
21 Commandements pour Exceller en Tant qu’Esclave Salarié de Bureau
Il existe des êtres humains qui, en toute conscience, choisissent de rester esclave salarié. Non pas par contrainte économique, ni même par ignorance. Non. Ils embrassent cette position avec fierté, docilité et même ambition. Ce ne sont pas ceux qui se rebellent, ni ceux qui fuient. Ce sont ceux qui veulent rester à leur place, attachés à leur bureau comme un chien à sa niche. Et pour ceux-là, voici les 21 commandements pour devenir la meilleure version possible de cet être docile : l’esclave salarié de bureau.
1. Servir ton maître avec zèle
Ton supérieur, ton chef, ton manager, ton petit chefaillon… peu importe comment tu l’appelles, il est ton dieu vivant dans le monde clos du bureau. Ses désirs sont des ordres, ses lubies deviennent des projets, et ses silences des jugements. Tu veux progresser ? Commence par faire du lèche. Pas de la flatterie subtile, non. Du vrai lèche bien gras. Incline-toi. Adopte la posture du soumis. Regarde ses chaussures, ris à ses blagues. Sois ce caniche corporate que l’entreprise attend de toi.
2. Dire oui à tout
Oui, même si tu ne sais pas faire. Oui, même si tu n’as pas le temps. Oui, même si tu sais que c’est une idée pourrie. Accepte d’avance, plante-toi ensuite, excuse-toi après. C’est le protocole. Dire non, c’est signer ton arrêt de mort social. Un esclave salarié digne de ce nom sait que l’important, c’est d’obéir, pas de réussir. L’échec est pardonné, la rébellion, jamais.
3. Excuse-toi. Tout le temps. Pour tout.
Ton existence même est un désagrément. Agis en conséquence. Tu n’as pas répondu à un mail ? Excuse-toi. Tu as répondu trop vite ? Excuse-toi. Tu n’étais même pas concerné ? Excuse-toi quand même. L’important, c’est de montrer que tu es là, mais que tu ne déranges pas. Tu existes discrètement, comme une petite souris d’open space. Tu n’as pas à avoir raison. Tu dois juste t’excuser d’avoir eu tort. Systématiquement.
4. Pratiquer l’art du commérage
À la machine à café, tu n’es pas là pour boire du café. Tu es là pour tisser ta toile. Dire du mal dans le dos, créer des alliances, dénoncer sans preuve, rire de celui qui n’est pas là. Voilà la réalité de la jungle bureau. Le esclave salarié y survit non pas par la compétence, mais par l’hypocrisie bien huilée. Ce n’est pas trahir, c’est naviguer. Et il faut naviguer habilement entre les clans de cafétéria.
5. Parler dans le dos, encenser en face
Tu ne peux pas grimper dans la hiérarchie sans double discours. Tu ne réussiras jamais dans ce monde si tu n’as pas deux visages. Un pour le devant, un pour les couloirs. C’est la base du jeu. Il faut que tout le monde pense que tu es gentil, loyal, corporate. Et que dans l’ombre, tu sabotes, tu manipules, tu sèmes le doute. C’est ça, la voie du esclave salarié modèle.
6. Participer aux afterworks… de force
Tu as bossé toute la journée, tu es rincé ? On s’en fout. Si tu veux être bien vu, tu dois faire acte de présence au bar avec les collègues. Afficher ton appartenance. Rester sobre si ton chef l’est. Te saouler s’il l’est aussi. Rire, trinquer, parler boulot à 22h. L’entreprise n’est pas juste un lieu de travail. C’est une religion, un mode de vie. Tu as signé pour tout. From 9 to 9. Sans répit.
