Népal en flammes : la Génération Z fait tomber le pouvoir

Feu Nepal : Quand la Génération Z Met le Feu à un Système en Déclin

Le feu nepal ravage bien plus que des bâtiments : il consume un système politique gangrené, une jeunesse désabusée, et un modèle social qui craque de toutes parts. Ce pays himalayen, longtemps perçu comme paisible et résilient, traverse une crise sans précédent. Ce ne sont pas de simples émeutes ou quelques manifestations éparses. Non. C’est une révolte brutale, frontale, violente, menée principalement par une jeunesse en colère, la Génération Z, qui ne veut plus se taire, et encore moins patienter. Feu, pillages, incendies, démissions : tout y passe. Un soulèvement d’une intensité telle que l’histoire du pays en sera, sans doute, à jamais marquée.

La colère embrase les rues : un soulèvement d’une brutalité rare

Tout commence par des manifestations qui, très vite, tournent à l’insurrection. On ne parle pas ici de simples rassemblements pacifiques : ce sont des bâtiments publics entiers qui partent en fumée. Le Parlement népalais ? Réduit en cendres. Le complexe Singha Durbar, symbole même du pouvoir central ? Pris d’assaut, ravagé. Même la résidence privée du Premier ministre, alors en fonction, n’échappe pas à la furie populaire : pillée, incendiée, détruite. Lui n’a d’autre choix que de fuir avant d’annoncer la démission du premier ministre. Mais le feu nepal ne s’arrête pas à un nom ou à une institution.

D’autres figures de l’élite politique sont ciblées. L’ancien Premier ministre Sher Bahadur Deuba, entre autres, voit sa maison prise d’assaut, ses biens pillés, ses murs noircis par les flammes. Une véritable purge politique est en marche, menée non pas par des forces armées organisées, mais par une génération de jeunes qui ne croient plus aux urnes, ni aux promesses.

La génération Z au front : zombifiée, radicalisée, incontrôlable ?

Nés entre 1997 et 2012, les jeunes Népalais âgés de 13 à 28 ans prennent les commandes de cette révolte. Une génération ultra-connectée, élevée à coups de vidéos virales, de contenus instantanés, de hashtags de protestation. Le feu nepal, c’est aussi celui qui consume les réseaux sociaux, ces nouveaux champs de bataille numériques où se forge l’indignation et où s’organise la colère.

Ceux qu’on accuse de paresse, de passivité, ceux qu’on qualifie de « zombifiés » par les écrans, prennent aujourd’hui la rue à coups de pierres, de cocktails Molotov et d’une hargne qu’aucun pouvoir en place ne semble comprendre. Ils ne veulent plus attendre que les promesses se réalisent. Ils veulent tout, maintenant.

Mais que reprochent-ils au juste au système ? D’abord, l’instabilité politique. Cela fait plus de 30 ans que les mêmes clans gouvernent. Des décennies de promesses non tenues, de stagnation politique, d’incapacité chronique à réformer en profondeur. Le parti au pouvoir, le CPN-UML, un parti marxiste-léniniste, monopolise les institutions sous couvert de démocratie. À chaque élection, c’est le même scénario : les urnes valident le statu quo. Et cette jeunesse n’en peut plus.

Ensuite, la corruption des élites ont littéralement gangrené l’appareil d’État. Pour ces jeunes, les institutions sont pourries jusqu’à l’os. Il ne s’agit plus de simples pots-de-vin ou de favoritisme. C’est un système basé sur la rapine et l’entre-soi, un réseau d’intérêts où les puissants s’enrichissent sur le dos des autres. Pourtant, l’indice de perception de la corruption du pays, classé 107e sur 180, n’est ni exceptionnellement bas ni particulièrement alarmant comparé à ses voisins comme l’Inde ou le Pakistan. Pire encore, il tend à s’améliorer d’année en année. Mais dans la perception de la jeunesse, cette amélioration est invisible. Pour elle, le système est pourri, point.

Et le chômage des jeunes ? Catastrophique selon les protestataires. Le taux atteint 20 % chez les 15-24 ans. Un chiffre certes élevé, mais stable depuis deux décennies. Il n’explique pas, à lui seul, cette explosion de rage. En réalité, ce taux est resté autour de 19 à 20 % depuis 20 ans. Il n’y a donc pas eu de basculement soudain. Le chômage est une constante dans la vie des jeunes Népalais, un mal chronique.

Enfin, la répression de la liberté d’expression. Le gouvernement a tenté le blocage des réseaux sociaux pour des raisons invoquées de « sécurité nationale ». Une erreur stratégique monumentale. Cette tentative d’étouffement de la parole libre a été la goutte d’eau qui a fait exploser la cocotte-minute. Dans une époque où l’identité des jeunes se forge en ligne, interdire TikTok, Instagram, ou Facebook revient à leur retirer leur voix. Résultat : l’explosion.

