diversifier ses revenus, Faut-il défendre une cause ou vivre pour soi ?
Dans un monde où tout pousse à l’individualisme, une question revient avec insistance chez les esprits lucides : faut-il défendre une cause ou se contenter de vivre sa vie de manière purement égoïste ? Cette interrogation, qui pourrait sembler philosophique ou théorique à première vue, soulève en réalité des enjeux brûlants, à la croisée de la morale, de la conscience et de la survie sociale.
Face à un système verrouillé, où la liberté d’expression est une illusion entretenue, où les combats collectifs sont souvent vains, peut-on encore croire que s’engager sert à quelque chose ? Ou vaut-il mieux se concentrer sur son propre développement, sur sa tranquillité et, surtout, sur des stratégies concrètes pour diversifier ses revenus et échapper à la violence sourde du quotidien ?
diversifier ses revenus, L’individualisme assumé : un mode de vie cohérent
Beaucoup de gens vivent aujourd’hui dans l’illusion d’un monde où leurs opinions comptent, où l’activisme sur les réseaux sociaux change la société, où signer une pétition sur internet revient à poser un acte politique. Pendant ce temps, d’autres ont fait un choix clair : ils vivent pour eux, point barre.
Pas de faux-semblants, pas de posture morale de façade, juste une acceptation franche de leur propre égoïsme. Et ce mode de vie, aussi cru qu’il puisse paraître, est souvent plus cohérent que celui des soi-disant militants qui hurlent sur X (anciennement Twitter) tout en commandant leur latte chez Starbucks.
Il y a ceux qui passent leurs soirées à siroter des verres entre amis, à refaire le monde en paroles vides, et puis il y a ceux qui passent des nuits blanches devant leur écran à coder, à monter des projets, à diversifier leurs revenus en ligne, à chercher des moyens d’être libres. Des gens passionnés de technologie, d’automatisation, d’intelligence artificielle, de cybersécurité. Des cerveaux bouillonnants, mais qui ne cherchent pas à sauver le monde. Juste à s’en extraire.
Ils n’attendent rien de la société. Ni reconnaissance, ni gratitude. Et surtout pas de validation. Leur ordinateur est leur seul vrai compagnon. Avec lui, ils dialoguent, ils comprennent. Ils créent. Et parfois, ils construisent des modèles avancés de scoring dans le domaine du crowdfunding, plus performants que ceux des institutions financières officielles.
Pourquoi se battre pour une société qui s’en fout ?
C’est là que le vrai dilemme surgit. Même avec toute cette autonomie, même avec la capacité de diversifier ses revenus à travers des projets digitaux, des placements, du dev web, de l’IA ou autre, la question reste : faut-il consacrer du temps à une cause, une vraie ? Défendre quelque chose de plus grand que soi, un idéal ? Et si oui, lequel ?
Parmi les rares causes qui mériteraient peut-être qu’on s’y investisse figure la liberté d’expression. Mais soyons honnêtes : cette liberté est déjà morte. Ce qu’il en reste n’est qu’un simulacre. L’illusion d’un espace libre, alors qu’en réalité, tout est filtré, censuré, verrouillé. Le public ne voit que ce qui a survécu à la censure. Le reste, ce qui compte vraiment, est supprimé, banni, oublié.
Et dans cette société du silence organisé, parler devient un acte de rébellion. Mais une rébellion inutile, car personne n’écoute. À part quelques rares éveillés, la majorité s’en fout. Elle accepte. Elle approuve même, parfois. Elle regarde Netflix, bouffe du fast-food et scrolle TikTok, sans se poser de questions.
Tu parles de Julian Assange, par exemple ? Silence. Tu parles de censure sur les réseaux ? Silence. Tu critiques des décisions politiques arbitraires ? Censure, bannissement, suppression de vidéos. Même prononcer certains mots devient dangereux. Deux mots mal placés sur Twitter, et c’est la taule, en France, au Royaume-Uni, ailleurs. Liberté d’expression ? Tu parles…
diversifier ses revenus, Une société bloquée dans l’archaïsme
Il faut bien comprendre que ce refus de s’engager n’est pas une posture cynique gratuite. C’est un constat lucide. On vit au Moyen Âge. Les êtres humains n’ont pas évolué. La société reste ancrée dans des schémas de pensée archaïques, conservateurs, limités. Le niveau de conscience collective est abyssalement bas.