7. Dire à quel point tu es heureux, même si tu crèves à l’intérieur
Tu pleures ? C’est pour chez toi. Tu veux mourir ? Garde ça pour tes insomnies. Au bureau, tu souris. Toujours. Ton bonheur est un outil stratégique. Affiche-le. Simule-le. Crée l’illusion d’un esclave salarié épanoui, amoureux de son job, reconnaissant envers sa hiérarchie. Peu importe ce que tu ressens, ton visage doit dire : « Merci patron. »
8. Créer des stimuli d’existence
Si personne ne se souvient de toi, tu es mort. Envoie des mails pour rien. Commente des réunions où tu n’étais pas invité. Pose des questions idiotes. Crée du bruit. Fais savoir que tu es vivant. Que tu bouges. Que tu exists. Sinon, au prochain plan de licenciement, personne ne lèvera la main pour te défendre.
9. Porter le costume de la soumission
Chaque matin, tu dois te transformer en clone corporate. Cravate serrée, chaussures qui t’écrasent les orteils, costume qui t’empêche de respirer. Pas de place à l’originalité. Tu es un uniforme parmi les uniformes. Une silhouette dans l’open space. Tu dois être propre, repassé, normé. L’apparence est un pilier de la servitude volontaire.
10. Emporter du travail chez toi (ou faire semblant)
À la fin de la journée, ne pars jamais les mains vides. Prends une sacoche pleine de documents. Prétends que tu vas bosser chez toi. Chez toi, tu regarderas Netflix, mais ce n’est pas grave. L’important, c’est que ton chef pense que tu continues à te sacrifier pour la cause. Et le lendemain, montre-lui un document trafiqué, et dis-lui que tu as bossé tard. Et n’oublie pas : excuse-toi d’être arrivé en retard ce matin.
11. Ne jamais partir avant ton chef
L’heure ne compte pas. Ce qui compte, c’est que tu partes après lui. Toujours. S’il part à 21h, tu pars à 21h15. Même si tu n’as plus rien à faire. Reste là, fixe ton écran, fais semblant. Sinon, on dira que tu n’es pas motivé. Et pire : tu pourrais être perçu comme un faignant. Et dans ce monde, mieux vaut être hypocrite qu’efficace.
12. Accepter de travailler gratuitement
En tant que esclave salarié, tu n’es pas payé pour les heures, tu es payé pour ton attitude. Et ton attitude doit être celle d’un martyr volontaire. Les heures supplémentaires non rémunérées font partie du deal. Si tu demandes à être payé pour ton temps, c’est que tu ne fais pas partie de la secte. Et tu seras excommunié.
13. Rire aux discours de départ
Un collègue que tu détestais part ? Fais un éloge. Parle de ses qualités inexistantes. Dis que c’était un pilier. Qu’il va te manquer. Ce n’est pas la vérité qui compte ici. C’est la démonstration de ta loyauté à l’entreprise. L’entreprise adore les menteurs enthousiastes. Et elle méprise les honnêtes. Tu veux briller ? Deviens une lumière de fausseté.
14. Aller déjeuner avec ton chef
Même si tu le méprises. Même si tu as envie de l’étrangler avec sa cravate. Tu manges avec lui. Tu ris à ses anecdotes nulles. Tu l’écoutes parler de ses enfants comme si ça t’intéressait. Tu l’invites même. C’est l’heure du cirque, le numéro continue. Le déjeuner est une extension du bureau. Ton rôle, c’est de faire semblant. Et si tu veux survivre, tu fais semblant tout le temps.
15. Remplir tous les papiers pour avoir droit à des vacances
Des vacances ? Ce luxe ne t’est accordé qu’après avoir ramé comme un chien et supplié comme un mendiant. Remplis les formulaires. Demande l’accord du manager, du RH, du directeur si besoin. Et surtout : sois prêt à tout annuler la veille, si ton chef le demande. Tes projets ne comptent pas. Seul compte le bon fonctionnement de la machine. Tu es un rouage. Tu es interchangeable. Tu es esclave salarié.
16. Accepter l’annulation de tes vacances avec le sourire
Il suffit d’un mail : « Finalement, on a besoin de toi ». Et tout s’écroule. Tu pleures ? Bien. Mais pas trop fort. Et certainement pas devant lui. Tu acceptes. Tu comprends. Tu restes fidèle à ta fonction : être là quand on te demande. T’effacer quand on t’ignore. Une ombre servile, toujours disponible.
