Pays pour vivre, Où vivre à 70 ans pour profiter de sa retraite : le guide sans filtre
Arrivé à 70 ans, on ne fait plus de plans sur 30 ans. On n’a plus le temps ni l’envie de faire semblant. Ce n’est pas le moment des compromis, c’est le sprint final. Il reste peut-être dix, quinze, vingt ans de vie à vivre — et autant les vivre là où ça a du sens, là où on peut respirer, là où on peut encore espérer un peu de paix, de douceur, voire même un soupçon de plaisir.
Pour beaucoup, la question devient simple mais brutale : dans quel pays pour vivre ma fin de vie ? Rester en France, avec sa grisaille, ses impôts, son hôpital à deux mois d’attente et ses vieux qu’on cache comme une honte ? Ou tout plaquer pour s’exiler sous les tropiques, là où la mer est chaude, les sourires sont faciles, et les coûts de la vie ridiculement bas ?
Ce texte est un tour d’horizon sans langue de bois, à destination des seniors désillusionnés, mais pas encore résignés. Ceux qui cherchent des meilleurs pays pour sexpatrier, non pas pour travailler ou faire carrière, mais pour mourir dignement, avec un cocktail à la main et les pieds dans le sable.
Pays pour vivre, La retraite sous les tropiques : fantasme ou réalité ?
Le mythe de l’Asie pas chère
Thaïlande, Bali, Vietnam. Des noms qui font rêver, surtout quand on en a marre de la France. Le climat, la mer, les prix doux, la douceur de vivre… L’Asie du Sud-Est est souvent perçue comme le dernier eldorado des vieux fatigués. Mais la réalité est plus contrastée.
Si tu crois qu’avec 1 500 € par mois tu vas vivre comme un roi dans une villa avec piscine à deux pas de la mer, redescends. Les coins sympas, ceux où il y a des infrastructures, des hôpitaux dignes de ce nom, de la sécurité, de l’électricité qui marche, ben… ça coûte cher. Et si tu veux la mer en plus, prépare-toi à faire des compromis.
Tu veux vivre au bord de la mer à Bali ? Bon courage avec 1 500 €. Tu seras soit trop loin de tout, soit dans un bled moisi sans trottoirs, sans hôpital, sans femme potable, sans vie sociale. Et le jour où tu te casses le col du fémur, ce sera la roulette russe pour arriver vivant aux urgences.
La fin de vie, c’est moche
Faut arrêter de se mentir. La vieillesse, c’est pas Instagram. C’est pas des couchers de soleil et des jus detox. C’est des chutes, des os fragiles, des médocs, des pertes de mémoire, des douleurs au réveil et des rendez-vous à l’hôpital. Tu veux vivre en Asie ? Très bien. Mais pense comme un vieux. Et un vieux, ça pense hôpital d’abord, pas villa avec piscine.
Tu peux pas juste dire « je veux la mer ». Tu dois penser : « si je fais un AVC, je suis à combien de minutes d’un hôpital décent ? » Parce que la différence entre mourir dignement et mourir comme un chien dans un village pourri, c’est une ambulance à l’heure.
Le rêve balinais : doux ou dangereux ?
Sanur, la maison de retraite géante
Tu veux du calme, des vieux, du plat, de l’accessible, des cliniques privées ? Va à Sanur, Bali. Là, t’as tout. Pas de musique à fond, pas de jeunes bourrés sur des scooters, pas de meufs à moitié à poil sur la plage. Juste des vieux, des vieilles, des fauteuils roulants, des trottoirs presque plats, et un hôpital à 10 minutes.
C’est pas sexy, mais c’est vivable.
T’auras pas ta villa à 300 mètres de la mer, sauf si tu claques 3000 € par mois. Mais tu peux trouver à 5-10 km, un peu plus loin, dans des quartiers calmes. Tu perdras un peu en charme, tu gagneras en tranquillité et en sécurité. À toi de voir ce que tu veux sacrifier : le confort ou le glamour.
La bouffe à Bali : attention danger
Tu veux manger sain ? Prépare-toi. Manger local, c’est dire adieu à tes reins. Tout est frit, plein de sucre, bourré de glutamate. Si tu veux éviter le diabète en six mois, faudra cuisiner toi-même ou aller dans des restos « occidentaux » healthy, végan, bio, etc. Et ça, c’est pas donné.
