Qui doit rester en France ?

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  • Dernière modification de la publication :25 septembre 2025
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Qui doit vraiment rester en France ? Une analyse crue de la réalité sociale et économique

La France est un pays paradoxal. D’un côté, elle se vide lentement de ses forces vives, de ceux qui veulent entreprendre, respirer, construire autre chose ailleurs. De l’autre, elle reste un havre pour certaines catégories de personnes qui, objectivement, y trouveront une existence plus confortable que nulle part ailleurs sur la planète. Parce que oui, malgré ses défauts, ses absurdités administratives, sa lourdeur fiscale, son climat social délétère, la France reste le paradis de certains profils. 

Et si l’on veut être honnête — voire brutalement franc — il faut l’assumer : tout le monde n’a pas intérêt à fuir ce pays. Certains doivent y rester. Mieux encore, certains n’ont aucune chance de survivre ailleurs. Voici donc une analyse sans filtre sur pourquoi la France est endetté, mais surtout sur qui devrait y rester, sans la moindre hésitation.


Les champions de l’assistanat : une vie impossible ailleurs

Profiteurs du système : mieux vaut ne pas bouger

Commençons par les champions toutes catégories : ceux qui vivent à 100 % des aides sociales. CAF, RSA, APL, Restos du Cœur, Pôle Emploi… tout est bon à prendre. En France, il est tout à fait possible de vivre sans jamais avoir travaillé. Le système est généreux, presque indécent. 

Ailleurs ? Nada. En Thaïlande, à Bali, au Vietnam ou en Indonésie, il n’y a ni RSA, ni APL, ni CAF. Les gens travaillent, ou crèvent. La misère y est réelle, sans filet social. Donc si vous êtes une fénias ou un parasite professionnel, ne rêvez pas de cocotiers : restez en France. Là-bas, vous mourrez de faim.

Réfugiés et immigration illégale : le confort français

Il faut aussi parler des migrants, qu’ils soient réfugiés politiques ou immigrés économiques, avec ou sans papiers. En France, vous serez logé, nourri, blanchi, parfois même sans avoir besoin de prouver quoi que ce soit. Le pays a érigé l’accueil comme une religion. Des logements sociaux, des aides, une scolarisation gratuite pour les enfants, une couverture santé… Même en situation irrégulière, vous avez plus de droits qu’un citoyen local dans beaucoup de pays d’Asie.

Dans les paradis tropicaux, c’est une autre chanson. Là-bas, pas de paperasse = pas de droits. Vous serez expulsé, emprisonné, ou livré à vous-même dans une pauvreté absolue. Pourquoi la France est endetté ? Parce qu’elle porte à bout de bras des millions de personnes dans ces situations. Si vous êtes dans ce cas, fuir serait suicidaire. La France, malgré ses défauts, est votre seul planche de salut.

Délinquants mineurs : impunité garantie à domicile

Les pickpockets de moins de 18 ans ont trouvé leur paradis sur Terre : la France. Là où la justice est laxiste, où les juges relâchent à tour de bras, et où la prison est souvent évitée pour cause de minorité. Ailleurs ? Vous serez enfermé, sans ménagement, même si vous n’avez que 16 ans. Les pays asiatiques ne plaisantent pas avec la loi. 

La Thaïlande, par exemple, ne fait aucune distinction selon l’âge une fois que vous commettez un crime. Si vous êtes dans cette catégorie, ne tentez même pas l’aventure : restez en France, le seul pays où la délinquance juvénile est traitée avec des gants de soie.


Ceux que le système protège (encore)

Handicapés et malades chroniques : rester, c’est survivre

La France est l’un des rares pays au monde où l’on peut vivre relativement dignement avec un handicap. Accessibilité, aides financières, soins gratuits, accompagnement… tout est prévu pour compenser l’incapacité physique ou mentale. Idem pour les maladies chroniques : cancer, sclérose, diabète sévère… Vous pouvez suivre des traitements coûteux, être hospitalisé gratuitement, bénéficier de congés maladie payés.

Ici encore, pourquoi la France est endetté trouve une réponse simple : parce qu’elle paie ce que d’autres pays ne paient pas. Ailleurs, la maladie vous tue deux fois : physiquement et économiquement. Dans certains pays d’Asie, si vous avez besoin d’une dialyse, d’un traitement long ou d’un fauteuil roulant, c’est votre famille qui devra tout financer, jusqu’à l’épuisement. Les trottoirs sont défoncés, les hôpitaux vétustes. Si vous êtes dans cette situation, restez en France, votre vie en dépend.

Les fans de l’hôpital public : vous avez encore foi ? Restez

Vous croyez encore que le système de santé français est « le meilleur du monde » ? Vous êtes persuadé que tout le monde est bien soigné, que l’hôpital public reste un joyau de l’État providence ? Très bien. Restez-y. Même si les urgences sont devenues des zones de guerre, même si les patients meurent en salle d’attente après 10h sans prise en charge, même si les soignants fuient un système à bout de souffle… Si vous croyez encore à tout ça, vous méritez d’y rester. Les hôpitaux à Bali ? Moins performants, certes, mais aussi moins encombrés. À chacun ses croyances.

