Pourquoi ne pas s’installer en Thaïlande est une connerie : 4 mauvaises raisons démystifiées

S’installer en Thaïlande est souvent considéré comme un rêve, mais beaucoup sèment le doute avec des arguments bidons. Voici un article franc, cru, sans détour, qui démonte quatre mauvaises raisons de ne pas venir vivre en Thaïlande. En bonus, quelques pistes pour partir thailande pas cher — parce que oui, c’est possible, et ça change tout.

Première fausse excuse : “On ne peut pas être propriétaire”

Beaucoup disent qu’un étranger ne peut pas posséder un bien en Thaïlande. C’est faux. Carrément faux. Ce mythe persiste, mais la réalité est beaucoup plus nuancée.

• On ne peut pas acheter tous les types de biens. Terrains ? Villas sur terrain ? Terrain urbain ? Big non pour les étrangers dans la plupart des cas.

• Par contre, condominium : immeubles d’appartements avec piscine, services communs, etc. Oui, on peut être proprio de condo, même être en pleine propriété, pas de montage obscure type sociétés éditées pour contourner la loi.

• Mais attention : pour acheter un condo, il faut que ce logement entre dans le foreign quota. Ce quota limite la proportion de condos qu’un étranger peut acheter dans un building (ex : 49 %, 30 %, selon le projet).

Exemple concret :

Premier appartement acheté à un Italien qui vendait sa pleine propriété dans le quota. Deuxième appartement acheté probablement à un Belge dans le même quota.

Ça prouve que ce n’est pas théorique, c’est pratique. Tu peux être propriétaire. Tu n’es pas obligé d’acheter un condo de luxe avec jacuzzi, rooftop, super condos neufs à prix exorbitant. Les condos de deuxième main sont là, avec des charges faibles, dans des immeubles simples.

Tout ça soulève une idée centrale : partir thailande pas cher commence par choisir un logement modeste, dans un condo existant, ailleurs que dans les zones hyper touristiques. C’est le le moins cher pour poser ses valises.

Deuxième mauvaise raison : “Les Thaïlandais ne nous veulent pas”

On entend souvent : « Tu seras toujours un étranger, ils te verront comme un outsider, jamais comme un local. » Bordel de merde, ça dépend. Oui, il y a des moments où tu es un farang (étranger), mais l’intégration est possible, et souvent plus simple qu’on le croit.

• Si tu fais un effort : parler un peu le thaï (ou tailé, prononcé localement thai), comprendre des usages locaux — ça change tout. Même dans des zones où l’anglais est quasi inexistant, quelques mots bien placés te donneront une place, feront que les locaux t’acceptent mieux.

• L’attitude compte. Respecter les coutumes, la nourriture, les gens, t’adapter — ça passe mieux que d’arriver avec un ego de touriste.

Oui, certaines différences culturelles sont fortes, mais ce n’est pas un mur infranchissable. On voit des couples mixtes, des enfants métissés, des étrangers bien intégrés dans des communautés locales, souvent appréciés.

Donc l’idée que la france pour thaïlande ou toute notion de supériorité étrangère prohibée soit impossible ? Non, ridicule. On n’est pas ignoré parce qu’on est étranger, juste parce qu’on ne fait pas l’effort ou qu’on ne veut pas comprendre.

Troisième mauvaise raison : “Impossible de lancer un business seul, obligation d’association locale à 51 %”

Un classique : “Si tu veux monter un business, tu dois t’associer avec un Thaïlandais, il doit avoir 51 % des parts.” Encore un mythe amplifié, surtout si on généralise ça pour toute l’Asie.

• Ce n’est pas vrai partout. Dans plusieurs pays asiatiques, y compris certains voisins ou juridictions proches, il est possible de créer une entreprise détenue à 100 % par un étranger, selon l’activité, le type de société, la zone d’implantation.

• En Thaïlande, oui, certaines activités “sensibles” ou secteurs réglementés imposent des partenaires locaux ou des quotas, mais beaucoup d’autres non, surtout dans le digital, la création de contenu, le travail à distance.

Exemple :

Business en ligne : création de contenu, freelancing, e-commerce légers, services digitaux. On peut très bien travailler depuis la Thaïlande avec une société étrangère détenue à 100 %.

Pour partir thailande pas cher, c’est une carte maîtresse : développer quelque chose qui ne nécessite pas d’infrastructure physique coûteuse, pas d’achat de terrain, pas de locaux, pas de stocks gigantesques. Fermer à clé tes frais fixes, faire le maximum en remote/computer + stratégie digitale, et minimaliser les formalités coûteuses.

Quatrième mauvaise raison : “Visa instable, rejet du jour au lendemain, tu peux te faire virer du pays”

Oui, les visas changent. Oui, certaines règles varient. Mais prétendre que c’est impossible de rester légalement longtemps, que le visa peut être annulé sans raison — c’est une exagération massive.

• Il existe des visas retraite, des visas DTV (Digital Nomad Type Visa ou équivalent), des visas de travail à distance, etc. Malgré les fluctuations des conditions, des montants, des exigences, les options s’améliorent globalement.

• Des visas de 2 ans renouvelables, des visas de 5 ans existent pour certains profils. Ce qui n’existait pas avant est en train d’arriver.

Ce qui compte :

• rester informé sur les conditions actuelles,

• choisir un visa adapté à ton profil (retraite, business digital, investisseur, etc.),

• anticiper les renouvellements, préparer dossiers à jour, preuves demandées, etc.