17. Envoyer des cartes postales de vacances
Tu es enfin en vacances ? N’oublie pas de penser à l’équipe. Envoie une carte. Dis que tout le monde te manque. Que le bureau te manque. Que tu as hâte de revenir. Même si tu sais que c’est faux. Même si tu sais qu’ils ne pensent pas à toi. C’est ça, la beauté de la mascarade. Jouer le rôle jusqu’au bout, même à 3000 kilomètres.
18. Accepter les critiques injustes lors des entretiens annuels
Tu crois que c’est une évaluation honnête ? Détrompe-toi. C’est un prétexte pour ne pas te payer ton bonus. Tu veux ton bonus ? Tu baisses la tête. Tu acceptes les remarques injustes. Tu promets de t’améliorer. Tu simules l’humilité. C’est une négociation. Une mascarade. Lesclavage au salariat deux facettes. La vérité n’a pas sa place ici.
19. Ne jamais croire ce qu’on te dit
« Dis-moi si tu n’es pas d’accord », dit ton chef ? C’est un piège. Tu dois toujours être d’accord. Toujours. L’entreprise ne cherche pas des gens honnêtes. Elle cherche des gens obéissants. Des profils qui encaissent, pas des profils qui pensent. Ce n’est pas un lieu de vérité, c’est un lieu de domination. Deux facettes dune même exploitation.
20. Ne jamais regarder YouTube au bureau
Regarder YouTube, c’est t’exposer. Montrer que tu n’as rien à faire. Montrer que tu as fini ton boulot. Et ça, c’est impardonnable. Un esclave salarié efficace est un esclave salarié discret. Même si tu passes ta journée à glander, fais semblant d’être submergé. Apprends à cliquer sur Excel quand quelqu’un passe derrière toi.
21. Ne jamais croire que tu es libre
Tu ne l’es pas. Tu ne l’as jamais été. Tu vis dans un décor de liberté, mais tout est faux. Ton badge, ta carte cantine, ton open space, ton ordinateur, ta chaise, ton fauteuil ergonomique : tout est propriété de l’entreprise. Ton temps lui appartient. Ton esprit aussi. L’esclave salarié d’aujourd’hui est un produit emballé sous cellophane, obéissant, programmable. Au salariat deux facettes dune même pièce que l’esclavage.
Conclusion
Le bureau n’est pas un lieu de travail. C’est un théâtre. Un jeu de rôle. Une grande pièce de soumission collective où chacun récite son texte avec application. Ceux qui refusent les règles sont mis à la porte. Ceux qui les acceptent deviennent des modèles. Des champions du mensonge. Des soldats du néant.
Et certains veulent vraiment y exceller. Être les meilleurs esclaves salariés possibles. Alors qu’il en soit ainsi. Qu’ils apprennent à se taire, à sourire, à servir. Qu’ils deviennent les champions de la docilité, les rois du PowerPoint, les prêtres du « oui chef ».
Ceux-là auront leur trône. Pas un trône en or. Un trône en plastique moulé, face à un écran, dans un open space. Leur royaume : 2m² de moquette grise. Leur couronne : un badge avec leur prénom mal orthographié.
Mais ils auront réussi. Dans leur monde. Dans leur cage.
Le monde de l’entreprise moderne est un écosystème étrange. À la fois ultra-rationnel et profondément absurde. C’est un univers où la logique cède sa place à la hiérarchie, où la compétence s’efface devant le conformisme, où l’individu n’a d’existence que par sa capacité à se dissoudre dans un collectif sans âme.
Ici, l’apparence prime sur le fond. Ce que tu es n’a pas d’importance. Ce que tu fais non plus. Seule compte l’image que tu projettes. Ton regard doit être brillant, ton langage calibré, ton attitude irréprochable. L’important n’est pas de comprendre, mais de répéter. Pas d’innover, mais de respecter le cadre. Les meilleures idées sont celles qui ont déjà été validées par d’autres. L’originalité est suspecte. La créativité, un luxe inutile.