Regardez autour de vous. Les gens ne voient pas le problème. Ils ne se rendent pas compte de ce qui leur est interdit de dire, d’évoquer, même de penser. Ils n’ont pas conscience que des milliers de personnes sont emprisonnées pour deux mots mal choisis, écrits sur un réseau social. Et ils trouvent ça normal. Ils ne se sentent pas concernés.
Et tu voudrais te battre pour ces gens ? Te lever chaque jour avec un drapeau dans les mains pendant qu’ils dorment paisiblement dans leur ignorance confortable ? Non. La vérité, c’est qu’ils méritent la société dans laquelle ils vivent. Ce n’est pas une insulte. C’est une simple observation. Ils ne veulent pas changer. Ils veulent leur confort, leur stabilité, leurs plaisirs simples. Et c’est leur droit.
Alors pourquoi sacrifier son temps, son énergie, son cerveau pour une cause que personne ne défend vraiment ?
Gratitude lucide et rejet du sacrifice
Ce n’est pas parce qu’on choisit de ne pas militer qu’on méprise la société. Au contraire. Il est possible d’avoir une immense gratitude pour ce qu’elle permet : internet, l’eau potable, la médecine, les ordinateurs, l’accès à la connaissance, même la possibilité de boire un thé tranquille dans un café à l’autre bout du monde. Oui, tout ça, c’est précieux. Mais ce n’est pas suffisant.
Quand on a une vision claire de ce que pourrait être une société réellement libre, réellement éclairée, ce que nous vivons aujourd’hui apparaît comme une version médiévale, enrobée de technologie. Une prison dorée, mais une prison quand même.
Et donc non, ce n’est pas un manque d’ambition. C’est justement parce qu’on a une ambition immense pour la société qu’on ne s’y reconnaît pas. Parce qu’on en attendait autre chose. Une liberté réelle. Une conscience collective plus aiguisée. Un refus des absurdités institutionnalisées.
diversifier ses revenus, Quand les traditions deviennent absurdes
Prenez le temps d’observer le monde, vraiment. Vous verrez à quel point certaines pratiques sont délirantes. Des colliers posés sur le cou des femmes dans certains pays, qui finissent par briser leur colonne vertébrale. Des phalanges coupées lors des mariages. Des rituels ancestraux qui mutilent au nom de la tradition. Et ne venez pas dire que l’Occident est plus avancé.
Regardez la France. Un pays où critiquer une décision d’entrer en guerre — décision non soumise au vote démocratique — peut vous valoir la prison. Une société où il est interdit de mentionner certains sujets liés à l’OMS, sous peine de voir son contenu supprimé. Où des algorithmes détectent certains mots clés et déclenchent automatiquement la censure.
Et personne ne dit rien. Personne ne trouve ça choquant. Et quand on ose le dire, on est banni. Voilà le niveau. Voilà pourquoi il est légitime de se demander s’il est encore utile de se battre.
Le vrai combat : reprendre le contrôle de sa vie
Alors que faire ? Se résigner ? Se taire ? Non. Mais il est urgent de choisir ses batailles. Et la première, la plus vitale, c’est de diversifier ses revenus, d’apprendre à être autonome financièrement, mentalement, géographiquement. S’extraire du système, sans forcément le combattre de front. Le laisser tourner pendant qu’on construit autre chose, ailleurs, autrement.
Comment diversifier ses revenus efficacement ? En utilisant ses compétences : développement web, automatisation, marketing digital, création de contenu, investissement, crowdfunding, cryptomonnaies. En construisant des actifs numériques, en apprenant à faire travailler l’argent à sa place. En créant des outils, des plateformes, des solutions scalables.
Ce n’est pas une fuite. C’est une reconquête. Une résistance silencieuse, mais stratégique. Parce que si tu veux vraiment défendre une cause, il faut commencer par ne pas être dépendant. Il faut pouvoir se barrer, se taire, ou parler fort, selon la situation. Et pour ça, il faut être libre. La vraie liberté commence quand tu ne dépends plus d’un employeur, d’un pays, d’une plateforme. Quand tu peux dire non. Quand tu peux partir.