Les retraités anciens fonctionnaires : un cocon à ne pas quitter

Vous êtes retraité, avec une pension d’État, ancien professeur, postier, agent territorial ? Vous vivez peut-être modestement, mais confortablement. Votre pension tombe chaque mois, quoi qu’il arrive. Vous avez une mutuelle, un médecin de famille, un réseau. Pourquoi partir ? Vous risqueriez de tout perdre. Les paradis fiscaux ne sont pas faits pour les petits retraités, sauf si vous avez capitalisé toute votre vie. Pour les autres, restez en France. Le système, malgré son effondrement lent, est encore votre meilleur allié.


Les rêveurs révolutionnaires et les gardiens du vieux monde

Gilets jaunes et agriculteurs en colère : la lutte reste locale

Vous êtes un gilet jaune ? Un militant de rond-point ? Vous exigez plus d’aides, moins d’inégalités, une justice fiscale, un avenir pour vos enfants ? Très bien. Mais votre place est en France. Parce que vous vous battez contre un système qui vous opprime, mais qui vous nourrit encore. Dans les pays que vous fantasmez, les États n’en ont rien à faire de vous. Manifestez à Jakarta ou à Bangkok, et vous finirez avec des matraques sur la tête ou un casier judiciaire à vie. Votre combat est noble, certes, mais gardez-le en France.

Pareil pour les agriculteurs enragés. Ceux qui crient, qui brûlent les pneus, qui vident les étables devant les préfectures. Vous vous battez pour survivre dans un système agricole ruiné par les normes, la PAC, la mondialisation. Et vous avez raison. Mais le champ de bataille, c’est la France. Ici, les paysans bossent en silence, souvent dans la pauvreté, sans espoir d’aides. La sueur, ou la famine. Donc, restez en France, continuez à lutter. C’est votre terrain.

Féministes convaincues : un terrain de jeu idéal

Vous êtes une femme militante, convaincue que le patriarcat doit être renversé, que la société est sexiste, que le moindre compliment est une agression ? Ne venez pas ici. Les pays asiatiques n’ont pas encore intégré cette rhétorique. Les femmes sont respectées, certes, mais selon des codes traditionnels. Elles sont douces, féminines, attentives… L’idéologie féministe n’y est pas implantée. Le féminisme, tel qu’il s’exprime en France, n’est pas exportable. Donc si vous êtes une militante de cette cause, restez en France, c’est votre meilleur terrain d’expression.


Et les autres ? Faites vos valises.

Ceux qui n’aiment plus la France

Si vous n’êtes ni assisté, ni malade, ni militant, ni dépendant d’un système, alors pourquoi rester ? Que vous soyez entrepreneur, travailleur indépendant, artiste, aventurier, ou simplement en quête de paix… la France n’est probablement plus faite pour vous. Une fiscalité confiscatoire, une administration kafkaïenne, une insécurité croissante, un climat social en décomposition. La liste est longue.

Les paradis tropicaux n’ont pas que des plages. Ils ont la liberté. Moins de pression fiscale. Moins d’ingérence étatique. Des gens souriants. Une vie plus simple, plus authentique. Évidemment, il faut pouvoir bosser, s’adapter, être résilient. Ce n’est pas pour les fragiles. Mais si vous ne vous reconnaissez dans aucun des profils cités plus haut… c’est que votre place n’est plus en France.


Une dette à la hauteur d’un modèle à bout de souffle

Pourquoi la France est endetté ? Une question qui fâche

La générosité a un prix

. Et ce prix, c’est la dette publique française. Le pays s’est construit sur un modèle d’État providence absolu : redistribution massive, protection à tous les étages, aides sans fin. Mais ce modèle est en train de s’effondrer. Non pas parce qu’il est injuste, mais parce qu’il est irréaliste. On ne peut pas faire vivre 70 millions de personnes en prélevant toujours plus sur les 30 % qui produisent encore. Le système est mort, mais on le maintient sous perfusion.

Sous cette présidence, les mêmes erreurs se répètent

Quel que soit le président, sous la présidence de l’un ou de l’autre, les mêmes erreurs sont répétées. Toujours plus d’aides, toujours plus de dettes, toujours plus de déficits. On achète la paix sociale avec des milliards empruntés. On sacrifie l’avenir pour acheter du calme dans le présent. C’est lâche, mais c’est la norme. Et tant que les profils cités plus haut resteront majoritaires, rien ne changera. La France est devenue une immense garderie sociale où la majorité vit aux crochets d’une minorité productive.