Tu es jugé non pas sur ta contribution réelle, mais sur ta capacité à être perçu comme aligné. L’alignement est le nouveau Graal. Aligné avec la stratégie. Aligné avec les valeurs. Aligné avec la culture. Peu importe que tout cela soit vide de sens. Il faut jouer le jeu. Porter les codes. Répéter les slogans. Participer aux séminaires comme on participerait à une messe. Réciter le credo corporate. Sourire aux photos de groupe.
Dans cet univers, le langage est aseptisé. Il n’y a plus de problèmes, seulement des « challenges ». Plus d’échecs, seulement des « axes d’amélioration ». Le vocabulaire est lisse, vague, consensuel. Les mots sont choisis pour ne rien dire de trop. Pour ne blesser personne. Pour faire croire qu’on avance, même quand on piétine.
Ceux qui posent des questions sont mal vus. Ceux qui doutent sont exclus. Il faut afficher une confiance totale, un optimisme de façade, une adhésion sans faille. Ceux qui osent penser autrement sont vite recadrés. On leur parle de « résistance au changement ». On les envoie à des formations. On les pousse doucement vers la sortie.
Le bureau est devenu un théâtre du quotidien. On y joue une pièce éternelle, avec des rôles bien définis. Il y a le meneur de troupe, les figurants, les seconds rôles. Chacun sait ce qu’il doit dire, à quel moment. Il ne faut pas improviser. Il faut respecter le scénario. Les réunions sont des scènes de théâtre. Les comptes-rendus, des scripts. Les bilans, des récits héroïques fabriqués après coup.
Et pourtant, tout le monde le sait. Tout le monde sait que c’est une mascarade. Mais on continue. Parce que c’est plus simple. Parce que remettre en cause le système demande du courage, de l’énergie, et une capacité à supporter l’exclusion. Alors on se tait. On s’adapte. On joue son rôle, jour après jour.
Parfois, on y croit vraiment. Par nécessité. Par fatigue. Par auto-persuasion. On se dit que c’est normal. Que c’est ça, la vie d’adulte. Qu’il faut bien payer ses factures, nourrir ses enfants, rembourser ses dettes. On se convainc que cette comédie est une réalité incontournable. Qu’il n’existe pas d’alternative.
Mais au fond, quelque part, une petite voix murmure que tout cela est absurde. Que cette routine n’est pas la seule voie. Qu’il existe peut-être un ailleurs, un autrement. Un espace où l’on pourrait travailler sans se trahir, produire sans s’effacer, exister sans se contorsionner.
Ce monde-là reste invisible pour beaucoup. Inaccessible pour d’autres. Et terrifiant pour ceux qui y ont renoncé. Alors ils restent. Ils s’adaptent. Ils deviennent des rouages bien huilés. Des profils parfaits pour les fiches RH. Des silhouettes sans aspérités. Des noms dans des organigrammes.
Ils ne vivent pas. Ils fonctionnent. Ils n’espèrent plus. Ils exécutent. Ils ne rêvent pas. Ils planifient.
Et surtout, ils ne se posent plus de questions. Car poser des questions, c’est le début de la sortie. Or sortir, c’est prendre des risques. Et ici, on a appris que prendre des risques, c’est mal. Il faut rester. Bien sagement. À sa place.
Car au fond, dans ce monde précis, silencieux, réglé comme une horloge, le vrai scandale n’est pas la violence. C’est l’indifférence.
L’indifférence à soi. L’indifférence aux autres. L’indifférence à ce que pourrait être une existence libre, pleine, habitée.
Mais ce n’est pas grave. Il suffit de sourire. D’attendre la prochaine réunion. De remplir le prochain formulaire. De répondre au prochain e-mail avec la politesse d’usage.
Et tout continue.
Comme si de rien n’était.
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