Externaliser les tâches ingrates à une bobonne ?

Faut-il une bobonne à tout faire ou encore perdre son temps avec les tâches ingrates ?

L’illusion de la vertu domestique

Le mythe moderne de la personne « responsable » qui s’occupe elle-même de ses tâches ménagères est une mascarade. Derrière cette façade de vertu se cache un énorme gaspillage de temps, d’énergie et de potentiel. À une époque où l’on peut sous-traiter absolument toutes les tâches ingrates – cuisine, ménage, lessive, vaisselle – continuer à s’en charger soi-même relève presque du masochisme.

Soyons clairs : tout ce qui est de l’ordre du domestique est aujourd’hui aisément externalisable. Et encore plus facilement remplaçable par des services low cost dans la majorité des pays. Que tu sois en Asie du Sud-Est, en Europe ou même dans des villes chères comme Singapour, il existe toujours une solution économique pour ne plus jamais faire ta cuisine, ton linge ou ton ménage.

Et donc, poser la question « faut-il externaliser à une bobonne ? » ou à une femme de ménage, ou encore déléguer à une compagne soumise, c’est rater le vrai débat. Le fond du problème n’est pas de savoir à qui confier ces tâches, mais pourquoi les faire encore aujourd’hui alors qu’on peut s’en débarrasser complètement.

Manger chez soi, une absurdité moderne

Faire sa propre cuisine ? Pourquoi ? Il y a littéralement des milliers de restaurants autour de toi, où que tu sois. Même les gens les plus pauvres mangent à l’extérieur dans beaucoup de pays. Ce n’est pas une question de luxe, c’est une question de rationalité.

Tu veux bouffer ? Tu marches 5 minutes. Tu trouves un warung, une cantine, un food court. Et pour une poignée d’euros, tu te régales. Tu veux du riz avec des légumes, un œuf, un peu de sauce ? À Singapour, c’est 1,50 €. En Malaisie, tu tapes dans les 20 centimes d’euro pour un nasi lemak. En Thaïlande, même combat. Bali ? C’est donné. Tu veux vraiment encore rentrer chez toi, allumer une plaque, couper des oignons, nettoyer ta poêle, tout ça pour finir avec un plat que t’as même pas envie de manger ? Sérieusement ?

L’argument du prix ne tient pas une seconde. Même à Paris, si t’optimises un peu, tu peux manger dehors sans ruiner ton budget. Alors imagine à Bali, à Chiang Mai, à Penang… Le calcul est vite fait.

Tu ne cuisines pas parce que tu es riche. Tu ne cuisines pas parce que tu es logique. Le monde est rempli de gens qui ont ouvert un boui-boui pour faire ça à ta place. Profite.

Et ne me parle pas de plaisir de cuisiner. La vérité, c’est que 95 % des gens ne cuisinent pas par passion, ils cuisinent parce qu’ils n’ont pas mieux à faire ou qu’on leur a martelé que c’est « bien ». Bullshit.

Le ménage : se salir pour être propre ?

C’est sans doute la tâche la plus absurde à faire soi-même. Passer des heures à frotter, balayer, dépoussiérer, laver des chiottes ? À quoi bon ? Le ménage est une activité qui ne génère aucune valeur. Tu l’as fait aujourd’hui ? Tu dois le refaire dans trois jours. C’est du hamster wheel pur.

Quand tu bouges souvent, c’est encore plus simple : tu ne fais jamais le ménage. Tu changes d’Airbnb, tu arrives dans un appart propre, nettoyé, avec des draps frais. Pas besoin de sortir l’aspirateur ou la serpillère. À chaque déménagement, c’est comme si t’appelais une équipe pro pour tout désinfecter. Automatique.

Même quand t’es obligé de rester un peu plus longtemps au même endroit – genre pendant le Covid – tu t’organises autrement. T’es pas obligé de transformer ton salon en zone sinistrée, mais tu peux clairement survivre sans jamais frotter ton sol. Et si vraiment ça devient dégueu, y’a toujours quelqu’un autour de toi qui déteste la saleté. Amène-les chez toi, laisse la magie opérer. Une amie avec un TOC de propreté, c’est le jackpot.

Ceux qui te vendent le ménage comme une noble activité oublient un truc essentiel : ton temps est limité. Et si tu le passes à nettoyer, tu ne crées rien. Tu n’apprends rien. Tu n’avances pas. Tu fais juste ce que n’importe qui avec deux neurones peut faire pour quelques euros.