Sinon tu vas finir avec une jambe en moins, des seringues à l’insuline, et une infirmière thaïlandaise qui te pique le portefeuille pendant que tu dors.
Ubud, dans l’intérieur de Bali, c’est le spot pour manger sain. Beaucoup de restos végans, cuisine crue, nourriture occidentale pseudo spirituelle. Si tu peux vivre sans la mer, c’est un bon compromis. Mais si la mer est non négociable, oublie.
La Thaïlande : vaste, tentante, piégeuse
Où aller en Thaïlande à 70 ans ?
La Thaïlande est énorme. Des centaines d’îles, des villes avec hôpitaux internationaux, des coins paumés, des paradis touristiques, des zones pour retraités. Le choix est large.
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Koh Samui : très prisé des retraités français. Hôpitaux présents, infrastructures au point, mais prix élevés.
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Koh Phangan : plus jeune, plus alternatif. Moins d’infrastructures médicales.
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Phuket : super hôpitaux, beaucoup de vieux expats. Mais cher, parfois trop.
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Chiang Mai : pas de mer, mais très bien pour vivre pas cher, manger sain et recevoir de bons soins.
Mais oublie les scooters. À 70 ans, t’es pas censé conduire un deux-roues sur une route où les locaux roulent comme des dingues. Et marcher 5 km sous 35 degrés pour voir la mer, ça va vite te passer. Faut une voiture, ou alors vivre à 300 m de tout.
Et là encore, faut payer. Ou faire des compromis.
L’amour en Asie à 70 ans : rêve ou arnaque ?
Tu veux une femme ? Pose-toi les bonnes questions
Tu veux une femme gentille, affectueuse, dans la cinquantaine ? Pourquoi ? T’es vieux, t’as un corps de vieux. Ce n’est pas ton physique qui attire, c’est ton argent et ta peau blanche.
Alors quitte à être un portefeuille ambulant, prends-en une de 30 ans. Au moins, elle est fraîche, jolie, elle te fait rigoler, t’emmène à la plage. Une femme de 50 ans, en Asie, c’est déjà presque ménopausée, déjà bien marquée. Tu veux une mère ou une compagne ?
Et ne te fais pas d’illusions. Elles ne t’aiment pas. Elles t’utilisent. Comme toi, tu les utilises pour ne pas mourir seul. C’est un deal. Et c’est correct. Mais sois lucide. Parce qu’à la fin, tu vas pleurer, te faire plumer, te faire virer comme un malpropre.
Ne te marie pas. Jamais.
Mariage ? Tu veux signer ton arrêt de mort financier ? Ne te marie jamais. Ni avec une Occidentale, ni avec une Thaï, ni avec qui que ce soit. Tu veux une compagne ? Ok. Tu veux partager ta vie ? Ok. Mais le jour où tu signes un papier, c’est le début de ta chute.
C’est simple : tous ceux qui se marient finissent ruinés. Ceux qui ne sont pas encore ruinés sont juste en attente. Tu veux te faire tondre jusqu’au dernier euro ? Tu veux que ta « gentille » épouse thaïlandaise te vire de ta propre maison ? Continue, tu vas voir.
Être vieux, seul, et naïf : la combinaison mortelle
Tu racontes que t’as une copine de 75 ans. Que tu l’aimes pas. Mais que tu restes avec. Que tu culpabilises. Que tu veux être gentil. T’as pitié d’elle. Mec, réveille-toi. T’es pas à l’orphelinat. T’as plus le temps pour ces conneries.
À 70 ans, tu choisis pas ta fin de vie avec des « peut-être ». Tu choisis pas d’être gentil avec une femme que tu supportes pas. Tu fais pas de la charité. T’es pas l’abbé Pierre. Si tu veux une vie douce, paisible, plaisante, commence par virer tout ce qui te pourrit la vie.
T’es libre. Célibataire. T’as encore un peu de sous. T’as la santé. Et tu veux t’enfermer dans un enfer à deux ? Pourquoi ? Par peur d’être seul ? Tu l’es déjà.
