Femme vieux, Que faire à 70 ans ? vivre à fond sans regarder en arrière

Atteindre l’âge de 70 ans, c’est franchir une étape que beaucoup redoutent. C’est l’âge où la société commence à te ranger sur l’étagère du « trop vieux pour… », où la santé se fait capricieuse, où les amis tombent comme des feuilles mortes, où l’on commence à se demander si on va finir seul ou en maison de retraite. Mais faut-il vraiment accepter cette vision morbide ? Certainement pas. À 70 ans, t’as encore assez d’années devant toi pour envoyer valser toutes les normes, vivre comme bon te semble et faire tout ce que tu n’as pas osé faire plus jeune.

Ce n’est pas une époque pour se replier, c’est le moment de tout foutre en l’air si besoin, de repartir à zéro, et surtout, de se faire plaisir sans complexe. Et si t’es célibataire, avec une retraite qui tombe tous les mois, t’es plus libre que jamais. Même avec des soucis de santé, y a de quoi se construire une dernière vie digne de ce nom, surtout si on a l’honnêteté de regarder les choses en face : c’est probablement le dernier sprint.

Voici ce que tu peux faire pour ne pas rater ce qui pourrait être le chapitre le plus libre – et le plus jouissif – de ton existence.

Femme vieux : Quitter la France pour de bon

Commençons par un truc simple mais radical : barre-toi de France. Ce pays n’est plus un terrain de jeu intéressant quand t’as 70 ans. Coût de la vie élevé, climat morose, mentalité de plus en plus aigrie, solitude rampante. Tu ne dois plus rien à personne. T’as bossé toute ta vie, cotisé, suivi les règles, alors maintenant, t’as le droit de penser uniquement à ta gueule. Et pour ça, l’Asie du Sud-Est est un eldorado.

Que tu choisisses Bali, la Thaïlande, le Vietnam ou les Philippines, tu vas tomber sur un environnement beaucoup plus doux, plus humain, et surtout moins toxique que l’Europe. Tu vis avec ta retraite comme un roi. Tu manges bien, tu vis bien, tu dors bien. Et tu fais ce que tu veux de tes journées sans subir les plaintes collectives ou les regards de travers dès que tu oses sourire à une femme.

Tu es un homme blanc, tu as une retraite, donc de l’argent qui tombe tous les mois. Dans ces régions du monde, ça vaut de l’or. Tu n’es pas vu comme un poids pour la société, tu es un invité. Et en bonus : la chaleur humaine. Fini les jugements, les rapports de force ridicules, les discussions stériles. Tu redécouvres ce que c’est d’avoir des relations simples, humaines, sincères, même si elles ne sont pas éternelles.

Profiter des femmes sans hypocrisie

Tu es célibataire ? Parfait. Tu as enfin la paix. Si tu mentionnes que tu es seul à 70 ans, c’est que t’as déjà eu ton lot de désillusions, probablement dans un pays où les rapports hommes-femmes sont devenus aussi compliqués qu’une guerre froide. T’as subi les féministes, les « indépendantes », les « tu me dois tout mais je ne te dois rien ». Oublie.

En Asie du Sud-Est, l’équation est simple : homme blanc + argent = femme gentille, jolie, attentive. Est-ce cynique ? Peut-être. Mais c’est vrai. Et si ça peut te rendre heureux, où est le problème ?

Pas besoin de chercher une gamine de 25 ans non plus. Tu as 70 ans, reste un peu lucide. Mais des femmes de 35-40 ans, magnifiques, disponibles, avec encore une vraie tendresse à offrir, ça se trouve très facilement là-bas. Tu peux vivre une relation sincère, sans prise de tête, sans besoin de mentir ou de jouer un rôle.

Petit conseil : ne parle jamais de ton patrimoine. Ne lui dis pas ce que tu possèdes. Dis-lui seulement que ta retraite tombe tant que tu es vivant. Résultat ? Elle a tout intérêt à te garder en vie. Et toi, tu profites sans paranoïa.

Et si ton sexe fonctionne encore, ne perds pas une seconde. Sers-toi. La vie, c’est maintenant. Ce n’est pas le moment de finir en vieux frustré. Tu as encore des besoins, des envies ? Assouvis-les. Tu ne dois rien à personne. Claque tout. Ne laisse rien au fisc. Meurs à zéro.

Prendre soin de sa santé… mais sans devenir parano

Tu es malade ? T’as eu un cancer ? T’as du diabète ? Peut-être. Et alors ? Ta grand-mère a eu un cancer à 80 ans et elle a vécu jusqu’à 100. Ce n’est pas une condamnation. Ce n’est pas une excuse pour baisser les bras. T’es peut-être même en meilleure forme que certains jeunes de 30 ans qui passent leur vie sur leur canapé à bouffer des chips et à se plaindre.

