Défendre sa vraie patrie et découvrir sa vraie identité : une réflexion sans filtre
Le patriotisme vu autrement
Défendre sa vraie identité, ce n’est pas revêtir un drapeau ou chanter un hymne avec les larmes aux yeux. Ce n’est pas se battre pour un bout de terre, pour une langue ou pour une recette de cuisine. La vraie patrie, ce n’est pas nécessairement celle qui figure sur un passeport ou une carte d’identité. C’est un concept plus vaste, plus fluide, que beaucoup refusent de voir parce qu’ils sont embourbés dans des récits patriotiques poussiéreux.
Ceux qui hurlent à la trahison dès qu’on remet en question le mythe national sont généralement ceux qui n’ont jamais quitté leur confort idéologique. Ils pensent que défendre leur pays, c’est se battre pour « leur patrimoine culinaire et agricole ». Mais soyons clairs : on ne va pas crever pour un camembert.
Le camembert, parlons-en. Même à Bali, à Kuala Lumpur ou dans un recoin d’Indonésie, on peut déguster un fromage aussi bon, voire meilleur, que celui produit en Normandie. Pourquoi ? Parce que la recette, le savoir-faire, le pénicillium camemberti sont reproductibles. Ce n’est pas une essence divine ancrée dans la terre française. Ce champignon ne porte pas de béret. Il pousse là où on le cultive.
C’est pareil pour le pain. La baguette ? Elle est bonne, oui. Mais allez goûter le pain turc, les pains arabes, les focaccias italiennes. Ils sont tout aussi savoureux. Le savoir-faire n’a pas de frontière. Il voyage. Il s’adapte. Il se perfectionne. Alors non, on ne va pas se battre pour une baguette.
Et l’agriculture ? Là encore, faut arrêter. Le patrimoine agricole français, ce n’est pas l’alpha et l’oméga de la civilisation. C’est souvent de la monoculture dopée aux graines OGM de chez Monsanto. Qu’on soit en France, en Asie ou en Amérique du Sud, on cultive les mêmes semences modifiées, sur des terres souvent fatiguées, pour nourrir une population globalisée. La patrie du blé pur et sacré n’existe plus. Elle est morte à coups de pesticides et de traités commerciaux.
La fin des attachements absurdes
On entend souvent : « J’aime ma terre, je suis attaché à ma terre ». C’est une déclaration romantique, mais creuse. Parce que la terre, au fond, est partout la même. Un coin de sable blanc en Indonésie vaut bien un champ de betteraves en Picardie. Le ciel bleu, la mer turquoise, les fleurs éclatantes, voilà des choses qui parlent au cœur bien plus que les frontières tracées au sang sur des cartes poussiéreuses.
Ceux qui s’accrochent à leur drapeau, à leur langue, à leur sol, sont souvent les mêmes qui défendent un fantasme. Un délire collectif hérité d’un passé de conquêtes, de guerres, de pillages. Qu’on parle de la France, de l’Angleterre ou des États-Unis, l’histoire est la même : des nations ont colonisé, volé, imposé leur loi sous prétexte de civilisation. Aujourd’hui, elles se présentent en victimes d’une soi-disant menace étrangère, alors qu’elles ont semé le chaos pendant des siècles.
Ceux qui défendent leur pays au nom du nationalisme sont souvent aveugles à l’histoire. L’Indonésie ? Ancienne colonie néerlandaise. Le Laos, le Cambodge, le Vietnam ? Colonie française. La Malaisie, Singapour ? Ancienne propriété de la Couronne britannique. Et les Philippines ? Terrain de jeu des Américains. Alors qui sont vraiment les forces « étrangères » ? Qui sont les mafias impériales ?
La vraie identité, si on la cherche vraiment, elle ne se trouve pas dans un passeport. Elle ne se trouve pas non plus dans une terre qu’on possède à coups de bulletins de vote ou de guerres absurdes. Elle se trouve dans le refus de s’attacher à l’illusion de la possession. Elle se trouve dans le fait de pouvoir tout quitter, tout abandonner, sans perdre son essence.
On a construit des murs, dessiné des frontières, écrit des hymnes, imprimé des constitutions, tout ça pour dire : « ceci est à moi ». Mais qu’est-ce qu’il reste à la fin ? Des cadavres, des ruines, des guerres inutiles. Regardez l’Europe : des millions de morts pour des frontières qui aujourd’hui sont abolies. On se bat pour des terres qui finiront, de toute façon, par ne plus appartenir à personne.
