Racisme en France : Entre hypocrisie, incohérences et victimisation à répétition

Une société schizophrène qui s’enlise

La France, terre des droits de l’homme, est aussi un terrain miné de contradictions sociales, de frustrations identitaires, et surtout, de rapports humains gangrenés par le racisme. Le racisme en France loi ou pas, persiste comme une maladie chronique que personne ne veut vraiment soigner. Ce mal, qui se dissimule derrière des institutions respectables, se nourrit autant des discours de haine que des comportements ambigus, des promesses politiques creuses, et d’un peuple à la fois complice et victime.

Victimisation et incohérence : deux faces de la même pièce

L’obsession de la plainte sans volonté d’agir

D’un côté, on a des gens – souvent issus de l’immigration africaine ou maghrébine – qui ne cessent de hurler à l’injustice. Leur refrain est toujours le même : discrimination à l’emploi, logement en HLM, échec scolaire, vie de misère. Le constat est certes réel, le racisme en France loi ou non est là. Mais à force de ressasser ces réalités sans jamais remettre en cause leur propre rôle dans le schéma, ça devient pathétique. On pleure, on geint, on accuse. Mais personne ne fait ses valises.

L’amour étrange de la misère

Ce qui choque le plus, c’est cette attirance maladive pour une situation qu’ils dénoncent comme invivable. On déteste la France, on l’insulte, on lui crache dessus, mais on y reste. Pire, on s’y accroche comme une moule à son rocher. Pourquoi cette incohérence ? Pourquoi continuer à vivre dans un pays que l’on hait ? Il existe pourtant des centaines de pays dans le monde. L’expatriation n’est pas réservée à une élite. Créer un business en ligne, apprendre un métier en demande ailleurs, sortir du schéma victime-bourreau : voilà des options concrètes. Mais non. Beaucoup préfèrent jouer les pleureuses professionnelles, accrochées à leur statut de martyr pour se sentir exister.

L’impossible départ

On les entend pourtant, ces discours contradictoires : “Si j’avais su, je ne serais pas venu en France.” Mais au moment de monter dans l’avion, c’est la panique. Des gens s’accrochent littéralement aux sièges d’Air France pour ne pas repartir dans leur pays d’origine. Alors que la vie qu’ils mènent ici est une suite de galères, ils préfèrent la misère française à une vie digne chez eux. C’est incompréhensible.

Syndrome du bourreau adoré

C’est un mécanisme presque psychologique. Une sorte de syndrome de Stockholm inversé où la victime s’attache à son bourreau – ici, la France raciste. On reste parce qu’on espère un changement. Mais le racisme en France loi ou promesse, ne disparaîtra pas sous les incantations. On reste parce qu’on espère qu’un jour les choses s’arrangeront. Mais ce jour ne viendra pas tant que la France restera engluée dans ses contradictions politiques et sociales.

La responsabilité qu’on refuse d’assumer

Ce que peu veulent entendre, c’est que l’immobilisme est aussi un choix. Se plaindre de son sort tout en refusant d’agir, c’est quelque part admettre qu’on aime ce rôle. Se complaire dans une posture de victime éternelle n’est ni subversion, ni résistance. C’est de la paresse intellectuelle, doublée d’un refus total de prise de responsabilité. Ce n’est pas productif. Et ce n’est surtout pas libérateur.

L’impossibilité du dialogue cohérent

Dans ce climat, toute tentative de discussion vire à la cacophonie. Les uns hurlent au racisme, les autres à l’invasion migratoire. Personne ne se parle, personne ne s’écoute. Et pourtant, ces deux camps qui s’opposent férocement partagent une même absurdité : celle de rester dans un système qu’ils vomissent.

Quand les Français deviennent victimes d’eux-mêmes

Le discours schizophrène de l’électeur français

De l’autre côté, les Français “de souche”, comme ils aiment s’appeler, ne sont pas en reste niveau incohérences. Ils en ont “marre” de l’immigration, ils se disent “envahis”, ils pointent du doigt “l’échec du multiculturalisme”. Soit. Mais à chaque élection, ils votent pour ceux qui favorisent une immigration massive. C’est à se taper la tête contre les murs.

Une classe politique complice et menteuse

Les politiciens en France ont bien compris le jeu : faire des promesses sur le dos des immigrés, brandir le drapeau tricolore, parler de sécurité, de frontières, tout ça pour rassurer une base électorale flippée. Mais une fois au pouvoir, ils déroulent le tapis rouge à l’immigration légale et illégale. Macron, Hollande, Sarkozy, même refrain. La seule chose qui change, c’est le ton. Le fond, lui, reste le même : toujours plus d’immigration.

Une démocratie sans engagement

Et pourquoi ces politiciens peuvent-ils mentir aussi facilement ? Parce que questce que la procédure législative permet des programmes sans engagement. Tu peux promettre la lune, une fois élu, tu fais l’inverse, et personne ne te sanctionne. C’est un système vicié. En entreprise, tu promets un résultat et tu ne l’atteins pas ? Tu es viré. En politique ? Tu es réélu. C’est à se demander si les Français ne prennent pas un plaisir masochiste à se faire enfumer.

Une élite à l’image du peuple

En réalité, les élites ne sont que le reflet d’un peuple lâche, passif, incohérent. Un peuple qui refuse d’assumer sa responsabilité collective. On a les dirigeants qu’on mérite. Point. Tant que les électeurs voteront pour des gens qui n’ont aucun compte à rendre, rien ne changera. Et le racisme en France loi ou politique publique, continuera de ronger les fondations sociales du pays.