Le linge ? Il ne mérite même pas qu’on en parle

La lessive est probablement la tâche la plus ridicule à faire soi-même aujourd’hui. Des laveries, t’en trouves à tous les coins de rue. Tu remplis un sac, tu le balances dans le local, et tu reviens deux jours plus tard avec tes fringues lavées, séchées, pliées. C’est pas plus compliqué que ça.

Et si t’es un minimum malin, tu crées ta routine. T’identifies les laveries les plus efficaces, tu négocies les prix, tu deviens un client régulier. À force, elles te reconnaissent, elles savent comment tu veux ton linge, t’as même plus besoin de parler. Tu balances ton sac depuis l’autre côté de la rue. Littéralement.

Pas besoin de ticket, de facture, de garantie, de contrat. À Bali, ils savent même pas écrire un reçu, et ils s’en foutent. Tu donnes ton sac, tu reviens deux jours après, tout est prêt. La confiance est la norme. L’arnaque n’a pas de sens pour eux. Même pas besoin de dire ton nom.

Et si jamais ils paument un t-shirt, c’est quoi le drame ? Il valait 5 €. Remplace-le. La liberté, ça n’a pas de prix. Ton t-shirt, si.

Vaisselle : un combat perdu d’avance

Faire la vaisselle, c’est comme écoper un bateau qui coule. T’as beau frotter comme un forcené, tu sais que dans trois heures, tu recommences. Et pour quoi ? Pour un bol ? Une assiette ? Un couteau ? Sérieusement ?

Encore une fois, si tu manges dehors, la question ne se pose même pas. Tu rentres, t’as mangé, t’as pas mis la main à la pâte. T’as zéro vaisselle. Peut-être une cuillère à rincer parce que t’as grignoté une mangue. Et encore. Passe-la sous l’eau, sèche-la, fin de l’histoire.

Et si vraiment t’es maniaque, un fond de liquide vaisselle et un torchon feront le boulot. T’as pas besoin de dédier 15 minutes par jour à cette merde. Multiplie ça par 30 jours. 450 minutes de perdues dans le mois. Sept heures. Tu pouvais écrire un article, tourner une vidéo, monter un business. T’as préféré laver une fourchette.

Tu ne gagnes rien à faire la vaisselle. Absolument rien. Tu n’apprends rien. Tu ne deviens pas plus discipliné. Tu ne gagnes pas en humilité. Tu perds du temps. C’est tout.

La vérité sur la bonne à tout faire

Alors évidemment, certains vont sortir l’argument ultime : « Mais si t’avais la bobonne à tout faire qui cuisine bien, qui fait le ménage, qui lave ton linge, ce serait pas mieux ? »

Non. Ce serait exactement pareil. Parce que la logique ne change pas. Que ce soit toi qui le fasses, ta copine, ta femme, ou une employée, ça reste du temps foutu en l’air.

Et vouloir transformer sa compagne en servante, c’est pitoyable. Si tu mets une femme dans ta vie pour qu’elle fasse ton ménage, t’as rien compris. Tu veux une relation ou un contrat de nettoyage ? Parce que les bonne à tout faire Fatima, Micheline, Fatumata ou autre, tu peux les payer à l’heure. Pas besoin de les épouser.

Une bonne à tout faire n’est pas une solution. C’est un cache-misère. Tu crois gagner du temps parce que tu la fous devant les fourneaux, mais en réalité tu t’enfermes dans un modèle dépassé. À quoi bon prendre une femme pour ce que tu peux déléguer à la société ? Tu veux une compagne ou une employée de maison ?

L’amour, le sexe, la complicité, les projets communs – voilà ce que tu cherches. Pas une cuisinière avec supplément fellation.

Une question de valeur ajoutée

Toutes ces tâches – cuisine, ménage, lessive, vaisselle – ont un point commun : elles sont interchangeables. Elles peuvent être effectuées par n’importe qui. Elles ne nécessitent aucune compétence particulière, aucune créativité, aucune intelligence.

Et donc, en les faisant toi-même, tu gaspilles ton potentiel. Tu fais des trucs que des gens sans éducation, sans expérience, sans formation peuvent faire aussi bien que toi. Ce n’est même pas méprisant de dire ça. C’est factuel.