Conclusion : choisir un pays pour vivre, vraiment vivre
À 70 ans, t’as plus rien à prouver. T’as bossé, t’as souffert, t’as eu des emmerdes. Maintenant, t’as le droit au repos, au soleil, à la mer, à un peu de douceur. Mais faut être lucide, froid, presque cynique. Car les pièges sont partout : arnaques sentimentales, illusions tropicales, fantasmes de jeunesse tardive.
Le bon pays pour vivre, c’est celui où tu peux respirer sans crainte. Celui où t’as un hôpital à proximité, une chambre calme, une assiette saine, et une personne (ou personne du tout) qui ne vient pas bouffer ton énergie. Le bon pays pour vivre, c’est celui où tu meurs avec dignité.
Des meilleurs pays pour s’expatrier existent, mais encore faut-il ouvrir les yeux. Les meilleurs pays pour sexpatrier en 2025 ne sont pas ceux où tu vivras comme un prince avec 800 € par mois. Faut viser juste, pas rêver. Faut choisir un pays pour vivre, pas pour mourir dans la misère.
Alors, sois stratégique. Reste libre. Ose choisir, mais choisis bien. Parce qu’à 70 ans, on n’a pas droit à l’erreur. On n’a plus dix ans pour rattraper un mauvais choix. C’est maintenant ou jamais.
Vivre mieux quand tout semble derrière soi
À cet âge, ce n’est plus la course à la réussite, aux diplômes, aux promotions. Les enfants sont adultes, les factures ne font plus peur, les obligations sociales s’effacent. Ce qui reste, c’est l’essentiel : le confort, la santé, un peu de paix, et si possible, quelques plaisirs.
Mais malgré cette liberté retrouvée, nombreux sont ceux qui se retrouvent à ruminer. Le quotidien devient prévisible. Les jours se ressemblent. Les corps fatiguent, les visages se creusent, et l’entourage commence à partir un à un. Alors l’envie d’ailleurs germe. Une dernière aventure. Pas pour se trouver, on s’est déjà trouvé. Pas pour se réinventer, c’est trop tard. Juste pour vivre autrement.
Changer de décor devient une nécessité, presque une urgence. Ne plus voir les rues froides, les têtes tristes, les files d’attente chez le médecin. Ne plus avoir à subir les discussions politiques stériles, les hivers humides, les regards méprisants sur les cheveux gris et les mains tremblantes. À quoi bon finir sa route là où plus personne ne vous regarde ?
Changer d’air devient une forme de survie.
Des illusions à déconstruire
Mais partir ne veut pas dire fuir. Il ne s’agit pas de croire que l’herbe est plus verte ailleurs. Il s’agit de comprendre ce qu’on cherche réellement. Ce n’est pas forcément le soleil, les plages ou les palmiers. C’est souvent bien plus profond. Un besoin de respect, de reconnaissance, d’humanité.
Beaucoup s’imaginent qu’en changeant de continent, ils retrouveront une jeunesse perdue. Grave erreur. Aucun billet d’avion ne remplace le temps. Aucun cocktail ne gomme les douleurs articulaires. Aucun sourire local ne soigne une solitude enracinée.
Il faut donc être clair : le déplacement géographique n’efface pas les blessures émotionnelles. Il faut partir en sachant pourquoi. Parce qu’on a choisi une autre vie. Pas parce qu’on fuit l’ancienne.
L’ombre du passé ne disparaît pas avec le climat
La retraite ne rime pas automatiquement avec sérénité. Pour certains, c’est l’heure du bilan. Et parfois, il fait mal. Un mariage raté, des enfants éloignés, une carrière frustrante, des choix de vie regrettables. Le silence des jours vides laisse place à ces souvenirs qui tournent en boucle.
Changer de pays, c’est parfois un pansement sur une hémorragie intérieure. Une tentative de réinitialiser un cycle. Mais quand on pose ses valises à des milliers de kilomètres, les fantômes viennent souvent avec. Ils prennent la forme d’une nostalgie soudaine, d’un coup de blues, d’une mélancolie qui surgit un soir de pluie tropicale.
