payer quand tu oses faire quelque chose de visible.

Mais si tu continues, malgré tout ça, quelque chose d’étrange va se produire. Les critiques vont se taire. Les moqueries vont se transformer en silence. Puis en respect. Et peut-être même, plus tard, en demandes de conseils.

Là, tu verras que tu as passé un cap. Que tu n’es plus juste en train de tenter un truc. Tu construis quelque chose. Quelque chose qui te dépasse. Quelque chose qui peut, à terme, changer ta vie, mais aussi celle de ceux qui te suivent. Parce que tu ne te contentes plus de poster des trucs. Tu influences. Tu inspires. Tu aides.

C’est à ce moment-là que tu comprendras : tu n’as pas juste appris à tenir une caméra. Tu as appris à penser comme un bâtisseur. Tu as compris que pour obtenir ce que peu de gens ont, il faut faire ce que peu de gens font. Tu es devenu quelqu’un de rare, et ça, personne ne peut te l’enlever.

Alors voilà. Ce ne sera pas toujours simple. Tu vas galérer. Tu vas douter. Tu vas peut-être te perdre. Mais si tu tiens bon, si tu restes honnête avec ce que tu veux transmettre, tu finiras par créer quelque chose de réel. De fort. De vivant.

Et à ce moment-là, tu ne chercheras plus la validation. Tu la deviendras.

Mais attention : il y a un piège plus subtil que l’échec, plus toxique que les haters, plus sournois que l’oubli. Ce piège, c’est la validation facile. Les petits succès précoces. Les likes qui montent d’un coup. Le clip qui perce. Tu crois que t’as gagné. Tu crois que c’est bon, que t’es dans la cour des grands. Et tu lèves le pied. Tu commences à calculer. À faire ce que tu penses que les gens veulent, plutôt que ce que tu veux vraiment exprimer. Et c’est là que tu commences à mourir, lentement.

Parce qu’à partir de ce moment-là, t’es plus un créateur. T’es un prestataire. Tu bosses pour une attente que t’as pas choisie. Tu t’adaptes à des codes que t’as pas inventés. Et un jour, tu te réveilles, et tu réalises que tout ce que t’as bâti n’est plus qu’une coquille vide.

Il faut rester libre. Même quand ça marche. Surtout quand ça marche. Parce que la seule chose qui te rend vraiment inarrêtable, c’est d’avoir un truc à dire que personne ne peut t’enlever. Pas un algorithme. Pas une mode. Pas une tendance. Juste toi, ta vision, ton feu.

Et si t’es encore là, à lire ça, c’est que ce feu, tu l’as. Peut-être qu’il est timide. Peut-être qu’il est enfoui sous les doutes, les excuses, les « je commence demain ». Mais il est là. Et si tu l’écoutes, si tu le laisses t’envahir, tu n’auras plus besoin de permission pour avancer. Tu vas créer parce que t’as plus le choix. Parce que c’est une nécessité.

Et à partir de là, plus personne ne pourra t’arrêter.