rester en france ? Retrouve ta liberté !!
Stratégie
liberté
rester en france ? Retrouve ta liberté !!
Faut-il partir pour s'enrichir ? ou bien rester en france ?
Faut-il foutre le camp de France pour devenir riche ? Pourquoi faut-il partir pour s’enrichir ? Voilà ce qu’il faut se demander sérieusement, parce qu’en restant passif, en croyant que tout est figé, on se condamne. Cet article va vous exploser les idées : taxes, opportunités, cerveau, liberté. Et je ne vais pas servir de gants. À chaque phrase, à chaque point, on va voir pourquoi parfois, oui, il vaut mieux partir, même si ça bouscule, même si ça fait peur.
Taxes, impôts, prélèvements : le piège monumental
Première raison : la fiscalité de ce pays est une saloperie quand tu veux faire de l’argent. Le taux d’imposition, les charges sociales, les ponctions, ça te bouffe la gueule. Si tu gagnes beaucoup, tu restes en France ? C’est signer ton arrêt de mort économique.
Quand tu gagnes 25 000€ par mois, tu vois le bordel : en France, tu peux te faire bouffer 50 % ou plus. Ailleurs, dans certains pays, c’est 10‑15 %, parfois presque rien. Ça change tout. Sur les revenus, sur les plus‑values, sur les dividendes, sur les investissements, sur tout.
Si tu veux doubler, tripler ton capital, faire fructifier tes liquidités sans qu’on t’achève à coups de taux, impôts et autres vacheries fiscales, tu restes en France ? Tu ne peux pas compter sur la stabilité, ni sur la générosité des institutions.
Et puis il y a cette « flat taxe » à 30 % qu’on balance sur tout ce qui bouge, en France. Alors qu’ailleurs, selon l’endroit, tu peux avoir une fiscalité proche de zéro sur tes investissements. Le contraste est tellement flagrant que ça te prend la tête : par exemple, investir 100 000€ sur 25 ans à 10 % dans un pays avec taxation minimale, ça te donne presque 1 000 000€. En France, après les ponctions et taxes, t’es plus proche de la moitié.
C’est sacrifier une part énorme de ce que tu pourrais empocher. Si tu veux t’en sortir et amasser du pognon, c’est une des raisons principales pour bouger.
L’instabilité : un autre bordel
Deuxième raison : la fiscalité change tout le temps. Un jour t’as l’ISF, l’autre jour t’as une taxe sur ce que t’as dans ta cave, le jour suivant sur ce que tu joues. La règle du jeu n’est jamais la même deux ans de suite. Ce ne sont pas des ajustements normaux, ce sont des saloperies qu’ils bougent pour choper plus de thune.
Tu n’as aucune visibilité en restant spectateur. Tu ne sais jamais vraiment vers quoi tu t’engages, car demain, ils peuvent décider de taxer le streaming, les revenus en ligne, les investissements, les dividendes, tout. Tu te dis “Je vais investir”, mais quand tu vois que deux ans après ta loi change, ton planning explose. tu restes en France ? C’est accepter d’être à la merci d’un changement de gouvernement, à la merci d’une idée de ministre en mal de buzz.
Les opportunités qu’on refuse : accès restreint, marchés verrouillés
Quand tu es résident fiscal français, beaucoup de produits financiers t’échappent. Par exemple, les ETF venant des États‑Unis, ou des matières premières, ou les vrais ETF or : tout ça, interdit ou bloqué. Parce que la régulation française / européenne impose des barrières.
Si tu veux accéder à des instruments bon marché, efficaces, performants, tu dois sortir du carcan. Sinon tu payes des commissions énormes, tu as des frais surdimensionnés, ou bien simplement tu ne peux pas investir dans ce que tu veux.
Le mirage de “restez tranquille” ne fonctionne pas pour les cerveaux qui veulent créer du capital, faire tourner un business. Se limiter aux produits autorisés ici, c’est limiter sa croissance. Alors tu te demandes souvent : tu restes en France ? Oui mais à quel prix ? Des gains amputés, des opportunités ratées.
Le coût de la vie, la pression sociale, le confort fictif
Ensuite il y a ce coût de la vie qui t’écrase sans que tu ne réalises. Logement, nourriture, transports, éducation, santé, assurances : tout est cher, souvent cher pour la médiocrité que tu reçois.
Tu restes dans un endroit où tu gagnes moins, où tout coûte cher, où l’État te file des services bureaucratiques avec retard, inefficacité, règles absurdes. Et tu crois que c’est “sécurité”, “confort”. Mais à quel point cela vaut‑il de t’affaiblir financièrement, mentalement ?