Et si la solution était ailleurs ?
Il est paradoxal de constater que les seuls espaces de liberté d’expression encore existants aujourd’hui sont parfois les plateformes chinoises ou russes. TikTok, par exemple, où certains propos sont encore tolérés alors qu’ils sont bannis ailleurs. Un paradoxe que peu de gens veulent voir. Un paradoxe qui devrait faire réfléchir.
Regardez l’audition du patron de TikTok au Sénat américain. Écoutez les questions, observez les postures. Vous verrez qui détient réellement le pouvoir de censure. Ce ne sont pas les dictateurs officiels. Ce sont ceux qui prétendent être démocrates tout en interdis
ant la parole.
Conclusion : ne pas se battre pour les autres, mais pour soi
Au final, chacun est libre de faire ce qu’il veut. Mais vouloir défendre une cause dans une société qui ne veut pas être défendue, c’est se condamner à l’épuisement. C’est pourquoi il est plus lucide, et parfois même plus noble, de choisir de se concentrer sur sa propre vie, ses propres projets, son propre chemin.
Ce n’est pas de l’égoïsme. C’est de la survie. Et surtout, c’est une stratégie. Parce qu’en réalité, ce monde ne changera pas avec des tweets ou des pétitions. Il changera quand assez de gens auront compris que le vrai pouvoir se construit en silence, loin des projecteurs, en apprenant à diversifier ses revenus, à créer de la valeur, à construire des alternatives.
Et quand viendra le moment, peut-être, de défendre une cause qui mérite qu’on y sacrifie un peu plus que son confort, ceux qui auront bâti leur indépendance pourront se lever. Les autres, eux, seront encore là à scroller, entre deux pubs pour des burgers.
Alors choisis : tu veux changer le monde ou changer ta vie ? Les deux sont peut-être incompatibles. Commence par diversifier tes revenus. Le reste suivra… ou pas. Mais au moins, tu seras libre.
Vivre dans un monde anesthésié par le confort
On aurait pu croire qu’avec l’accès à l’information, la technologie à portée de main, et la possibilité de s’exprimer, les populations allaient enfin s’éveiller. Mais non. L’explosion des moyens n’a pas conduit à l’élévation de la conscience. Au contraire. Les gens sont plus passifs que jamais. Ce n’est pas par ignorance : c’est par choix.
Pourquoi se lever contre une injustice quand on peut commander une pizza en 30 minutes et binge-watcher une série en se plaignant que la télécommande est trop loin ? On ne vit plus dans une société d’oppression brutale — ce serait trop visible, trop évident. On vit dans une société de narcose douce, où tout est fait pour neutraliser l’élan vital. Et ceux qui veulent échapper à ce marasme passent presque automatiquement pour des extrémistes, des marginaux ou des conspirationnistes.
L’opinion dominante est la suivante : ne dérange pas l’ordre établi, même s’il est pourri jusqu’à l’os. Tant que tu peux commander sur Amazon, pourquoi râler ? Tant que tu peux poster une photo de ton petit déjeuner, pourquoi penser ?
Le prix de la lucidité dans une époque de servitude volontaire
Être lucide aujourd’hui, c’est un fardeau. C’est comme être sobre dans une soirée où tout le monde est ivre mort : tu vois les choses pour ce qu’elles sont, mais personne ne veut t’écouter. Les gens ne veulent pas savoir. Ils veulent dormir tranquilles. Ils veulent leurs mythes, leurs illusions, leurs distractions.
Ceux qui pensent, qui analysent, qui creusent les sujets sont souvent confrontés à une immense solitude intellectuelle. Le prix à payer pour voir clair est souvent d’être mis à l’écart. Tu n’es plus invité aux conversations légères, tu passes pour celui qui « se prend trop la tête », celui qui « voit le mal partout ». En réalité, tu vois juste le réel, sans les filtres. Et ça dérange.
La société moderne ne valorise pas l’esprit critique. Elle valorise la conformité. Il faut penser comme tout le monde, aimer ce que tout le monde aime, haïr ce qu’on t’a dit de haïr. Le plus grand crime est de sortir du rang. Et quand tu le fais, il faut être prêt à en assumer le prix. Un prix souvent élevé.
