S'installer dans un pays d'Asie pas cher quand on est infopreneur : le vrai du faux
Quand on travaille sur internet — que ce soit en tant que freelance, remote worker ou infopreneur — l’appel de l’Asie du Sud-Est est fort. Plages paradisiaques, coût de la vie ridicule, rythme de vie détendu. Mais une fois la décision prise de s’expatrier, la vraie galère commence : quel pays d’Asie pas cher choisir quand on veut bosser en ligne ?
Pas question ici de parler vacances ou tourisme. Il s’agit de vivre, bosser et générer du cash, tout en évitant de se faire virer, se faire taxer comme un porc ou carrément finir dans la merde à cause d’un visa mal foutu. On va donc trancher dans le vif, sans bullshit. Cinq pays passés à la moulinette : Thaïlande, Indonésie (Bali), Malaisie, Vietnam, Singapour. Objectif : identifier le ou les pays d’Asie pas cher vraiment adaptés pour les infopreneurs et autres indépendants du web.
Travailler légalement en Asie du Sud-Est : un fantasme ?
La légalité, ça veut dire quoi ?
Trois zones : blanche, grise, noire. Zone blanche : c’est légal, clair, validé par les autorités. Zone grise : ça passe, mais c’est flou, sujet à interprétation. Zone noire : c’est illégal, point. La majorité des digital nomads se situent en zone grise, parfois en zone noire, sans même le savoir.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que le droit de travailler, le type de visa et la fiscalité sont liés. Parler de taxes sans parler de visa, c’est comme pisser dans un violon. Si t’es pas censé travailler, mais que tu déclares tes revenus, tu crées un paradoxe fiscal. Et vice versa.
Thaïlande : le paradis en carton pour les infopreneurs
La Thaïlande fait rêver. Mais tout y est interdit. Le visa touriste ? Pas le droit de bosser. Le visa étudiant ? Tu dois étudier, pas facturer des clients. Le visa retraite ? Tu dois être inactif. Le visa Thaï Elite, malgré ses avantages VIP, n’autorise aucune activité rémunératrice.
Et pourtant, il y a des milliers de freelancers, créateurs de contenu, marketeurs en ligne installés à Chiang Mai ou Bangkok. Tous en zone grise ou noire. Beaucoup jouent avec le feu, jusqu’au jour où ça pète : arrestations, expulsions, interdictions de territoire. On parle ici de gros zèle des autorités, jusqu’à interdire des gens pour avoir posté des vidéos sur TikTok.
Oui, il y a une tolérance. Mais c’est aussi le pays le plus imprévisible à ce niveau. Et ne parlons même pas des montages d’agence de portage qui te filent une fiche de paie bidon contre 1 000 € par mois. Du bullshit maquillé en légalité.
Bali (Indonésie) : paradis tropical, légalité bancale
Bali est un aimant à Nomades Digitaux. Des coworkings à tous les coins de rue, une vibe entrepreneuriale forte. Mais côté visa ? C’est légalement la loose.
Visa touriste ou business ? Interdiction totale de bosser. Pourtant, tout le monde le fait. La tolérance est énorme, les contrôles quasi inexistants. Mais encore une fois, on nage en pleine zone grise.
Il existe un visa investisseur (KITAS) qui te permet de monter une société locale et de diriger cette société. Mais attention, ça ne veut pas dire que tu peux faire ce que tu veux. La loi n’autorise que certaines activités précises, et la création de contenu ou le freelancing n’en font pas explicitement partie. Résultat : une liberté bancale, à la merci d’une interprétation d’un fonctionnaire zélé.
Malaisie : l’outsider qui rafle la mise
La Malaisie est le seul pays d’Asie du Sud-Est à proposer un visa Nomad Digital officiel et légal. Son nom : DE Rantau. Il autorise tous types de boulot remote, freelancing, content creation, sans obligation de créer une société locale.
Validité : 12 mois, renouvelable. Aucun besoin d’avoir un business local ou d’embaucher. C’est propre, c’est net, c’est blanc.
Et cerise sur le gâteau : la fiscalité est ultra avantageuse. Pas de taxation extraterritoriale, tant que les revenus viennent de l’étranger et ne sont pas rapatriés pendant l’année fiscale. Bref, un environnement carrément friendly pour les infopreneurs sérieux qui veulent poser leurs valises quelque part dans un pays d’Asie pas cher sans se mettre dans la sauce.
Vietnam : grosse hype, zéro structure
Le Vietnam attire de plus en plus de monde, notamment à Hô Chi Minh-Ville et à Da Nang. Mais soyons clairs : il n’y a AUCUN visa adapté pour les travailleurs du web.
Pas de visa digital nomad, pas de long terme simple, aucune tolérance officielle. Et cerise sur le tofu : taxation mondiale. Tu deviens résident fiscal au Vietnam ? Tu dois déclarer et payer sur tous tes revenus, qu’ils viennent de France, de Suisse ou de ton e-commerce à Singapour.
Donc non, le Vietnam, ce n’est pas une destination viable pour les infopreneurs qui veulent faire les choses proprement.
Singapour : l’eldorado des grosses boîtes (mais pas pour toi)
Singapour, c’est clean, efficace, sécurisé. C’est aussi l’un des pays les plus riches du monde, avec un écosystème tech ultra développé. Mais pour les freelances, c’est no go.
Pas de visa pour les remote workers, zéro tolérance, et un niveau de surveillance étouffant. Le pays est blindé de caméras, les lois sont strictes, et la moindre activité rémunérée en visa touriste peut te coûter très cher.