Conclusion : Un pays à deux vitesses

La France est à un tournant. Elle ne peut plus tout financer, tout protéger, tout compenser. Pourquoi la France est endetté ? Parce qu’elle refuse de choisir. Parce qu’elle veut tout, pour tout le monde, sans condition, sans responsabilité. Ce modèle est fini. Et ceux qui en profitent le savent. Ils ne partiront jamais, car ils n’ont nulle part où aller.

Mais vous, si vous ne dépendez pas du système, si vous n’avez plus foi en ce modèle, si vous rêvez de liberté, de construction, de création… alors partez. Faites vos valises. Allez vivre ailleurs, loin de cette machine à broyer les vivants.

Et laissez sous le règne de louis, les boomers, les parasites, les militants et les profiteurs gérer les ruines de ce qu’était un grand pays.

Il faut regarder la réalité en face. Un pays, ce n’est pas un territoire, une langue ou même une culture. C’est un contrat social. Un accord tacite entre ceux qui produisent et ceux qui bénéficient. Entre ceux qui protègent et ceux qui sont protégés. Entre ceux qui financent et ceux qui reçoivent. Lorsque cet équilibre se rompt, tout commence à basculer.

Aujourd’hui, le contrat est brisé. La majorité des citoyens ne cherchent plus à participer à un projet collectif mais à en tirer le maximum d’avantages individuels. L’idéal républicain s’est dissous dans un océan de revendications, de clientélisme et d’égocentrisme. Il ne s’agit plus de contribuer, mais de capter. Plus de bâtir, mais de consommer. Plus d’unir, mais de diviser.

Le résultat est visible partout. Dans les hôpitaux, où les soignants fuient. Dans les écoles, où les enseignants n’enseignent plus mais tentent de gérer le chaos. Dans les commissariats, où la peur a remplacé l’autorité. Dans les administrations, où la bureaucratie se substitue à l’efficacité. Dans les rues, où les tensions raciales, sociales et idéologiques se croisent dans un brouillard de ressentiment.

Il ne s’agit pas d’un effondrement brutal, mais d’un lent délitement. Un effritement silencieux, où chaque service public fonctionne un peu moins bien, où chaque infrastructure vieillit sans être entretenue, où chaque décision politique semble plus absurde que la précédente. Et dans ce contexte, continuer à croire à la promesse d’un avenir commun est devenu un acte de foi.

Ceux qui croient encore à ce modèle se battent. Ils descendent dans la rue, occupent des ronds-points, bloquent les routes, s’invectivent sur les plateaux télé, s’enchaînent à leurs idéologies. Ils hurlent à l’injustice, au mépris, au déclassement. Et ils ont raison. Car ils sont, eux aussi, des victimes d’un système qui a trahi sa promesse d’égalité et de mérite.

Mais hurler ne suffit plus. La maison brûle depuis longtemps, et ceux qui en ont les moyens sont déjà partis. Non pas par lâcheté, mais par lucidité. Parce qu’à un moment, on ne peut plus colmater les brèches d’un navire qui prend l’eau de toute part. Parce que tenter de réparer ce qui est pourri jusqu’à l’os n’est pas toujours courageux — c’est parfois simplement naïf.

Partir, c’est faire le choix de la responsabilité. De devoir se débrouiller. De ne plus attendre des aides, des subventions, des protections artificielles. C’est accepter de tomber, de se relever seul, de construire à partir de rien. Ce n’est pas un choix facile, mais c’est un choix d’adulte.

Ceux qui restent, pour des raisons valables ou non, doivent comprendre qu’ils ne vivront plus jamais ce qu’ont connu leurs parents ou leurs grands-parents. Le confort d’un État protecteur, les avantages d’une sécurité collective, la paix sociale — tout cela appartient au passé. Ce qui vient, c’est la confrontation à une réalité de plus en plus dure, de plus en plus crue, où seuls ceux qui maîtrisent le jeu tireront leur épingle du chaos.

La fracture est profonde. Ce n’est plus seulement une division entre riches et pauvres, entre villes et campagnes, entre nationaux et étrangers. C’est une séparation entre ceux qui veulent changer leur vie et ceux qui attendent qu’on la leur change. Entre ceux qui prennent des risques et ceux qui exigent des garanties. Entre ceux qui fuient l’inertie et ceux qui s’y complaisent.

Il n’y a pas de jugement moral à apporter à ces choix. Mais il faut reconnaître leur incompatibilité. Ces deux mondes ne peuvent coexister pacifiquement à long terme. L’un finira par écraser l’autre, ou bien les deux sombreront ensemble dans l’immobilisme, puis la ruine.

Alors la vraie question n’est pas de savoir qui a tort ou raison. La vraie question, c’est : qu’est-ce que vous voulez faire de votre vie ? Rester dans une société figée, où tout est prévisible, subventionné, encadré, mais en déclin ? Ou tenter l’inconnu, là où la liberté coûte cher, mais où elle existe encore ?

La réponse appartient à chacun. Mais elle engage tout.

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