La spiritualité comme dernier refuge intérieur
Quand tout autour est bruit, censure, superficialité, il ne reste souvent qu’un seul refuge : l’intériorité. La spiritualité, au sens large, devient une forme de résistance. Ce n’est pas une religion imposée ou codifiée, mais un lien direct avec quelque chose de plus vaste que soi. Une quête de sens qui n’attend pas de validation extérieure.
Dans certains endroits du monde, comme à Bali ou ailleurs, cette spiritualité est encore visible, incarnée dans des gestes simples du quotidien : une offrande, une prière, un moment de silence. Ce ne sont pas des pratiques spectaculaires. Ce sont des ancrages, des rappels. Un mode de vie où chaque acte est une forme de présence.
Face au bruit du monde, cette intériorité devient précieuse. Elle est l’un des seuls espaces que le système n’a pas encore totalement colonisé. Et pourtant, même cet espace est menacé. Les algorithmes, la dopamine numérique, les notifications permanentes cherchent à l’envahir. Résister, ici aussi, demande une discipline. Une clarté. Une volonté de s’extraire.
Les traditions absurdes : entre respect culturel et violence symbolique
Il faut le dire franchement : certaines traditions sont des crimes maquillés en patrimoine. Ce n’est pas parce qu’un rituel est ancien qu’il est légitime. Ce n’est pas parce qu’une coutume est enracinée qu’elle est juste. Il existe, encore aujourd’hui, des pratiques qui brisent des vies au nom d’une culture figée.
Des femmes mutilées, enfermées, étouffées, simplement parce que c’est « comme ça que ça se fait ». Des peuples entiers qui perpétuent des rites destructeurs par peur de rompre avec l’histoire. Et le pire, c’est que ceux qui dénoncent cela sont parfois accusés d’ethnocentrisme, comme si l’universalité de la dignité humaine était un luxe occidental.
Respecter une culture ne signifie pas valider ses dérives. On peut aimer un peuple, une langue, une cuisine, sans tolérer l’intolérable. Le relativisme culturel est devenu l’excuse préférée des lâches. Il permet de détourner les yeux en toute bonne conscience. Mais il ne sauve personne.
Ce que l’on ne peut plus dire sans être sanctionné
La vraie censure ne ressemble plus à celle des dictatures classiques. Il n’y a pas toujours un homme en uniforme qui vient frapper à ta porte. Aujourd’hui, la censure est algorithmique, silencieuse, automatique. Tu publies un mot-clé sensible, et c’est terminé : démonétisation, bannissement, shadow ban. Tu ne sais même pas ce que tu as fait de mal. Et c’est bien là l’objectif.
Le système ne te dit pas explicitement : « tais-toi ». Il crée les conditions dans lesquelles tu préfères te taire toi-même. L’autocensure est devenue une seconde nature pour beaucoup. Par peur de perdre une audience, un revenu, une opportunité. Par peur du clash, de la vindicte, de l’annulation.
Tu finis par reformuler, par édulcorer, par arrondir les angles. Et un jour, tu ne sais même plus ce que tu pensais au départ. Tu es devenu inoffensif. Domestiqué. Exactement ce que le système attendait.
La soumission volontaire aux maîtres invisibles
On a longtemps cru que l’esclavage prenait la forme de chaînes, de fouets, de cages. Aujourd’hui, il est bien plus subtil. Les chaînes sont mentales, psychologiques, sociales. L’esclave moderne ne sait même pas qu’il l’est. Il paye pour ses chaînes, les arbore fièrement, et en redemande.
Le plus grand exploit du pouvoir aujourd’hui, c’est d’avoir transformé la soumission en choix personnel. Tu choisis de te vendre pour un CDI, tu choisis d’obéir à des règles absurdes, tu choisis de te taire pour garder ton job. Et si tu refuses, on te dit que tu es irresponsable, que tu nuis à la société.
Le vrai pouvoir n’a plus besoin de s’imposer par la force. Il suffit de contrôler les imaginaires, les désirs, les narrations. Ce que tu crois être ta volonté, ton libre arbitre, est souvent le résultat d’un conditionnement millimétré. Si tu ne veux pas déranger, tu seras parfaitement intégré. Et parfaitement inutile.