Le seul moyen d’y bosser légalement, c’est de monter une vraie boîte, avec salariés, capital, etc. Et encore, c’est uniquement pour les start-ups tech ambitieuses. En clair : Singapour, c’est pour les levées de fonds, pas pour les freelancers en slip derrière un MacBook.
Le casse-tête des taxes : où ne pas se faire plumer ?
Thaïlande : paradis fiscal… conditionnel
Si tu n’as pas le droit de bosser, tu peux quand même être résident fiscal en Thaïlande. Oui, c’est paradoxal. Mais c’est légal. Et côté fiscalité, c’est simple : 0 % d’impôt sur les revenus étrangers, à condition de ne pas les rapatrier pendant l’année fiscale.
Tu vis à Chiang Mai, tu bosses pour des clients aux USA, tu laisses ton fric sur un compte à Dubaï ? Zéro impôt. Tu veux te faire un virement pour louer une villa ? Là, c’est taxé. Voilà la logique thaïlandaise.
Malaisie : terrain fiscal ultra light
Même logique qu’en Thaïlande, en mieux. Pas de taxation extraterritoriale, mais sans le délire du « si tu rapatries t’es taxé ». En Malaisie, seuls les revenus perçus dans l’année sont pris en compte. Et uniquement s’ils sont ramenés sur place.
Résultat : tu bosses à distance, tu encaisses à l’étranger, tu dépenses en carte sans virer sur un compte local = 0 % d’impôt. Idéal pour optimiser ton statut de résident fiscal dans un pays d’Asie pas cher.
Indonésie : jackpot si t’as le bon setup
La fiscalité indonésienne est ultra agressive si tu es résident fiscal. Tout est taxable : revenus du monde entier, comptes bancaires à l’étranger, intérêts, dividendes, etc. À Bali, si tu restes plus de 183 jours par an, tu es censé tout déclarer. C’est la règle.
MAIS… si tu es en visa investisseur, avec une boîte locale, là c’est différent. Tu peux payer seulement 11 % d’impôt (IS + dividendes). Pour un gros revenu en ligne, c’est un setup très avantageux, à condition de le structurer proprement.
Vietnam : la double peine
Pas de visa pour bosser, et imposition mondiale si tu restes sur place. Bref, à éviter totalement si tu veux faire les choses dans les règles. Le Vietnam coche toutes les mauvaises cases : illégal de bosser, et obligatoire de déclarer tous tes revenus.
Un piège qui peut te coûter très cher si tu vises la tranquillité.
Singapour : fiscalité géniale, paperasse infernale
Comme la Malaisie, pas d’imposition sur les revenus étrangers. Mais vu que tu ne peux pas y travailler légalement sans monter une vraie entreprise, ça reste inaccessible pour les freelances et solopreneurs.
Fiscalement parlant, c’est ultra clean. Mais l’administratif est lourd, la résidence coûte un bras, et les conditions d’obtention de visa sont draconiennes. Bref, réservé aux gros joueurs.
Le vrai pays d’Asie pas cher pour infopreneurs ? C’est la Malaisie
Clairement, la Malaisie sort du lot. Avec un visa digital nomad officiel, une fiscalité ultra légère et un cadre légal clair, c’est le seul pays d’Asie du Sud-Est qui coche toutes les cases pour ceux qui veulent bosser proprement.
Bali arrive derrière, à condition de jouer dans la zone grise et d’avoir une bonne tolérance au risque. La Thaïlande ? Pareil, mais encore plus risqué. Singapour ? Inaccessible pour 95 % des infopreneurs. Le Vietnam ? Oublie.
Moins chers au monde pour ton voyage… mais pas pour bosser
Beaucoup d’infopreneurs partent en Asie avec une logique « vacances + taff », attirés par les coûts faibles. Oui, ces pays font partie des moins chers du monde pour voyager, mais quand il s’agit d’y vivre et de travailler, c’est une autre histoire.
Le vrai coût, c’est celui de l’illégalité, des risques, des expulsions, ou de se retrouver bloqué sans accès à ses revenus. Ne base pas ton choix uniquement sur le prix d’un plat de nouilles. Ce que tu veux, c’est de la stabilité, de la liberté, et de la clarté juridique.
Vivre et bosser en Asie : planifie, prépare, structure
Ne pars pas à l’arrache
Monter dans un avion avec un billet open, un laptop et un rêve d’indépendance, c’est cool sur Instagram. Mais dans la vraie vie, ça peut vite tourner au cauchemar. Prépare ton départ. Choisis un pays où tu peux travailler légalement. Ne te contente pas de survivre en visa touriste pendant 6 mois.
Pense fiscalité jour après jour
La fiscalité, c’est un marathon, pas un sprint. Il faut planifier jour par jour, suivre ses jours de présence, structurer ses flux financiers, choisir où tomber résident fiscal. C’est chiant ? Oui. Mais si tu gagnes bien ta vie, c’est indispensable.
Gère tes risques
Tolérance ne veut pas dire impunité. Ce n’est pas parce que des milliers de digital nomads bossent illégalement à Bali que tu ne risques rien. Un contrôle, un dénonciation, un changement de politique… et tu peux tout perdre. La légalité, c’est la base de ta liberté.
Conclusion : le seul choix viable pour un infopreneur clean
Aujourd’hui, en 2025, le seul pays d’Asie pas cher vraiment adapté aux infopreneurs est la Malaisie. C’est le seul endroit où tu peux vivre, travailler, déclarer tes revenus, et dormir tranquille.
Tu veux faire les choses dans les règles, pérenniser ton business, vivre bien et bosser sans flipper ? Ne cherche pas plus loin.
Le reste ? C’est du bricolage.
L'Enrichissement Pour TOUS - Sébastien de Stratégie Liberté
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