Le vrai travail, c’est intérieur. Trouver la paix, ça se passe dans la tête. Le lieu peut aider. Mais il ne fait pas tout.
La réalité quotidienne d’une nouvelle vie
Installer une nouvelle routine loin de ses repères n’est pas toujours simple. Il faut apprendre une autre langue, comprendre une culture, tolérer ce qu’on n’aime pas, se plier à d’autres règles. L’exotisme, une fois l’euphorie passée, devient un quotidien. Il faut gérer les papiers, l’administration locale, les visas, les problèmes de santé. Il faut aussi savoir que dans beaucoup d’endroits, être étranger, c’est être toléré, pas forcément intégré.
On peut rester isolé, même au paradis. Surtout si on ne parle pas un mot de la langue du coin. Surtout si on refuse de sortir de sa bulle. Alors certains finissent par fréquenter uniquement d’autres expatriés, recréant une mini-France à l’autre bout du monde. Mais à quoi bon être parti si c’est pour revivre la même chose en plus chaud ?
Le piège du confort émotionnel
Beaucoup tombent dans le piège de la facilité relationnelle. Les femmes locales sont souvent décrites comme plus attentionnées, plus douces, plus affectueuses. Mais c’est souvent une illusion romantique portée par un déséquilibre économique. L’un donne de l’argent, l’autre donne de la compagnie. Tant que chacun y trouve son compte, pourquoi pas. Mais gare à ceux qui confondent affection et dépendance financière.
Certains hommes âgés finissent manipulés, utilisés, puis jetés dès que l’argent diminue ou qu’un autre arrive avec une pension plus intéressante. Ce n’est pas de l’amour, c’est du commerce affectif. Et si ça convient à certains, tant mieux. Mais ceux qui y mettent du cœur en ressortent souvent brisés.
Il faut garder la tête froide. Être lucide. Savoir poser des limites. Ne pas tout donner trop vite. Ne pas croire qu’on peut racheter l’amour avec un loyer et une moto.
Se réapproprier sa liberté
La vieillesse, c’est aussi l’occasion de devenir pleinement soi-même. Fini les attentes sociales. Fini le regard des autres. Fini les rôles imposés. On peut enfin vivre comme on l’entend. Habillé comme on veut. Levé à n’importe quelle heure. Lire ce qu’on aime. Manger quand on a faim. Rire de ce qui nous fait rire. Et ça, c’est précieux.
Ceux qui réussissent leur transition vers une vie plus libre sont ceux qui ont compris que ce n’est pas le pays qui change l’homme, c’est l’homme qui choisit ce qu’il fait de sa vie. Le lieu est un cadre. Pas une solution magique.
Certaines personnes partent et revivent. D’autres partent et s’écroulent. La différence, c’est l’état d’esprit.
Trouver du sens, même tard
Même à 70 ans, on peut encore se réinventer. Pas en changeant de peau, mais en changeant de regard. On peut encore créer. Enseigner. Transmettre. Rire. Apprendre. Partager. On peut encore tomber amoureux, même si ce n’est plus la passion brûlante de 20 ans. On peut encore faire du bien autour de soi.
Le dernier chapitre ne doit pas être écrit par défaut. Il peut être écrit avec intention. Avec courage. Avec audace, même. Parce que c’est quand tout semble terminé qu’on peut enfin commencer à vivre pour soi.
En finir avec les attentes irréalistes
À ceux qui rêvent d’un ailleurs parfait, il faut rappeler une chose : rien n’est parfait. Il y aura toujours des compromis. La langue. Le climat. La nourriture. Les moustiques. L’humidité. La bureaucratie. La solitude. Tout n’est pas idyllique. Et ce n’est pas grave.
L’important, c’est de savoir ce qui compte. Un lit confortable. Un peu de chaleur humaine. Une tasse de café au lever du soleil. Une balade sans stress. Un petit resto tranquille. Une routine paisible. C’est ça, le vrai luxe.
On ne cherche plus à tout conquérir. On cherche à s’apaiser. À respirer. À exister sans justification.
Derniers mots
Si tu lis ces lignes, c’est que tu te poses des questions. Tu hésites. Tu doutes. Et c’est bien. Parce qu’il vaut mieux réfléchir longtemps que regretter vite. Ce n’est pas une décision à prendre à la légère. Ce n’est pas juste un changement d’adresse. C’est un choix de vie. Un changement de rythme. Une nouvelle page à écrire avec sincérité.