Si tu veux gravir les échelons, te dépasser, être libre d’investir, de prendre des risques, parfois il faut tolérer l’inconfort de partir, de bouger, de prendre le large. Tout ça parce que rester en France ? C’est choisir un compromis de merde que beaucoup font sans oser en sortir.
L’effet boule de neige des investissements réguliers
Si tu investis régulièrement, chaque année, et tu peux réinvestir tes gains, dans un pays avec peu de taxes, le capital monte exponentiellement. Le pouvoir de l’effet composé, quand rien ne te pompe plus qu’il ne faut.
Par exemple, si tu as des excès de liquidité de 100 000€ par an, et que tu les investis dans des ETF mondiaux ou des marchés efficaces, la différence en vingt‑cinq ans est folle. Et si tu restes en France, avec 30 % ou plus de taxes, avec des frais plus élevés sur les versions régulées, ça arrête ton ascension.
Donc si tu veux vraiment t’enrichir, ne pas attendre d’avoir 80 ans pour profiter, tu dois te poser la question : tu restes en France ? Est‑ce que ça vaut le sacrifice ou est‑ce que ça te retient ?
Éducation mentale, ouverture, environnement
Rester dans ton pays toute ta vie, dans ton microcosme, ça te formate. Tu entends toujours les mêmes discours : l’argent c’est sale, gagner beaucoup c’est prétentieux, l’entrepreneuriat ça dérange. Tout ce qui dépasse dérange.
Or, quand t’es ailleurs, quand t’es exposé à d’autres cultures, d’autres visions, d’autres manières de faire de l’argent, ça casse les schémas mentaux. Tu te rends compte que “ceux qui réussissent” ne sont pas des sales génies, ce sont souvent des gens qui osent aller voir ailleurs, qui osent prendre le risque, qui osent penser différent.
Quand tu évolues avec des nomades digitaux, avec des entrepreneurs, avec des gens qui ne jugent pas leur vie selon l’endroit où ils habitent mais selon ce qu’ils font, tu apprends, tu grandis. Et tu restes en France ? C’est parfois refuser ce chemin, parfois vouloir rester dans ses chaines par peur du vide.
La mobilité : votre arme secrète
Être mobile, prêt à bouger, à changer de pays en fonction des opportunités, c’est un atout énorme. Si tu restes attaché à un appartement, une famille, une routine, à une zone géographique – tu limites ta capacité de choisir ce qui paye le mieux.
Quand tu es mobile, tu peux capter les marchés qui te payent plus, tu peux négocier mieux, tu peux travailler pour des clients internationaux, profiter des devises fortes. Tu n’es pas coincé par un coût local, des contraintes locales idiotes.
Tu perds sur le plan des options, tu perds sur ce que tu pourrais obtenir si tu acceptais de partir, de bouger, de te rendre disponible.
Les règles bureaucratiques, les interdictions
Il ne faut pas sous‑estimer les murs invisibles : tu restes en France ? Tu fais face à beaucoup de lois, de règlements, de contraintes, de formulaires, de cartes, de statuts. Si tu veux t’expatrier, travailler à l’étranger, utiliser des services bancaires étrangers, investir hors d’Europe, parfois ça dépend de ta nationalité, de ton statut, “si vous êtes ressortissant” de tel pays ou pas, ça détermine ce que tu peux entreprendre.
Il y a aussi des enjeux de résidence, de permis, de formalités. Tu dois savoir ce que ça implique. Par exemple, obtenir un visa de long séjour si tu veux vivre ailleurs, ou t’assurer si tu dois changer de résidence fiscale, de juridiction. Certaines personnes font le choix d’un pays, d’un canton, d’une juridiction où la carte résident permet de vivre, de travailler, de payer des impôts locaux moindres. Parfois les conditions sont dures. Parfois elles sont plus simples que tu ne le crois.
Et pour ceux qui craignent que quitter leur patrie implique perdre des droits, perdre un statut, un réseau, faut savoir que des statuts comme où la carte de résident étrangers ou d’expatriation peuvent permettre assez de sécurité, d’accès aux services, tout en profitant d’une fiscalité plus clémente.
L’image de l’argent : tabou ou moteur ?
Culturellement, en France, parler argent, gains, business, rémunération ça reste un truc un peu honteux. Comme si vouloir beaucoup d’argent c’était être corrompu, égotiste, immoral. Ce discours, il te bloque. Il t’empêche de viser haut, de négocier fort, de penser à ce qu’il pourrait être possible.
À l’étranger, souvent, l’argent est vu comme un outil, un moyen de liberté, un moyen de créer, d’innover. On ne juge pas ton ambition, on l’encourage. Tu trouves des gens qui veulent vendre, qui veulent acheter, qui veulent construire, qui veulent entreprendre, qui veulent investir, qui veulent prendre des risques. C’est constamment dans l’air.
tu restes encore en France ? Si tu acceptes que l’argent soit entouré de tabous, alors tu restes cantonné à ce que la société a prévu pour toi. Si tu bouges, si tu t’entoures, tu peux casser ça. Tu peux devenir quelqu’un qui pense en crédibilités et en chiffres, et non en excuses et en frustration.
