Les gourgandines peuvent-elles sortir du gourgandinage ?

Peut-on vraiment sortir du gourgandinage ? Le dilemme éternel de la gourgandine

L’illusion d’un départ définitif

Il y a des femmes qui se disent prêtes à tourner la page. Qui annoncent haut et fort qu’elles en ont fini avec la nuit, les bars, les hommes de passage, les billets échangés contre du temps et de la tendresse louée. Elles veulent sortir du gourgandinage, laisser derrière elles cette vie à mi-chemin entre le théâtre et la survie. 

Elles rêvent d’un quotidien « normal », d’un couple, d’un foyer, d’un homme qui sponsorise leur nouvelle vie sans poser trop de questions. Mais la réalité est bien plus brutale : une gourgandine peut-elle réellement se libérer de ce qu’elle est devenue ?

Ceux qui connaissent un tant soit peu le terrain savent déjà la réponse. Parce que le gourgandinage, ce n’est pas juste une activité temporaire. C’est un mode de vie, une identité, un système de valeurs ancré dans les gestes, les habitudes et les fantasmes quotidiens. 

Il y a des corps qui s’habituent à plaire, des cerveaux qui se reprogramment pour séduire et obtenir, des femmes qui se construisent entièrement autour de cette dynamique. En sortir, c’est plus qu’un changement de situation : c’est une déconstruction de soi-même. Et très peu en sont capables.

Prenons un exemple concret, presque caricatural tant il résume tout : une gourgandine croisée dans les rues chaudes de Wahin, autoproclamée amoureuse d’un soir, puis disparue dans les bras d’un homme de passage. Elle disait vouloir changer. Elle a tenté. Mais à la fin, elle est revenue. Plus chère, un peu fanée, mais toujours présente. Parce qu’on ne quitte pas facilement une scène sur laquelle on a trop longtemps brillé.

L’échec programmé de la rédemption

Le schéma est toujours le même. Elle tombe sur un gars, souvent occidental, venu chercher ici une forme d’amour sous abonnement. Il ne veut pas juste passer un moment. Il veut une copine à temps plein, une compagne loyale, un miroir flatteur de son besoin d’exotisme, de domination douce, de jeunesse éternelle. Elle, elle y voit une issue. L’opportunité de sortir du bar, de dire adieu aux courts séjours et aux longues nuits, de troquer les talons contre des pantoufles. Et pendant un moment, elle y croit.

Elle rentre dans sa famille. Elle s’efface des écrans. Elle se fait discrète. Plus de clients, plus de danse, plus de fête. Elle devient sérieuse. Fidèle même. Parce que oui, dans ce monde tordu, une gourgandine peut être d’une fidélité féroce dès lors qu’elle a trouvé la bonne source de revenus. Et puis l’ennui arrive. 

Lentement, mais sûrement. Il s’installe comme un poison silencieux. Le manque de la rue, des néons, du bruit, des regards, des billets glissés à l’arrière d’un taxi. Le frisson de la chasse, le jeu, le pouvoir. Parce qu’au fond, le gourgandinage, c’est aussi une forme de contrôle. Et sans ça, il ne reste plus grand-chose.

Et alors, les doutes reviennent. Les anciens réflexes. Le besoin d’exister à nouveau autrement qu’à travers un homme, une maison et un téléphone muet. Et puis il y a l’argent, toujours lui. Parce que le sponsor finit par ralentir les virements. Il envoie moins. Il a déjà payé pour la maladie de la mère, du buffle, du chien. Il a soigné toutes les vaches du village. Il commence à poser des questions. Il devient moins généreux. Et là, l’addition est rapide : plus de plaisir, moins de fric. Retour au point de départ.

C’est exactement ce qui s’est passé. Elle s’est retrouvée seule, sans rien à faire. Pas de boulot, pas de vie sociale. Rien. Juste un vague souvenir de ce qu’elle avait voulu fuir. Et elle s’est souvenue. Elle s’est souvenue des nuits à Pataya, des rencontres éphémères, des hommes faciles, des billets faciles, de la liberté relative mais grisante. 