Le paradoxe d’une humanité connectée et sourde
Jamais les humains n’ont été aussi interconnectés. Et pourtant, jamais ils n’ont été aussi sourds les uns aux autres. L’empathie a été remplacée par l’indignation virtuelle. La solidarité par le signalement. La parole par le slogan.
Tu veux parler vrai ? Trop risqué. Tu veux creuser un sujet ? Trop long. Tu veux prendre du recul ? Trop bizarre. Tout doit être immédiat, formaté, émotionnel. Le règne du court, du superficiel, de l’émotif a écrasé toute tentative de réflexion. Et ceux qui résistent sont de plus en plus seuls.
Il ne reste qu’une poignée de voix, éparses, éparpillées dans la tempête numérique, qui tentent encore de dire autre chose. Pas pour convaincre. Pas pour gagner. Mais pour témoigner. Pour ne pas laisser le silence s’installer complètement.
Dernières pensées : entre lucidité, solitude et souveraineté
Tu n’es pas obligé de choisir un camp. Tu peux être lucide sans être militant. Tu peux refuser de t’engager dans des combats perdus d’avance, sans être lâche. Tu peux vouloir protéger ton intégrité, ton énergie, ton temps, sans renoncer à toute forme de sens.
Il y a des causes qui méritent d’être portées. Mais elles doivent être choisies, pas subies. Elles doivent s’inscrire dans un timing personnel, une maturité, une clarté d’esprit. Sinon, elles t’engloutissent. Elles t’épuisent. Elles te broient.
Le monde n’a pas besoin de plus de martyrs. Il a besoin de plus de gens libres. Qui pensent, qui créent, qui bâtissent. Même dans l’ombre. Surtout dans l’ombre. Là où les choses réelles naissent.
Quand l’intelligence devient un fardeau
Penser par soi-même n’a jamais été aussi dangereux. Non pas parce que cela te met forcément en danger physique, mais parce que cela te coupe des autres. L’intelligence, dans ce monde saturé d’émotionnel, est devenue suspecte. Réfléchir, remettre en question, creuser au lieu de gober, c’est désormais un acte presque marginal.
La majorité préfère les idées simples, prêtes à consommer, validées par la masse. La pensée dominante n’aime pas les nuances, les contradictions, les questions qui dérangent. Elle aime les réponses toutes faites, les slogans, les cases bien rangées. Si tu refuses de te soumettre à cette logique binaire, tu deviens vite une cible : trop compliqué, trop agressif, trop froid, trop cérébral. Tu déranges leur confort mental.
Et ce n’est pas nouveau. L’histoire est remplie d’exemples où ceux qui voyaient plus loin ont été traités de fous, d’hérétiques, de traîtres. Rien n’a changé. Sauf que maintenant, la chasse aux sorcières ne passe plus par des bûchers : elle passe par les plateformes, les réseaux, les algorithmes, et surtout par le regard glaçant de ceux qui, au fond, savent que tu as raison… mais qui préfèrent ne rien voir.
L’illusion du progrès : emballage moderne pour une société archaïque
On aime se vanter de vivre dans une époque « moderne », « éveillée », « progressiste ». Mais regarde autour de toi. Les conflits sont toujours là, les injustices sont simplement mieux maquillées, les mécanismes de domination ont juste changé de costume. Le fond, lui, n’a pas bougé d’un pouce.
On enferme les gens dans des routines absurdes, on les gave de dopamine, on leur fait croire qu’ils sont libres parce qu’ils peuvent changer de fond d’écran ou choisir leur marque de soda. Mais sur les sujets essentiels, ceux qui déterminent la vraie liberté – intellectuelle, financière, physique, morale – la majorité est tenue en laisse.
Et cette « modernité » sert d’excuse. « Tu te plains, mais regarde tout ce que tu as. » Oui, l’eau courante. Oui, Internet. Oui, des gadgets dernier cri. Mais est-ce là le sommet de la civilisation ? Est-ce ça, l’aboutissement de milliers d’années d’évolution humaine ? Un monde où les gens sont anesthésiés, connectés mais seuls, blindés d’objets mais vides de sens ?