Quand on pousse la réflexion, la notion même de « possession » devient ridicule. Prenez Paris. Un appartement, un bien immobilier. Si demain un type débarque avec un bazooka et dit « c’est à moi maintenant », à quoi bon se battre ? Mieux vaut lui laisser les murs. Le ciel, le soleil, la liberté, voilà ce qu’aucune guerre ne pourra jamais arracher.
On reproche souvent à ceux qui quittent leur pays de fuir. De trahir. Mais il faut bien comprendre que le véritable courage n’est pas dans le combat, mais dans le lâcher-prise. Résister à la guerre, c’est une forme de paix intérieure. Fuir un territoire pour préserver sa vie, c’est faire preuve de lucidité.
Il y a des gens qui vivent sans justificatif didentité à usage unique, sans attaches, sans nation. Ils appartiennent à une nouvelle tribu : celle des nomades digitaux, des créateurs indépendants, des travailleurs du monde. Ils n’ont pas besoin de défendre une patrie. Leur seule quête, c’est celle de leur vraie identité.
Une langue, une culture, une illusion
Parlons de la langue. Beaucoup veulent défendre le français comme si c’était une relique sacrée. Mais le français n’est qu’un dialecte parmi d’autres. Il n’a rien de magique, rien d’exceptionnel. C’est un cousin de l’italien, de l’espagnol, du roumain. Toutes ces langues sont interconnectées, issues de la même racine latine. Parler français ne fait pas de vous un être supérieur, juste un locuteur d’un idiome localisé.
Et la langue évolue. Le français de Clovis, de Victor Hugo, de Voltaire, n’existe plus. On ne parle plus cette langue-là. Le vocabulaire s’appauvrit. Aujourd’hui, 90 % des mots du dictionnaire ne sont plus utilisés. C’est une illusion de croire qu’on peut figer une langue. Elle meurt, renaît, change. À quoi bon la défendre comme si c’était une forteresse ?
Demain, on vous dit : « Tu dois parler espagnol ». Quel est le problème ? Vous apprenez. Vous vous adaptez. Ce n’est pas la langue qui vous définit, c’est votre capacité à créer du lien. Et si on impose une langue unique au niveau européen, pourquoi pas ? Que ce soit le français, l’espagnol, ou l’anglais, le plus important, c’est de se comprendre.
La vraie identité, ce n’est pas votre langue maternelle. Ce n’est pas le sol sur lequel vous êtes né. Ce n’est pas le drapeau qu’on vous a appris à respecter à l’école. La vraie identité, c’est votre lien au monde. C’est votre liberté de mouvement. C’est votre capacité à vous relier aux autres êtres humains, au-delà des barrières culturelles, géographiques ou linguistiques.
On peut très bien avoir une vraie identit traduction anglaise linguee, une vraie identit dictionnaire anglaisfranais et moteur, et vivre pleinement, en paix, sans jamais brandir un étendard.
Dans ce monde globalisé, on converge vers une uniformisation. Et c’est tant mieux. Moins de différences rigides, plus d’échanges. Moins de guerres absurdes, plus de ponts entre les cultures. La diversité ne disparaît pas, elle se mélange, elle se transforme.
Quand on regarde les étoiles depuis une plage d’Indonésie, on se rend compte que la vraie identité, c’est d’abord une identité cosmique. Ce n’est pas l’identité française, ou indonésienne, ou québécoise. C’est celle d’un être vivant, conscient, libre.
Le monde est vaste, et pourtant on se limite volontairement à une case sur un formulaire. On se définit par notre carte d’identité, notre langue, notre religion, notre passé. Mais tout cela n’est que construction. Des étiquettes fragiles pour rassurer des égos paniqués.
Pourtant, il y a quelque chose de plus fort. Une vérité qui dépasse les papiers, les drapeaux, les hymnes. C’est cette sensation de se sentir chez soi partout. De pouvoir investir, vivre, aimer, créer n’importe où, sans justification. D’embrasser le monde, non pas avec des chaînes, mais avec ouverture.
Oui, la vraie identité ne se trouve pas dans les tranchées, ni dans les constitutions, ni dans les discours des politiciens. Elle se trouve dans le regard qu’on porte sur le monde. Dans notre capacité à renoncer à la possession pour choisir la paix. Dans notre faculté à dire : « Je ne me
battrai pas pour un territoire. Je me battrai pour vivre. »
Et s’il faut résumer ce combat, ce n’est pas un combat contre un ennemi extérieur. C’est un combat contre l’attachement, contre l’illusion. C’est la bataille intérieure pour retrouver la vraie identité. Celle qui n’a pas besoin de visa. Celle qui ne dépend pas d’un sol. Celle qui n’exige ni guerre, ni sacrifice.