Elle s’est rappelée qu’elle savait faire quelque chose que très peu savent maîtriser : plaire. Et alors elle a décidé de revenir. Pas à Wahin, non. Trop de regards là-bas. Trop de jugements. Trop de gens prêts à lui rappeler son échec. Revenir là-bas, ce serait perdre la face. Alors elle est allée ailleurs. À Pataya. Là où les comptes sont remis à zéro. Là où tout recommence.

Le retour du naturel : gourgandine un jour, gourgandine toujours

Quand elle a débarqué à Pataya, c’était comme une renaissance. Nouvelle ville, nouveaux clients, nouvelles illusions. Et aussi, une vieille connaissance à retrouver. L’un des rares types à ne pas l’avoir oubliée. Il faut dire que la nostalgie, c’est un carburant puissant. Il avait gardé ses vidéos, ses messages. 

Il lui avait même envoyé des likes de temps en temps. Histoire de rester dans la boucle, sans être trop insistant. Stratégie payante. Elle lui écrit. Elle annonce son retour. Elle est célibataire. Disponible. Traduction : elle est redevenue ce qu’elle n’a jamais cessé d’être.

Il propose un rendez-vous. Elle accepte. Mais elle joue encore un peu le rôle de la fille indécise, de la copine retrouvée. Jusqu’à la dernière phrase. Celle qui fait tomber le masque : « Short time ou long time ? » Voilà. C’est dit. Pas de faux-semblants. La relation reprend là où elle s’était arrêtée : tarifée.

Elle a même augmenté ses prix. Elle estime que son passage par la case « relation sérieuse » l’a valorisée. Qu’elle vaut plus cher maintenant. C’est discutable. Surtout en basse saison, quand les options abondent et que les prix chutent. Mais la nostalgie a un prix, et il est prêt à le payer. Deux fois plus cher que pour d’autres. Pour le souvenir. Pour le fantasme.

Mais le souvenir, comme tous les souvenirs, est souvent plus beau que la réalité. Elle a un peu perdu de sa superbe. Ce n’est plus la créature céleste d’antan. Elle est là, bien là, mais plus fragile. Plus humaine. Moins éclatante. Et pourtant, il ne regrette pas. Parce que c’est aussi ça, le gourgandinage : une succession de flashs éphémères, intenses, qu’on consomme, qu’on jette, qu’on regrette parfois, mais qu’on n’oublie jamais.

L’économie du désir : entre loyauté et transaction

Dans cet univers, il n’y a pas de place pour les illusions. Tout est affaire de deal. Avec ou sans abonnement, les modalités changent, mais le fond reste le même. C’est une économie parallèle, réglée par des codes implicites : beauté, jeunesse, disponibilité, souplesse tarifaire. C’est un jeu d’offre et de demande où chacun pense maîtriser l’autre, mais où tout le monde finit par se faire avoir.

Une gourgandine, elle, sait parfaitement comment ça marche. Elle sait quand augmenter ses prix, quand les baisser, quand disparaître pour mieux revenir. Elle sait aussi que le capital séduction a une durée de vie. Et que plus les années passent, plus il faut ajuster. Changer de ville. Changer de décor. Réinventer sa légende.

Celle dont on parle ici est à un tournant. Elle ne sait pas encore si elle retournera dans un bar classique, si elle dansera dans un gogo, ou si elle optera pour un gentleman’s club. Ce qui est certain, c’est qu’elle a faim. Faim de contacts, faim d’attention, faim de billets. Elle est de retour sur le marché, et elle compte bien y rester. Peut-être même retrouver un sponsor. Un autre. Un meilleur. Un qui ne se lasse pas. Un qui paie plus.

Mais dans le fond, est-ce qu’elle veut vraiment sortir du gourgandinage ? Non. Ce qu’elle veut, c’est une version plus confortable de cette vie. Moins fatigante, mieux rémunérée. Elle veut continuer à séduire, mais sans les contraintes. Elle veut rester une gourgandine, mais avec un statut social. Et c’est peut-être ça, la plus grande illusion : croire qu’on peut transformer un système de prédation en relation égalitaire.

