La farce écologique : faut-il sauver la planète ?

Écolo bobo, La farce écologique : chronique d’un effondrement assumé

Il est temps d’arrêter de se mentir. De poser les masques d’“engagés pour la planète”, d’arrêter de relayer les slogans creux des ONG ou des campagnes gouvernementales qui vendent du vert en tube. Il est temps de regarder notre reflet dans le miroir : l’humanité ne sauvera pas la planète. Pire, elle n’en a pas envie. La grande farce écologique n’est pas une erreur de stratégie, c’est un choix collectif assumé, une direction choisie en pleine conscience. Ce n’est pas une dérive, c’est une vocation.

L’ecolo bobo, toujours prompt à poster ses vacances en van aménagé sur Instagram ou sa tisane zéro déchet, incarne cette contradiction : vouloir consommer la nature tout en prétendant la défendre. Mais la réalité est plus brutale. Ce que les peuples veulent, ce que les masses réclament, c’est le confort, le plastique, l’essence, les moteurs qui vrombissent et les supermarchés bien remplis. Tout le reste n’est qu’habillage, vernis, storytelling de privilégiés.

Écolo bobo, Nature ou environnement : ne confondons pas tout

Avant de plonger plus profondément dans l’analyse, il est essentiel de faire une distinction. Il y a la nature, au sens large : tout ce qui est. L’univers, l’homme, la guerre, les pesticides, les OGM, les iPhones, les fusées. Et il y a l’environnement, c’est-à-dire ce qui nous entoure directement : l’air, l’eau, les sols, les écosystèmes visibles.

Croire que la nature se limite aux forêts vierges et aux oiseaux qui chantent est une vision naïve et biaisée. Une plante OGM, un champ aspergé de glyphosate ou un océan recouvert de plastique sont tout aussi naturels qu’un volcan ou une éruption solaire. Ce sont les produits directs de notre nature humaine. L’humain ne sort pas de la nature, il en est un avatar. L’Homo sapiens pollueur n’est pas une anomalie : il est la nature en action. Une nature toxique, peut-être, mais une nature authentique.

Alors, oui, on peut pleurer sur la disparition des abeilles, sur les récifs de corail pulvérisés ou sur l’air irrespirable de Delhi, mais tout ça, c’est nous. C’est notre œuvre collective. C’est l’expression directe, honnête, crue, irréfutable de ce que nous sommes.

ecolo bobo : Une volonté de destruction planétaire

L’humanité a choisi. Et ce choix n’est pas de vivre en harmonie avec la Terre. Il est de l’exploiter, de la forer, de la fracturer, de la contaminer jusqu’à l’os. Ce n’est pas une erreur de parcours. C’est un désir, une volonté. Massivement soutenue. Majoritairement acceptée. Globalement revendiquée.

Regardons les faits : les océans sont devenus des décharges nucléaires, les poissons meurent par milliards, les nappes phréatiques sont souillées de manière irréversible, l’air est devenu irrespirable dans les capitales, les forêts sont rasées, le béton avance, les espèces s’éteignent à la chaîne, et les seules réponses sont des COP inutiles et des hashtags #SaveThePlanet.

Il n’y a pas de sabotage. Il y a une logique. Homo sapiens est un prédateur universel. Il ne sait pas coexister. Il conquiert, détruit, remplace. Partout où il passe, il ne reste que des ruines. Même les autres espèces humaines, celles qui partageaient autrefois la planète avec nous, ont été éradiquées. Je suis devenue lucide : c’est notre nature. C’est comme ça. Il n’y a pas à juger. Il y a à observer.

L’échec annoncé de la transition écologique

La transition écologique ? Une vaste blague. Une excuse pour continuer à consommer sous couvert d’un vernis moral. Il suffit de voir les actions dites “écolos” : des voitures électriques bourrées de métaux rares, des sacs en coton bio qui demandent des milliers de litres d’eau à produire, des panneaux solaires fabriqués dans des usines à charbon.

Les rares qui essaient sincèrement de vivre autrement — frugalistes, minimalistes, décroissants — sont minoritaires. Marginaux. Moqués. Et surtout, inutiles à l’échelle globale. L’écrasante majorité veut ses tomates à 1 euro, même si elles sont bourrées de pesticides et viennent de l’autre bout du monde. Elle veut des routes, du béton, des malls, de la 5G, des livraisons en 24h.

Même dans les coins soi-disant “préservés”, la crasse gagne. Des plages paradisiaques recouvertes de plastique, des habitants qui n’hésitent pas à jeter leur merde dans la forêt tout en prétendant que “ce n’est pas leur faute”. Un réflexe mondial : ne le dites à personne, mais c’est toujours “la faute des autres”.

Un amour de la poubelle

La vérité, c’est que l’homme aime vivre dans la merde. Il y est à l’aise. Il s’y complaît. Il l’a choisie. L’urbanisation anarchique, la puanteur des villes, les vapeurs toxiques, les plastiques qui flottent dans l’océan : tout ça n’est pas subi. C’est intégré. Accepté. Vécu avec fierté parfois.

On ne peut même plus boire l’eau qui tombe du ciel. On ne peut plus respirer sans inhaler des particules fines. Et personne ne s’arrête. On roule. On construit. On achète. On stocke. On produit. On jette.