Un pays qui allait pourtant mieux…

Ironie ultime : le Népal, malgré sa mauvaise presse actuelle, n’a jamais été aussi prospère. Le feu nepal surgit dans un contexte paradoxal où tous les indicateurs économiques sont au vert. Le salaire minimum a doublé entre 2013 et 2024. Le PIB par habitant, quant à lui, est passé de 339 € en 2004 à 1 350 € en 2023 : une progression fulgurante. Le pays affiche une croissance moyenne de 4 % sur les dernières années.

Mais ce n’est pas tout : la réduction de la pauvreté y est spectaculaire. En 1995, 55 % de la population vivait dans l’extrême pauvreté. En 2022, ce chiffre tombe à… 0,4 %. Un résultat qui force le respect, salué même par les Nations Unies. Quant au taux de pauvreté global, il est passé de 42 % à seulement 17 %. On est loin du cliché d’un pays du Tiers-Monde en ruine.

Alors pourquoi tout brûler maintenant ? Pourquoi ce feu nepal ravage-t-il un pays en plein progrès ?

Quand l’utopie vire au cauchemar : retour du spectre communiste

Le paradoxe est glaçant : ceux qui cassent aujourd’hui ont élu, ou vu élire, les mêmes partis pendant 30 ans. C’est ce même peuple qui a reconduit un pouvoir marxiste-léniniste, convaincu qu’il détenait la solution. Mais la jeunesse actuelle rejette ce modèle, non pas pour adopter un système plus libéral ou entrepreneurial, mais pour glisser dans une forme de nouveau communisme, à la sauce numérique. Une utopie Robin-des-Bois version 2.0, où l’on ne veut plus créer de richesses, mais les redistribuer de force. Prendre aux riches pour donner aux pauvres. Encore faut-il qu’il y ait des riches à piller.

Ce modèle est bancal. Le Népal survit en grande partie grâce aux travailleurs expatriés. Des millions de Népalais partent dans les pays du Golfe, en Malaisie, ou ailleurs pour envoyer de l’argent à leur famille. C’est cette économie de la diaspora qui fait tourner la machine. Autrement dit, pendant que certains brûlent leur propre capitale, d’autres suent sang et eau à l’étranger pour que le pays tienne debout.

La jeunesse en guerre contre elle-même

Le feu nepal révèle aussi une fracture générationnelle profonde. Les jeunes, abreuvés de promesses globalisées et de modèles occidentaux via les réseaux, veulent un mode de vie qu’ils ne peuvent atteindre. Et plutôt que de s’en prendre à cette globalisation mensongère, ils s’en prennent à leur propre pays. Ils le sabotent. Au nom de quoi ? D’un avenir qu’on ne leur offre pas tout cru ?

Le refus du travail, de l’effort, de l’entrepreneuriat, est palpable. Ce n’est pas seulement une crise politique, c’est une crise de valeurs. Ce feu-là, plus que celui des briques et du bois, est bien plus destructeur.

Les revendications contre la corruption, la demande de justice, le besoin de reconnaissance sont légitimes. Mais faut-il pour autant brûler le pays ? Libérer 13 500 criminels des prisons ? Vandaliser les médias nationaux ? Réduire au silence ceux qui informent ? C’est là que la limite est franchie. Quand on bascule de la protestation à l’anarchie.

Réseaux sociaux, essence de la colère ?

Dans cette crise, les réseaux sociaux et la corruption sont les deux fils rouges. D’un côté, des plateformes numériques qui galvanisent, organisent, radicalisent. De l’autre, une perception d’un système pourri qui n’a plus la confiance de personne. Le lien entre les deux est explosif. Une étincelle suffit : une vidéo virale, un tweet, une coupure de réseau – et tout explose.

On retrouve des scénarios similaires ailleurs dans le monde : en Russie, en Ukraine, en Israël. Partout, les gouvernements comprennent que le vrai pouvoir, aujourd’hui, est informationnel. Dénoncer la corruption, ce n’est plus coller des affiches, c’est poster une story Instagram. Et pour les gouvernements dépass

és, la solution est toujours la même : censurer.

Mais censurer, en 2025, c’est jeter de l’huile sur le feu. Le feu nepal, littéralement.

Un avertissement pour le monde entier

Ce qui se passe au Népal n’est pas un phénomène isolé. Ce n’est pas qu’un peuple qui s’indigne. C’est un signal d’alarme pour tous les gouvernements sclérosés, pour tous les pays où les jeunes ne se sentent ni entendus, ni représentés. L’Indonésie a connu des remous similaires. D’autres suivront. C’est une lame de fond.

Mais tout mouvement de masse n’est pas forcément légitime. Réclamer un changement ? Oui. Mais sur quels fondements ? Sur des fantasmes de redistribution magique, sans production ? Sur une haine infantile du pouvoir, sans projet alternatif crédible ? La colère ne suffit pas. Il faut des idées, une vision, une responsabilité.

Brûler son propre pays n’a jamais bâti un avenir. Le feu nepal laissera des cendres, des ruines, et une population encore plus divisée.