Alors prends ton temps. Pèse le pour et le contre. Écoute ceux qui sont déjà partis, mais n’idéalise rien. Pars si c’est un vrai désir. Reste si c’est juste une fuite. Mais dans tous les cas, n’oublie pas une chose : ta liberté, tu l’as déjà. Elle commence là, maintenant. Pas besoin de billet d’avion pour l’attraper.
Apprendre à ne plus se mentir
Passé un certain âge, il devient vital de faire tomber les masques. On n’a plus le temps pour les faux-semblants. Il ne s’agit plus de plaire à tout prix, mais de vivre en accord avec soi. Pourtant, nombreux sont ceux qui continuent à se raconter des histoires. Ils s’imaginent qu’ils vont tout recommencer, séduire comme à 30 ans, construire une nouvelle vie sans effort, oublier les blessures du passé comme si de rien n’était.
Mais il n’y a pas de miracle. Le corps parle. Le cœur aussi. Et le passé finit toujours par refaire surface. Ce n’est pas un billet d’avion, une nouvelle compagne ou une maison avec vue sur la mer qui changera ça. Ce qu’il faut, c’est une lucidité brutale. Admettre ce qu’on est devenu. Ce qu’on a perdu. Ce qu’on ne pourra plus retrouver. Et à partir de là, construire quelque chose de vrai.
Pas spectaculaire. Pas idéalisé. Juste vrai.
La fin d’un monde, pas la fin du monde
Souvent, les gens pensent que vieillir, c’est mourir à petit feu. Que c’est une succession de pertes : de mobilité, de mémoire, de plaisir, de liens. Mais c’est aussi la fin des injonctions. On ne court plus après la reconnaissance, on ne se débat plus pour prouver quoi que ce soit. On peut enfin laisser tomber les armures, les rôles sociaux, les obligations vides de sens.
Certains découvrent pour la première fois ce que signifie vraiment « avoir le temps ». Le temps de lire un livre sans être dérangé. De regarder les oiseaux sans se sentir coupable. De manger lentement, de dormir tard, de marcher sans but. Le monde extérieur continue de s’agiter, de courir vers l’ambition, la compétition, le rendement. Mais toi, tu n’as plus à suivre ce rythme.
Et c’est là que tu peux, enfin, goûter à un autre genre de liberté.
Se délester pour avancer plus léger
Partir, c’est aussi une occasion de se libérer. De tout. Des objets accumulés au fil des décennies. Des meubles inutiles. Des papiers qui ne servent plus à rien. Des souvenirs enfermés dans des cartons. Des photos d’un autre temps. Des livres jamais relus. Des vêtements qu’on ne portera plus.
Se délester, c’est un acte de lucidité. Une manière de dire : je ne suis plus tout ça. Je ne suis pas ce que j’ai possédé. Je ne suis pas ce que j’ai gardé. Je suis ce que je deviens. Et ce que je deviens n’a plus besoin d’autant de poids.
Il faut voyager léger. Matériellement, mais aussi intérieurement. Faire la paix avec les erreurs. Pardonner ce qui peut l’être. Accepter ce qui ne changera plus. C’est là que commence une autre forme de bonheur : plus simple, plus dépouillée, mais beaucoup plus profonde.
Une invitation à la lucidité
Ceux qui réussissent vraiment leur dernière étape ne sont pas ceux qui ont le plus d’argent, ni ceux qui vivent dans les endroits les plus exotiques. Ce sont ceux qui ont compris que le confort ne vient pas seulement de ce qui nous entoure, mais de ce qu’on accepte à l’intérieur.
Vieillir, ce n’est pas une punition. C’est une transformation. Un dépouillement. Une métamorphose. C’est l’occasion d’apprendre à être seul sans être isolé, à être lent sans être inutile, à être fragile sans être brisé.
C’est un exercice d’humilité. Mais aussi de courage. Et si on l’aborde avec honnêteté, c’est peut-être la période la plus vraie de toute une vie.
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Année : 2024
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