On va dire : “mais ce n’est pas possible de faire autrement !”. Et c’est vrai. Parce que ce n’est pas une question de choix rationnel. C’est une question de nature. De pulsion. Le confort avant tout. Même si ce confort est empoisonné. Même s’il tue.

L’écologie comme spectacle

L’écologie est devenue une scène de théâtre. On y joue des rôles : le militant, le politique, le journaliste, l’influenceur, le chef d’entreprise responsable. Chacun récite son texte, balance ses chiffres, partage ses solutions miracles.

Mais sur scène, rien ne change. Au contraire, les dégâts empirent. Le discours se fait plus urgent, plus catastrophiste, plus émotionnel. Mais les actes restent les mêmes. L’humanité continue de creuser sa propre tombe, tout en scandant “on va s’en sortir”.

Ce n’est pas qu’on est impuissants. C’est qu’on ne veut pas. Profondément. Collectivement. On préfère la fin du monde à la fin du confort.

50 000 ans pour dégager

Et si finalement, la seule vraie solution n’était pas ici ? Si le salut ne se trouvait pas dans la réparation impossible de cette planète, mais dans le départ ? C’est là où tout bascule. Non, il ne s’agit pas de sauver la Terre. Elle s’en remettra, avec ou sans nous. Ce qu’il faut sauver, c’est Homo sapiens. Ce que l’espèce veut, c’est survivre, coûte que coûte. Même si cela implique de tout bousiller en route.

Nous avons environ 50 000 ans avant la prochaine ère glaciaire. Autrement dit, une fenêtre réduite pour quitter cette planète devenue poubelle et aller s’installer ailleurs. Conquérir d’autres corps célestes. Coloniser d’autres terres, ou plutôt, d’autres lunes. Dévaster d’autres écosystèmes.

Le rêve d’Elon Musk n’est pas absurde. Il est l’expression directe de notre trajectoire évolutive. Mars, les lunes de Saturne, les lunes de Jupiter : notre avenir est là-bas. Polluer ici, puis ailleurs. C’est ce qu’on fait. C’est ce qu’on sait faire.

Et s’il y a déjà de la vie là-bas ? Pas de panique. L’humain saura gérer. Comme il l’a toujours fait. En souriant d’abord, en écrasant ensuite. Le rapport de force est dans ses gènes. Ce n’est pas de la cruauté. C’est de l’efficacité.

Ressources illimitées, destruction illimitée

Le grand mensonge, c’est qu’on manque de ressources. C’est faux. L’univers en déborde. Le soleil nous offre une énergie quasi infinie que nous ne savons pas encore capter efficacement. Les astéroïdes sont bourrés de matériaux rares. Les lunes sont exploitables. La technologie suit.

Ce n’est pas une question de pénurie. C’est une question d’accès. D’ambition. Et surtout, de nature. Car ce que l’homme veut, ce n’est pas vivre en équilibre. C’est conquérir. Prendre. Dominer. Même l’univers. Même l’infini.

C’est là que le discours ecolo bobo s’effondre. Il rêve de retour à la terre, de potagers collectifs et de partage. Mais la vérité est que l’homme ne veut pas d’un potager. Il veut un centre commercial dans l’espace. Un vaisseau spatial climatisé. Une réalité augmentée qui remplace la nature qu’il a détruite.

La guerre comme moteur

On n’évitera pas le carnage. Ce n’est pas une menace. C’est

une promesse. L’histoire humaine n’est qu’une succession de génocides, de guerres, de massacres, de conquêtes. L’avenir ne sera pas différent. Il sera probablement pire. La Troisième Guerre mondiale n’est pas une possibilité. C’est une échéance.

Et même si par miracle, elle n’a pas lieu, les guerres écologiques, les guerres de l’eau, les famines climatiques sont déjà en marche. L’homme est programmé pour le conflit. C’est sa manière d’évoluer.

Alors autant l’assumer. Plutôt que de faire semblant. Autant reconnaître que notre avenir est dans l’expansion brutale. Pas dans le recyclage de nos erreurs.

Conclusion : acceptation lucide

Inutile de chercher à convaincre qui que ce soit. Il ne s’agit plus de choisir entre sauver la planète ou la détruire. Ce choix est déjà fait. Ce n’est plus une option. C’est un constat.

Ceux qui vivent autrement — les marginaux, les ermites, les décroissants sincères — ne changeront pas le cours de l’histoire. Ils sont spectateurs d’une pièce déjà écrite. Leur lucidité est noble. Mais inutile.

Il faut regarder la réalité en face : Homo sapiens est un conquérant toxique. Il ne changera pas. Il ne peut pas. Et le monde, ou plutôt l’univers, devra faire avec. Ou sans.

Dans cette époque où l’hypocrisie verte triomphe, avoir le courage d’admettre l’évidence est devenu un acte radical. Ne comptez pas sur l’espèce humaine pour réparer ce qu’elle a cassé. Elle ne sait que casser. Et elle ne s’arrêtera que quand il n’y aura plus rien à prendre.

Jusqu’à la prochaine tentative d’évolution. Jusqu’à la prochaine version de l’homme.

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