Cela dit, un minimum de bon sens est nécessaire. Prends une bonne assurance santé internationale. Pas besoin d’être radin là-dessus. Vérifie les offres, regarde ce que propose la CFE si tu es Français de l’étranger. Certaines assurances coûtent un bras, surtout si tu as déjà un passif médical, mais il y en a des correctes. Et si vraiment, tu ne peux pas assurer, installe-toi près d’un bon hôpital, comme à Bangkok, Chiang Mai ou Bali.

Et si un jour ça va vraiment mal, rien ne t’empêche de rentrer en France pour te faire soigner. Tu y as droit. Point. Pas besoin de te justifier. La honte, c’est de rester en France toute ta vie à subir. Pas de revenir pour te faire soigner après t’être offert quelques années de vraie liberté.

Préparer sa fin de vie sans tabou

Tu es dans la dernière ligne droite. T’as peut-être 5 ans, 10 ans, 15 ans devant toi. Et si t’as de la « malchance », tu vivras encore 20 ans. Ce n’est pas une raison pour attendre la fin comme un condamné.

Commence par purifier ton karma. T’as fait des conneries ? T’as blessé des gens ? C’est le moment d’appeler, d’écrire, de te réconcilier. Non pas pour eux, mais pour toi. Parce que dans certaines traditions, ce que tu fais à la fin de ta vie conditionne ta prochaine incarnation. Et crois-moi, tu préfères revenir en chat ou en moine bouddhiste qu’en féministe frustrée.

Va faire un tour à Ubud, au Yoga Barn. Pratique le yoga nidra, la méditation tibétaine, l’accès aux vies antérieures. Peut-être que tu découvriras des choses que tu avais oubliées, ou que tu toucheras enfin un vrai apaisement intérieur. C’est un délire pour certains, une vérité pour d’autres. Dans tous les cas, ça ne peut pas faire de mal.

Et surtout, fais un bilan patrimonial. Tu regardes ce que tu as, ce que tu reçois tous les mois, ce que tu peux claquer. Tu vas sur un simulateur de retraite comme le « calculateur rentier » en ligne, et tu vois combien tu peux dépenser chaque mois jusqu’à la fin. Ensuite, tu répartis ton fric comme un général en guerre : assurance santé, logement, bouffe, plaisirs, femmes, voyages. Rien pour l’État, rien pour des héritiers qui ne t’ont jamais appelé.

Faire le bilan, sans regrets

Il faut être honnête : à 70 ans, tu peux encore tout reprendre en main. Tu n’as plus de compte à rendre à personne. La seule chose à craindre, c’est de mourir frustré. Alors qu’il est encore temps de vivre. Ne cherche plus à optimiser ta fiscalité. Oublie les investissements, les business en ligne, les plans à long terme. Tout ça, c’est fini.

Maintenant, c’est vivre au jour le jour, avec intensité, lucidité, et surtout sans faux-semblants. Profite des femmes sans honte. Vis dans un endroit où ton argent te permet de vivre comme un roi. Joue au padel. Mange des pizzas incroyables. Découvre les meilleurs cafés. Fais-toi masser. Achète cette brassière femme vieux rose clair à ta compagne si ça lui fait plaisir. Et pourquoi pas un beige ensemble sous vêtement ou un ensemble sous vêtement blanc, si tu veux lui offrir quelque chose de beau, simple et sensuel.

Et si un jour tu décides de revenir à la case départ, peut-être pour te faire soigner ou pour finir tes jours dans ton pays natal, fais-le sans honte. Tu auras vécu plus libre que 90 % des gens autour de toi. Et c’est ça, l’essentiel.

Pour conclure : vivre comme un roi dans ses dernières années

La société veut que tu te taises, que tu t’effaces. À 70 ans, elle ne t’écoute plus. Elle t’enterre déjà psychologiquement. Mais toi, tu peux choisir une autre voie : celle du plaisir, de la

liberté, du culot, de la vérité.

C’est le moment de te faire plaisir, de kiffer, de réparer ce qui peut l’être, et de claquer tout ce que t’as. Parce que tu ne partiras pas avec. Parce que mourir riche, c’est juste mourir con.

Et si tu as une fille ou une petite-fille, tu peux même lui transmettre le goût de la liberté avec pour fille les prénoms anciens, une petite touche de tradition dans un monde qui a perdu la mémoire. Parce qu’en fin de compte, tout ce que tu laisses, ce sont des souvenirs. Alors autant que ce soient des souvenirs de feu.

Mot de la fin : Vieillir, c’est inévitable. Devenir inutile, non. Mourir frustré, encore moins. Alors à 70 ans, vis à fond. Bouffe la vie. Baise. Ris. Médite. Purifie-toi. Et surtout, ne regrette rien.