Les exemples : ceux qui restent et ceux qui partent
Regarde autour de toi : ceux qui sont restés – souvent ils sont bons, parfois excellents, mais ils plafonnent. Leur facturation stagne, leur business recule ou peine à suivre l’inflation, les coûts, la concurrence. Ils sont coincés par les taxes, par les coûts de logement, par les charges, par les taux, par les règles.
Et ceux qui ont osé bouger ? Ils sont souvent trois pas devant. Ils trouvent les marchés plus lucratifs, les taux de change intéressants, les clients internationaux, l’absence de flicage fiscal, les coûts moins élevés pour ce qui est du logement ou de la vie quotidienne, mais surtout plus d’écart entre ce qu’ils gagnent et ce qu’ils gardent.
C’est pas toujours facile, c’est pas toujours rose non plus. Mais pour ce que ça peut rapporter, pour ce que ça peut te libérer, c’est énorme.
Le quand et le comment : pas de fuite aveugle
Bien sûr, partir ne veut pas dire sauter dans le vide. Il faut planifier. S’informer. Choisir un pays adapté à ton métier, vérifier les lois, les impôts, les statuts, les coûts. Vérifier si tu peux obtenir un permis ou un visa adapté. Se demander si tu veux rester nomade ou t’installer.
Tu as aussi les cas où partir est presque obligatoire pour protéger ce que tu construis. Si tu gagnes beaucoup, si tu investis, si tu crées de la valeur, tes revenus comptent énormément. Si tu restes en France ?, tu risques d’être éreinté, épuisé par les prélèvements, par la bureaucratie.
Mais ne pas partir non plus par peur, par attachement sentimental ou familial à l’endroit. Parce que beaucoup restent en France ? pour les proches, pour la langue, pour les habitudes. C’est compréhensible. Mais ce choix vient avec le prix à payer, souvent invisible, souvent ressenti tard.
Liberté, pouvoir, qualité de vie réelle
L’un des meilleurs gains que j’ai eus quand je suis sorti de France : la liberté. Liberté de choisir où vivre, comment investir, comment travailler, avec qui. Enlever ces boulets fiscaux, ces contrôles, ces limites.
La qualité de vie peut même s’améliorer. Quand tu ne dépenses pas 2 000€ par mois pour un appartement minuscule, ou que tu trouves un endroit où la vie coûte nettement moins cher, où tu trouves des infrastructures, du calme, une belle nature, un climat agréable, une communauté d’expatriés, de nomades, de personnes qui pensent comme toi.
Et le contraste est violent : tu restes encore en France ? C’est souvent choisir la surpopulation, le stress, la compétition féroce, les lois absurdes, les impôts débiles. Partir peut signifier : respirer, travailler bien mieux, payer bien moins, garder bien plus.
Les risques, les peurs, les doutes
Bien sûr, tout ça, ce n’est pas l’euphorie permanente. Il y a des risques : perte de lien social, éloignement, défis culturels, logistiques, administratifs. Parfois la galère pour obtenir les papiers, parfois les barres des frais bancaires, parfois le sentiment de déracinement.
Tu dois vivre avec ces peurs. Mais ce qui est fou, c’est que beaucoup d’entre eux tolèrent les impôts énormes, la bureaucratie oppressante, le stress permanent, mais ne supportent pas l’idée de l’inconnu, du saut dans le vide.
Donc si tu veux vraiment te lancer, il faut accepter un peu de pas savoir, un peu de galère, mais savoir qu’à la fin ça peut rapporter bien plus que ce que tu imagines. Et se poser la question : tu restes en France ? Est‑ce que les peurs valent les sacrifices ? Là, tu dois être honnête.
Synthèse : tous les éléments en balance
Alors, tous les éléments que j’ai passés en revue :
La fiscalité délirante en France, les impôts sur revenus, les taxes sur investissements, les charges sociales énormes.
L’instabilité des règles fiscales : ce qui est permis aujourd’hui peut être détruit demain.
L’accès restreint à des produits financiers performants, les frais énormes, les interdictions.
La culture du tabou autour de l’argent, du business, de la réussite.
Le coût de la vie, le confort faux, les contraintes quotidiennes.
L’effet multiplicateur des investissements réguliers qui s’amplifie quand tu es ailleurs.
La mobilité : opportunités mondiales, clients internationaux, capacité à bouger vers ce qui paye mieux.
La liberté de construire ta vie selon tes règles, et pas selon les règles imposées par une administration souvent bornée.