La fameuse gourgandine : figure tragique d’un système bien huilé

Il ne faut pas se tromper : une gourgandine n’est ni une victime passive, ni une prédatrice cynique. Elle est le produit brut d’un environnement où le corps féminin est une monnaie, où la solitude masculine est un marché, où les deux se rencontrent dans une danse cynique et sensuelle. Elle n’a pas choisi de naître dans ce monde, mais elle a appris à y survivre mieux que d’autres.

Certains diront qu’elle est manipulatrice. D’autres qu’elle est lucide. Les deux ont raison. Elle navigue entre les rôles, adapte son discours, ajuste ses émotions. Elle donne l’amour en format court ou long, avec ou sans option, toujours monnayé. 

Et parfois, dans le miroir de son téléphone, elle se demande si tout ça a encore un sens. Mais aussitôt, la notification TikTok s’affiche, un message d’un ancien client nostalgique, un nouveau follower, un cœur rouge sous une vidéo en robe moulante. L’égo se regonfle. Le doute s’efface. Le personnage reprend le dessus. Et le cycle continue.

Car derrière les apparences de glamour et de liberté, le monde du gourgandinage est un engrenage redoutablement efficace. Il promet beaucoup, donne un peu, et finit toujours par reprendre. Pour celles qui y entrent, il n’y a pas de sortie facile. On peut faire une pause. Tenter l’illusion du couple. Essayer de s’en extirper avec les beaux discours d’un homme sincère. Mais au premier moment de vide, de manque, de désillusion… le retour s’impose comme une évidence.

Une gourgandine vit dans un monde parallèle où tout est codé, où tout se négocie, où chaque geste a un prix. Un monde où la sincérité se mélange au jeu, où l’amour se travestit en contrat implicite, où le mot « relation » devient une formule marketing. 

Et quand elle s’en éloigne trop longtemps, elle se rend compte que le reste de la vie ne lui offre pas la même intensité, pas la même valeur. Car oui, dans ce théâtre de la nuit, elle est regardée. Elle est désirée. Elle a du pouvoir. Même s’il est éphémère. Même s’il coûte cher. Même s’il l’abîme.

Le piège de la nostalgie

Ceux qui reviennent vers elles — clients, amoureux transis, sponsors frustrés — sont souvent guidés par un souvenir idéalisé. Ils veulent revivre une émotion qui, bien souvent, n’a existé que dans leur tête. C’est le piège de la nostalgie : croire que c’était mieux, que c’était vrai, que c’était pur. Alors ils paient pour revivre ce fantasme, pour tenter de recoller les morceaux d’une histoire qu’ils n’ont jamais vraiment partagée.

Mais tout a changé. Elle, d’abord. Moins naïve. Moins docile. Plus exigeante. Plus fatiguée aussi. Elle revient, mais pas en tant qu’ancienne amante. Elle revient en gourgandine. Une gourgandine qu’il a idéalisée est toujours là, mais sous un autre jour. Plus dure. Plus directe. Plus chère aussi.

Lui aussi a changé. Il a vu d’autres filles. Il a comparé. Il a compris, parfois. Et quand il revoit celle qu’il croyait exceptionnelle, il se rend compte qu’elle n’était peut-être pas si unique. Qu’elle faisait simplement partie d’un catalogue plus vaste. Que ses émotions, à elle, étaient peut-être plus simulées que sincères. Et que tout ce cirque n’était qu’un business parfaitement rodé.

Mais il paie quand même. Parce que la mémoire est plus forte que la raison.

Une économie du sexe sous tension

À Pataya, Bangkok ou ailleurs, le marché est saturé. Les filles sont nombreuses, les prix chutent, la qualité monte. L’offre explose, la demande devient plus exigeante. Et dans ce contexte, même une ancienne star du gourgandinage doit ajuster ses tarifs. Si elle ne baisse pas ses prix, elle doit augmenter ses prestations. Ce n’est pas un choix, c’est une nécessité.