La vie moderne, surtout si tu bosses dans le digital, la création, l’entrepreneuriat, te donne un pouvoir incroyable : concentrer ton énergie uniquement sur les tâches à forte valeur ajoutée. Tout ce qui ne l’est pas doit être éliminé ou externalisé.

Tu veux faire progresser tes enfants ? Ne les transforme pas en fées du logis. Apprends-leur à coder. À gérer de l’argent. À créer une activité. À comprendre le monde. Pas à passer l’aspirateur ou récurer des chiottes. Ce sont des compétences qui seront obsolètes bien avant qu’ils n’entrent dans le monde adulte.

Tu crois leur apprendre la responsabilité en leur donnant des corvées ? Faux. Tu leur apprends juste à s’habituer à faire ce que tout le monde déteste. C’est de la résignation que tu leur enseignes, pas de l’ambition. Savoir faire la vaisselle ou plier du linge ne te rend pas plus indépendant. Ça te rend juste compatible avec une routine qui ne mène nulle part.

La vraie indépendance, c’est de savoir que tout ça peut être externalisé. Et d’avoir les moyens intellectuels ou financiers de le faire. C’est ça, la vraie compétence utile en 2025.

Déléguer n’est pas un luxe, c’est une stratégie

Certaines personnes se croient trop « fières » ou « morales » pour déléguer ces tâches. Elles se disent qu’il faut être humble, ne pas avoir peur de se salir les mains. Elles confondent noblesse et médiocrité.

Déléguer, c’est faire preuve d’intelligence stratégique. Quand tu refuses de perdre du temps sur des tâches sans valeur ajoutée, tu t’ouvres à des opportunités plus grandes. Tu déplaces ton énergie mentale sur des objectifs qui comptent. Sur la création. Sur la progression. Sur des interactions humaines plus riches.

Ce n’est pas une question d’argent. Ce n’est pas réservé aux « riches ». C’est une question de priorité. Tu peux gagner le SMIC et déléguer ta lessive. Tu peux vivre avec 1000 € par mois à Bali, et ne pas toucher à un balai de toute l’année. Il suffit d’avoir compris que ton temps vaut plus que le prix d’un service.

La plupart des gens vivent comme si leur vie ne valait rien. Ils passent leur existence à faire ce qu’une machine, un employé sous-payé ou une app peut faire à leur place. Pourquoi ? Par habitude. Par conformisme. Par manque de réflexion.

Tu veux sortir du lot ? Commence par sortir de cette logique-là.

Conclusion : arrête de faire les choses que tu peux faire faire

On ne vit qu’une fois. Et cette vie est bien trop courte pour la passer à frotter, à découper des oignons, à plier des serviettes. Tu n’es pas né pour devenir une version masculine ou féminine d’un employé de pressing.

Toutes ces tâches ont été externalisées par des civilisations entières. Les Romains avaient des esclaves pour ça. Les riches ont toujours eu du personnel. Aujourd’hui, grâce à la mondialisation, à la technologie et aux plateformes de services, même une personne avec un revenu modeste peut se débarrasser de tout ça.

Le pire dans tout ça, c’est que certains continuent à croire que faire ses tâches ménagères soi-même est un acte de noblesse. C’est juste une perte de temps. Et parfois même, une excuse pour ne pas faire ce qui est réellement difficile : créer, penser, produire, bâtir quelque chose de concret.

Ne perds plus ton temps avec la vaisselle, la lessive, ou le ménage. Ne cherche pas une bonne à tout faire pour t’alléger de ce poids. Cherche à t’en libérer complètement.

Et si tu penses encore qu’avoir une bonne à tout faire qui te prépare à manger ou te repasse tes chemises est une chance, c’est que tu vis encore dans un monde ancien. Dans le nouveau, on ne confond plus relation humaine et tâches domestiques. On ne lie plus amour et corvées.

Tu n’as pas besoin de quelqu’un pour faire ton linge. Tu as besoin de temps pour vivre, apprendre, construire. Tu n’as pas besoin de transformer ta copine en femme de ménage. Tu as besoin d’un cerveau qui tourne, pas de bras pour porter un balai.

Reprends le contrôle de ton temps. Et laisse les tâches ingrates à ceux dont c’est le métier – ou mieux : à personne.

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