Alors, que reste-t-il du patriotisme ? Une fierté mal placée. Des guerres perdues. Un territoire qui, demain, sera peut-être géré par un autre. Et vous, vous battiez pour ça ? Pour finir dans une Europe sans frontières, où même l’Alsace-Lorraine n’a plus de signification géopolitique ?
Le seul héritage que les guerres laissent derrière elles, c’est le pain – parfois même à la farine de riz – et la Vache qui Rit.
C’est ça, votre victoire ?
Il arrive un moment où l’on cesse de courir après des définitions imposées par d’autres. On arrête de s’agripper à des cases, à des récits figés, à des appartenances dictées dès la naissance. À mesure qu’on avance, que l’on découvre, que l’on respire ailleurs, quelque chose se détache doucement : une mue invisible, un relâchement des attaches mentales. Ce qui paraissait fondamental hier devient presque risible aujourd’hui. Ce que l’on défendait avec ferveur se dissout dans le recul, dans la prise de hauteur, dans le vécu.
Les constructions mentales sont des forteresses de sable. Elles tiennent debout tant qu’on ne regarde pas au-delà de l’horizon. Mais il suffit de s’éloigner, de voir ce qui se fait ailleurs, pour comprendre que ce qu’on croyait unique n’est en réalité qu’une variation parmi tant d’autres. Ce qui semblait absolu devient circonstanciel. Ce que l’on croyait immuable révèle sa fragilité. Il ne reste plus grand-chose d’objectif quand on enlève le décor, les récits, les symboles. Il reste simplement des personnes, avec leurs besoins, leurs douleurs, leurs joies. Des individus traversés par des histoires, mais pas prisonniers de celles-ci.
On ne choisit pas toujours d’où l’on vient, mais on peut décider comment on avance. Et avancer, ce n’est pas forcément marcher en ligne droite. C’est parfois s’éloigner. C’est parfois même renoncer à tout bagage. Certains diront que c’est fuir. Mais il faut du courage pour tout lâcher. Il faut de la lucidité pour reconnaître que certaines attaches ne font que limiter. Il faut une forme de sagesse pour refuser les combats qui ne sont pas les siens. Il ne s’agit pas de renier, mais d’ouvrir. De cesser de jouer un rôle qu’on n’a pas choisi.
Ceux qui ont eu la chance de poser leurs yeux ailleurs, de se perdre dans des paysages inconnus, de partager un repas avec des personnes qui n’ont ni les mêmes habitudes ni les mêmes récits, savent que l’essentiel n’est pas là où on nous l’a toujours présenté. L’essentiel est parfois dans un sourire échangé avec un inconnu. Dans un silence partagé avec un ami lointain. Dans un coucher de soleil qui ne demande ni explication ni justification.
Les histoires officielles, les mythes enseignés, les grands récits de supériorité ou de grandeur… tout cela s’écroule face à la tendresse d’un regard, à la simplicité d’un geste, à la beauté brute d’un lieu où l’on se sent en paix sans qu’on puisse expliquer pourquoi. Il n’y a pas besoin de grandes idées pour ressentir qu’on est à sa place. Il n’y a pas besoin de légitimité pour se sentir libre. Parfois, il suffit d’être présent, ici, maintenant, sans justification.
On peut traverser les années en se conformant, ou bien on peut choisir de vivre sans modèle. On peut choisir de créer sa propre trajectoire, d’inventer ses propres codes. Ceux-là ne seront jamais reconnus par les gardiens des récits officiels, mais ils auront une autre forme de justesse : celle de l’alignement. Non pas avec une origine, mais avec soi-même. Non pas avec une logique extérieure, mais avec une cohérence intime.
Tout ce qui est figé finit par se fissurer. Tout ce qui repose sur l’exclusion finit par isoler. À force de vouloir se différencier, on perd de vue ce qui nous relie. Et ce qui relie, justement, ne se revendique pas : cela se vit. Cela se cultive dans la rencontre, dans l’écoute, dans la lente compréhension que, malgré toutes les différences visibles, nous sommes traversés par les mêmes émotions, les mêmes peurs, les mêmes espoirs.
Il est peut-être temps de ne plus chercher à s’accrocher à un enclos mental. De ne plus défendre des idées qui reposent sur des séparations. De ne plus croire que notre valeur repose sur un passé transmis, mais sur ce que l’on construit chaque jour. Il est possible de vivre autrement. D’habiter le monde sans besoin d’en fermer l’accès aux autres. D’exister sans revendiquer. D’être, tout simplement.
Et c’est peut-être là, dans ce refus des cadres étroits, que se trouve la forme la plus profonde de liberté.
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