Le confort est devenu un piège
Ce n’est pas la peur qui rend les gens dociles. C’est le confort. La peur te pousse parfois à l’action. Le confort, lui, t’endort. Il te donne l’illusion que tout va bien, que tu n’as rien à changer, qu’il suffit de continuer, de consommer, de rester sage.
On ne vit plus dans une tyrannie brutale. On vit dans une prison en velours. Les barreaux sont invisibles. Les murs sont recouverts d’écrans HD. Les chaînes sont remplacées par des abonnements mensuels et des likes. Et la porte de sortie est grande ouverte… mais personne ne veut sortir. Parce que dehors, il fait froid. Dehors, il faut penser. Dehors, il faut prendre des risques.
Alors, les gens restent. Ils se plaignent, bien sûr. Ils râlent, critiquent, ironisent. Mais ils restent. Parce qu’au fond, ils ont peur. Peur de perdre ce petit confort qu’ils confondent avec la liberté. Peur de devoir affronter la réalité. Peur de devoir reprendre le contrôle de leur vie.
L’inutilité des débats sans conséquences
Tu peux passer ta vie à débattre sur les réseaux. À commenter l’actualité. À donner ton avis sur tout et sur rien. Tu peux passer des heures à argumenter, à prouver que tu as raison, à écraser ton contradicteur avec des faits. Et après ? Rien.
Le monde ne bouge pas parce que tu as gagné un débat. Il ne bouge même pas quand des millions de personnes protestent. Il bouge quand les structures du pouvoir sont menacées. Et ce n’est pas une question d’opinion. C’est une question de levier. De stratégie. D’action réelle.
Le problème, c’est que la majorité confond la parole avec le pouvoir. Parler, c’est bien. Mais ce n’est pas suffisant. Ceux qui tiennent les rênes de ce monde ne débattent pas avec toi. Ils n’en ont rien à foutre de ton avis. Ils regardent ce que tu possèdes, ce que tu contrôles, ce que tu peux bloquer, financer, influencer. Le reste, c’est du bruit.
La solitude comme condition de l’émancipation
Quand tu commences à penser différemment, tu perds des amis. Tu te coupes de ta famille. Tu te retrouves seul face à toi-même. C’est dur. Mais c’est nécessaire. La liberté commence toujours par une rupture. Et cette rupture est violente.
Tu ne peux pas garder les liens avec tout le monde quand tu refuses de jouer le même jeu. Il y a des ponts qu’il faut brûler. Pas par haine, mais par cohérence. Ce n’est pas de l’arrogance. C’est un instinct de survie mentale. Tu ne peux pas évoluer entouré de gens qui te tirent vers le bas.
Cette solitude est inconfortable, surtout au début. Tu doutes. Tu te demandes si tu n’es pas en train de devenir fou. Tu te dis que c’était plus simple avant. Mais avec le temps, tu apprends à aimer cette distance. Tu gagnes en clarté. En autonomie. En calme.
Ceux qui refusent cette solitude n’iront jamais loin. Ils resteront esclaves de l’opinion des autres. Prisonniers du regard extérieur. Et ils finiront par se trahir pour ne pas se sentir seuls.
Ce monde n’est pas fait pour toi
Il faut avoir le courage d’accepter cette vérité brutale : ce monde n’a pas été conçu pour les gens comme toi. Si tu réfléchis trop, si tu remets en cause les dogmes, si tu refuses la médiocrité ambiante, tu seras toujours en décalage.
Et ce n’est pas un problème à résoudre. C’est une réalité à intégrer. Tu ne trouveras pas ta place dans ce cirque. Alors ne cherche pas à t’y intégrer. Crée ton propre espace. Importe tes propres règles. Trace ta propre route, même si elle est solitaire, même si elle est obscure, même si elle te coûte.
Tu n’as rien à prouver. Tu n’as pas besoin de reconnaissance. Tu n’as pas à convaincre qui que ce soit. Tu n’as qu’une mission : rester fidèle à ce que tu vois, à ce que tu comprends, à ce que tu es. Même si ça te met à l’écart. Surtout si ça te met à l’écart.
Parce que l’écart, c’est là que naît la vraie liberté.
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Année : 2024
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