Vers quelle issue ?

La voie de sortie ne viendra pas d’une nouvelle émeute, ni d’une autre démission symbolique. Elle viendra peut-être d’un sursaut de lucidité. Accepter que la colère ne doit pas se transformer en autodestruction. Comprendre que voter, entreprendre, s’engager dans la société, est plus utile que d’allumer un cocktail Molotov.

Le feu nepal pourrait être une opportunité. Celle d’ouvrir les yeux sur un modèle politique épuisé, sur une jeunesse qui mérite mieux, mais qui doit aussi apprendre à construire, pas seulement à déconstruire.

Sans cela, les flammes reviendront. Et la prochaine fois, il n’y aura peut-être plus rien à brûler.

L'Enrichissement Pour TOUS - Sébastien de Stratégie Liberté

Envie de transformer radicalement ta situation financière et de prendre le contrôle total de ta vie ? « L’Enrichissement pour Tous » est bien plus qu’un simple livre développement personnel, c’est ta feuille de route vers la liberté financière !

Pourquoi ce livre est-il différent des autres livres développement personnel ? Parce qu’il ne se contente pas de théories creuses, mais te propose des stratégies concrètes et applicables immédiatement pour construire ton indépendance financière.

Tu rêves de vivre de tes rentes et de ne plus dépendre d’un salaire ? Ce livre va transformer ce rêve en réalité. Inspiré par des penseurs comme MJ DeMArco (ou MJ de Marco dans certaines références), cet ouvrage déconstruit tous les mythes sur l’enrichissement.

Comment passer de la survie financière à la prospérité ? La clé réside dans une approche systémique et méthodique. Pour être rentier, il ne suffit pas d’avoir de bonnes intentions, mais de mettre en place des stratégies intelligentes.

Devenir rentier comment ? En comprenant les principes fondamentaux de la création de richesse. Tu apprendras à :
– Investir stratégiquement
– Multiplier tes sources de revenus
– Développer un état d’esprit d’entrepreneur
– Gérer intelligemment ton patrimoine

Pour devenir rentier immobilier ou dans d’autres domaines, tu dois maîtriser l’art de la négociation. Le livre t’enseignera des techniques précises, comme la phrase type pour négocier un prix ou comment refuser une offre d’achat trop basse.

Négocier le prix devient un art que tu maîtriseras parfaitement. Ne t’inquiète pas si tu as peur de faire une offre d’achat trop basse : tu recevras des outils pour négocier avec confiance et intelligence.

Devenir rentier sans capital de départ peut sembler impossible ? Ce livre te prouvera le contraire. Tu découvriras des méthodes innovantes pour générer des revenus passifs, même en partant de zéro.

Ce n’est pas qu’un livre, c’est un véritable programme de transformation. Chaque chapitre est conçu comme une étape concrète vers ta liberté financière. Tu ne liras pas simplement, tu agiras !

Les témoignages de lecteurs qui ont réussi grâce à ces méthodes sont là pour le prouver : changer sa vie financièrement est possible. Tu as entre tes mains plus qu’un livre, tu as une opportunité unique de réinventer ton rapport à l’argent.

vivre de ses rentes, est on riche avec 100 000 euros ? Attention : ce livre n’est pas pour les rêveurs passifs, mais pour les acteurs déterminés. Si tu es prêt à sortir de ta zone de confort, à remettre en question tes croyances limitantes sur l’argent et à agir concrètement, alors « L’Enrichissement pour Tous » est fait pour toi.

pour une longue vie et prospérité, Ne laisse plus jamais ton avenir financier au hasard. Chaque page de ce livre de développement personnel est un pas de plus vers la liberté, la sécurité et l’abondance. Ton voyage vers l’indépendance financière commence maintenant !

Ce livre est un véritable grand guide pratique, il t’apprendra comment développer tes connaissances financières dans tous les domaines, même les impôts ne seront pas oubliés. Une véritable mine d’or d’informations et actions à entreprendre te seront dévoilées, pas à pas, sans aucun tabous. Tu y trouveras une multitude d’exemples simples chiffrés pour aider l’assimilation et la compréhension des différents concepts. 

Ton niveau de salaire importe peu, ce qui importe, c’est ce que tu vas faire de ce salaire. Apprend et applique ce que les riches savent tous pour s’enrichir toujours plus de manière sereine et pérenne. Découvre comment court-circuiter les mauvaises pensées qui te maintiennent pauvre. 

Ta richesse se construira sur la durée moyennant de petits efforts qui provoqueront sur la durée de gros résultats. Crois-moi tu ne regretteras pas ce petit achat ! Tu en ressortiras bien plus malin, je te le garantis ! Si tu veux voir un court extrait et le sommaire détaillé, c’est par ici :

https://www.amazon.fr/dp/2959545052
Pages : 330
Prix : 19,90€ au format papier broché disponible sur Amazon
Prix :  9,90€ au format Ebook Kindle disponible sur Amazon
Année : 2024