Encore une fois, pour partir thailande pas cher, le bon visa change tout : choisir celui qui impose les moins de frais, les démarches les plus simples, et limiter le nombre d’allers-retours ou de frais de renouvellement.

Ce que ces mauvaises raisons ont en commun

Toutes ces fausses excuses se basent sur la peur, sur des “on m’a dit que…” ou “ça paraît compliqué”… sans jamais aller vérifier. Elles bloquent avant même de creuser. Elles considèrent seulement les pires scénarios, pas les moyennes réalités, et encore moins les possibilités.

Voici ce qui revient souvent :

1. La peur de l’inconnu : on s’imagine des pires cas (visa retiré, arnaques, refus de propriété), alors même que des gens vivent bien ici, depuis des années.

2. Comparer avec ce que l’on connaît : “en France”, “ce que j’ai vu dans les médias”, etc. Forcément, ça adapte pas directement à la Thaïlande. Tu juges avec des lunettes de France ou d’Europe.

3. Ne pas chercher les versions récentes : les lois changent, les visas évoluent, des options nouvelles apparaissent. Ceux qui parlent de leur expérience datent souvent de 5, 10 ans.

Comment sortir de ces fausses croyances et réussir ton installation

Voici des pistes concrètes pour casser ces idées reçues, et aussi pour partir thailande pas cher sans te faire plumer :

• Fais tes recherches actuelles : lis les sites officiels thaïlandais, les forums récents, les groupes Facebook d’expatriés actifs, contacte des avocats ou spécialistes locaux.

• Visite avant de t’installer : venir en séjour, observer, te rendre compte des coûts réels (logement, transports, nourriture, santé). Tu verras que ça peut coûter beaucoup moins que ce que tu imagines.

• Commence petit : un petit condo plutôt qu’une villa de luxe, dans une ville moins touristique plutôt qu’à Bangkok ou Phuket. Moins d’achats coûteux, moins de charges, moins de pompe à fric touristique.

• Opte pour un business digital : freelancing, création de contenu, e-commerce léger, services en ligne — tu peux travailler depuis la Thaïlande avec une structure adaptée et souvent externalisée. Tes coûts fixes seront faibles, les revenus peuvent être bons selon ce que tu fais.

• Visas adaptés : retraite, long séjour, digital nomad — choisis celui dont les conditions te conviennent le mieux, prends en compte les ressources exigées, les preuves à fournir, la possibilité de renouvellement.

Le coût de la vie, et comment partir thailande pas cher

Parce que tout ça, c’est bien, mais l’argent reste la barrière principale pour beaucoup. Oui, la Thaïlande peut être bon marché, mais tout dépend de ton style de vie et de tes choix.

Coûts typiques

• Logement : un condo simple, second main, hors zone premium — loyer très raisonnable, charges basses.

• Nourriture : manger local coûte peu ; restaurants touristiques ou importations coûtent leur prix.

• Transport : scooters, transports locaux, bus, etc., moins chers que voiture personnelle + essence chère.

• Santé : assurance santé privée + hôpitaux de qualité, dans les grandes villes ; dans les provinces, c’est plus rustique.

Stratégies pour partir thailande pas cher

1. Choisir une ville moins touristique, hors des zones que tout le monde vise. Dans ces endroits, logement, nourriture, loisirs coûtent beaucoup moins.

2. Ne pas chercher le luxe immédiatement. Les extras (piscine, service, rooftop, station de sport, spa) coûtent cher. Si tu te contentes du nécessaire, tu peux grandement réduire ton budget.

3. Acheter sur le marché secondaire. Un condo déjà occupé ou ancien peut coûter beaucoup moins, et souvent tu n’auras pas à faire de gros travaux.

4. Voyager, bouger, profiter des offres moins chères, éviter la haute saison, les hôtels de luxe.

5. Faire ton business ou travail à distance, qui te permet de générer en devise forte si possible, mais de dépenser en devise locale.

Résumé des quatre mauvaises raisons

Donner tort aux mythes — témoignages factuels

Sans citer de noms, voici des réalités rencontrées :

• Propriétés achetées en pleine propriété, dans différents condominiums, à des étrangers qui revendiquent le droit de propriété légitime.

• Couples mixtes formés, descendants métissés, acceptation sociale dans des zones rurales ou moins touristiques.

• Créateurs de contenu, freelances, entrepreneurs digitaux qui vivent d’une société étrangère ou locale avec 100 % de parts, tout en travaillant à distance depuis la Thaïlande.

• Retraités étrangers bénéficiant du visa retraite depuis des années, ne subissant pas de refus arbitraires ou de renvois subits — et ce même dans des zones reculées.

Pourquoi ces mauvaises raisons tiennent encore

• Le bouche-à-oreille, les récits datés, les articles non mis à jour véhiculent le faux.

• Peur du changement, de l’incertitude, peur économique.

• L’image exotique ou romantique de la Thaïlande mêlée à des récits dramatiques, des mises en garde exagérées.

Conclusion : lâcher la peur, faire le choix réaliste

En vérité, ces quatre mauvaises raisons sont largement exagérées. Elles ne tiennent pas la route pour qui s’est informé, observé, testé. Et surtout, partir thailande pas cher est une démarche accessible si tu choisis bien — petit logement modeste, vie locale, business digital, visa adapté.

Si tu veux venir, retires-toi de l’idée que tout est impossible. Regarde les lois actuelles, parle avec des gens qui vivent là, fais un plan réaliste, et lance-toi.

Voilà, tu vois, ce n’est pas un fantasme, ni un conte de fée : partir thailande pas cher est possible, ça marche, et ça peut te changer la vie.