L’échec du multiculturalisme

Oui, la France a un passif colonial. Oui, il y a eu des actes antisémites et racistes ignobles dans l’histoire de ce pays. Mais là, on parle d’aujourd’hui. Et aujourd’hui, le multiculturalisme imposé ne fonctionne pas. Il a accouché de ghettos, de bidonvilles, de tensions raciales constantes. Et aucun gouvernement n’a jamais eu le courage d’y mettre un terme.

L’illusion des solutions politiques

Marine Le Pen, Zemmour, Asselineau, même rengaine. Tous promettent de régler la question migratoire, mais aucun n’a de réelle solution. Le système est tellement verrouillé qu’il est quasi impossible de modifier en profondeur les politiques migratoires sans s’affranchir de l’Union européenne. Et même là, les promesses de contrôle des frontières ne tiennent pas la route.

Partir ou subir : l’alternative brutale

Quitter la France n’est pas une trahison

Face à cette impasse, la meilleure solution pour ceux qui en ont ras-le-bol reste l’exil. Non, partir n’est pas une trahison. C’est un acte de lucidité. Pourquoi rester dans un pays qui vous rejette, qui vous humilie, et qui ne vous offre aucune perspective d’avenir ? Le racisme en France loi ou prétendue justice sociale n’effacera jamais la réalité du terrain.

Le mythe de l’impossibilité du départ

Le fameux “je peux pas partir, j’ai pas les moyens” est une excuse. Aujourd’hui, avec Internet, il est possible de lancer un business depuis n’importe où. Les frontières sont ouvertes. Les visas existent. Il faut juste arrêter d’attendre que le changement vienne de l’extérieur.

L’exemple des pays stricts

Singapour, l’Australie, le Canada : autant de pays qui appliquent une politique migratoire rigoureuse. Pas de drame humanitaire, pas de bidonvilles, pas de zones de non-droit. Ces pays ont compris une chose simple : une immigration réussie, c’est une immigration choisie. En France, c’est tout l’inverse : une immigration subie, chaotique, et impossible à intégrer.

Le confort de la plainte

Mais non, on préfère rester et pleurnicher. Parce que la plainte est confortable. Elle donne une raison d’exister. Elle évite la prise de risque. Elle permet de justifier son échec. C’est une stratégie de survie psychologique, mais qui devient une stratégie de mort sociale à long terme.

Une pathologie collective ?

Il faudrait presque inventer un terme médical pour ce phénomène : la misérophilie. Une attirance morbide pour la souffrance, la galère, l’humiliation, tant que ça permet de nourrir son ego de victime. C’est une pathologie mentale déguisée en discours politique.

La France, terre d’exil intérieur

Ironie ultime : même ceux qui restent en France vivent en exil intérieur. Ils se sentent exclus, méprisés, invisibles. Ils n’existent qu’à travers leur combat contre un système qu’ils entretiennent malgré eux. Le racisme en France loi ou non ne les autorise pas

à vivre dignement, mais ils n’imaginent même pas chercher ailleurs.

L’hypocrisie institutionnalisée

Le mensonge démocratique

Ce pays se flatte d’être une démocratie. Mais une démocratie sans obligation d’engagement, c’est une blague. Les programmes électoraux sont des fictions. Les débats sont creux. Les décisions sont prises ailleurs, souvent à Bruxelles. Et la population accepte tout ça sans broncher.

Le pouvoir aux IA ?

À ce stade, une intelligence artificielle pourrait mieux gouverner. Une IA appliquerait les quotas définis, exécuterait les lois votées, ne ferait pas de promesses bidon. On aurait enfin un semblant de cohérence. Mais non, on préfère garder nos politiciens de pacotille et leur offrir cinq ans de carte blanche à chaque élection.

Les Français ne veulent pas changer

Le plus effrayant, c’est que les Français ne veulent pas vraiment de changement. Ils aiment se plaindre. Ils aiment voter pour ceux qui les trahissent. Ils aiment détester les immigrés tout en consommant leur cuisine, leur musique, leur culture. C’est un double-jeu grotesque.

Un peuple déconnecté du réel

On vit dans une société en pleine dissonance cognitive. Tout le monde sent que quelque chose cloche, mais personne n’a le courage d’ouvrir les yeux. On répète les mêmes erreurs, encore et encore, en espérant un résultat différent. C’est la définition même de la folie.

Une France perdue dans ses illusions

Il n’y a plus de cap. Plus de vision. Plus de projet commun. Juste un pays qui tangue, tiraillé entre sa grandeur passée et sa réalité déclinante. Un pays qui légifère à tout-va mais n’applique rien. Un pays où délais les textes de référence ne servent plus à rien, tant l’hypocrisie est institutionnalisée.

Le mur n’est plus loin

À force de jouer avec le feu, la France finira par se brûler. Elle explose déjà de l’intérieur. Il suffit de regarder ce qu’il se passe à Mayotte : bidonvilles, machettes, policiers débordés, chaos social. C’est ça, le futur si rien ne change. Et dans ce contexte, continuer à parler de “vivre ensemble” frôle la malhonnêteté.

En guise de conclusion

Le choix est clair : fuir ou sombrer

Le racisme en France loi ou valeurs républicaines ne changera rien tant que les citoyens ne changent pas d’attitude. Il est temps de choisir. Soit on reste et on agit. Soit on part et on construit ailleurs. Mais pleurnicher, accuser les autres, voter pour les mêmes menteurs et se plaindre ensuite, c’est terminé. Il faut arrêter les discours creux, les postures de victime et les illusions électorales. Parce qu’à ce rythme, la France court tout droit vers une fracture irréversible – sociale, identitaire, et humaine.