Elle, elle le sait. Elle tente de se repositionner. De rester compétitive. Elle envisage les clubs select, les bars haut de gamme, les cercles privés. Mais là encore, il faut s’adapter. Il faut offrir plus, sourire plus, céder plus vite. Elle n’a plus 22 ans. Elle n’est plus la nouveauté du mois. Elle devient une gourgandine avec du « mileage », comme disent certains clients grossiers. Une gourgandine qui a vécu, qui a aimé, qui a tenté de s’en sortir… et qui est revenue.

Parce qu’au fond, c’est là qu’elle se sent chez elle.

Peut-on vraiment quitter ce monde ?

La question mérite d’être posée : une gourgandine peut-elle vraiment sortir du gourgandinage ? La réponse est double. Techniquement, oui. Bien sûr qu’elle peut. Elle peut rencontrer un homme honnête, se ranger, ouvrir un petit salon de beauté, vivre tranquillement. Ça arrive. Rarement. Mais ça arrive.

Mais psychologiquement ? C’est une autre histoire.

Parce que ce monde, aussi tordu soit-il, offre une adrénaline que peu de vies « normales » peuvent égaler. Il offre un statut, un rôle, une visibilité. Il donne le sentiment d’exister, d’être désirée, d’avoir un pouvoir, même illusoire. Et surtout, il permet de gagner vite, sans hiérarchie, sans patron, sans routine.

Sortir du gourgandinage, c’est faire le deuil de tout ça. C’est renoncer à la reconnaissance immédiate, aux billets du soir, aux regards affamés. C’est redevenir anonyme. Invisible. Et beaucoup ne le supportent pas.

La vérité crue

Alors soyons clairs : non, la plupart ne sortent pas. Elles tournent, elles s’épuisent, elles s’illusionnent, mais elles reviennent. Toujours. Peut-être ailleurs. Peut-être différemment. Mais elles reviennent. Parce qu’en elles, il y a quelque chose de brisé, ou peut-être de trop lucide, qui leur dit que le monde extérieur ne leur offrira jamais autant que celui-ci. Même s’il les détruit. Même s’il les use.

Et c’est ça, la vérité. Crue. Dure. Inconfortable.

Une gourgandine ne veut pas juste survivre. Elle veut briller. Elle veut jouir d’une jeunesse qu’elle sait limitée. Elle veut tout, maintenant. Et tant pis pour demain.

Alors elle joue. Elle ment. Elle séduit. Elle facture.

Et elle recommence.

Conclusion : le cercle vicieux du gourgandinage

La boucle est bouclée. L’histoire se répète. Encore et encore. Des filles comme elle, il y en a des milliers. Elles veulent croire à la rédemption, à la romance, à la sortie possible. Elles se raccrochent à l’idée d’un homme providentiel, d’une vie paisible, d’un avenir sans maquillage ni talons de 20 centimètres. Et puis, quand les choses se gâtent, quand les virements ralentissent, quand l’ennui devient insupportable… elles reviennent. Toujours.

Peut-on sortir du gourgandinage quand on a été une gourgandine ? Peut-être. Mais il faut une force que très peu possèdent. Il faut couper les ponts avec tout ce qui donnait du sens à leur quotidien. Il faut renoncer au confort du connu, au frisson de la nuit, à l’argent rapide.

Et surtout, il faut accepter de ne plus être regardée.

Cette gourgandine, comme tant d’autres, a tenté l’aventure du couple, du changement. Elle y a cru. Elle a joué le jeu. Mais à la fin, elle a compris. On ne quitte pas vraiment ce monde. On le met en pause. On l’oublie un temps. Mais il revient toujours. Parce qu’il est en elle. Parce qu’il est elle.

Et aujourd’hui, elle est de retour. Plus chère. Moins brillante. Mais toujours là.

Gourgandine un jour. Gourgandine toujours.

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