Si après avoir pesé tout ça, tu te dis “Non ça va, je préfère la sécurité, je préfère rester dans ce que je connais”, ok, mais au prix de quoi ? Et c’est là que revient la question : rester en France ? Tu acceptes de renoncer à une part énorme de ce que tu pourrais garder, de ce que tu pourrais devenir.
Tactiques, alternatives, nuances
Partir ne veut pas dire faire n’importe quoi n’importe où. Voici quelques stratégies :
Trouver un pays avec une fiscalité douce, des lois favorables aux entrepreneurs.
Vérifier les conventions fiscales pour ne pas être taxé deux fois, ou pour payer au bon endroit.
S’assurer que ton métier / business est compatible avec un déplacement : numérique, export, clients distants.
Se renseigner sur les permis, les visas, le statut de résident, les assurances, la sécurité. Ne pas arriver là en touriste dans l’illégalité.
C’est ici que les notions de si vous êtes un ressortissant de pays de l’UE, ou d’un pays avec accords, peuvent aider. Si tes papiers sont bons, tu peux bouger plus librement, moins de barrière. Et des statuts comme “visa long séjour” permettent de vivre ailleurs légalement, payer localement, travailler ou créer.
Une alternative pour certains peut être de rester dans un département ou une région française d’outre‑mer, ou de chercher des zones avec imposition avantageuse, ou des exonérations. Pour d’autres, devenir non‑résident fiscal français, mais garder des liens, des comptes, du patrimoine en France. Pour d’autres encore, double résidence, jongler entre les lieux. L’important est d’avoir le choix.
Ce qu’on gagne si on part : exemples concrets
Sur 20‑25 ans, en investissant chaque année 100 000€, dans un bon ETF mondial, dans un pays à fiscalité faible, tu peux multiplier par 10 ou plus ce que tu garderais si tu restes en France.
Les frais sur les ETF version américaine ou version étrangère peuvent être 2, 3, voire plus fois moins élevés qu’en version européenne régulée.
La qualité de vie : logement plus grand, vie plus douce, moins de stress, meilleur climat, plus d’espace, plus de nature.
Le réseau : rencontrer des entrepreneurs, des investisseurs, des personnes ambitieuses, voire venir à des hubs, travailler dans des cercles qui te poussent vers le haut.
L’autonomie : tu peux décider de vivre à Porto, à Lisbonne, au Maroc, à l’Asie du Sud‑Est, en Amérique Latine, selon ce qui te correspond, selon ce qui est rentable.
Rester en france : le coût réel
Une seule fois on va utiliser l’expression à rester en france : c’est le coût que ça représente en termes de ce que tu perds. C’est pas juste de l’argent, c’est du temps, de la tranquillité, de la liberté. C’est le fait que tu ne peux pas investir comme tu veux, que tes gains sont amputés, que ton esprit est bridée.
Quand on additionne tous les désavantages — impôts, obstacles, frais, manque d’accès, plafonnement, culture inhibitrice — on voit que ce choix de rester devient très coûteux. Si tu préfères vivre plus modeste, sans courir après le cash, sans ambition, sans projections majeures, ça peut aller. Mais si tu veux vraiment serrer fort, construire quelque chose, avoir des marges, ne pas être fauché mentalement, rester en France ? Ce n’est souvent pas la meilleure option.
Ce qu’il faut te demander maintenant
Voici les questions que tu dois te poser sincèrement :
Est‑ce que mes revenus sont déjà élevés ou sont susceptibles de le devenir rapidement ?
Est‑ce que je suis limité par la fiscalité locale là où je vis ?
Est‑ce que j’ai accès aux outils financiers que je veux (ETF, matières premières, marchés internationaux) ?
Est‑ce que le coût de la vie où je vis est surévalué par rapport aux bénéfices que j’en tire ?
Est‑ce que je peux partir, obtenir les visas, permis, statuts nécessaires ?
Est‑ce que j’ai des proches, obligations, attachements qui me retiennent ? Et à quel prix émotionnel, financier, mental ?
Est‑ce que je suis prêt à sortir de ma zone de confort, accepter des galères, apprendre une langue, m’adapter ?
Sur la base de ces réponses, tu seras mieux armé pour décider. Parce que ce choix, ce n’est pas un fantasme ; c’est un tournant de vie. Et rester ou partir, c’est un pari sur ton futur.
Conclusion : rester ou partir, mais avec les yeux ouverts
Que retenir ? Partir peut être une obligation pour beaucoup, une opportunité pour d’autres. Mais rester en France ? Ce n’est pas un défaut, c’est un choix, un choix qui coûte cher. Et ce coût, il est souvent invisible avant d’en payer les conséquences.
Si tu te vois comme quelqu’un qui veut plus que survivre, quelqu’un qui veut prospérer, quelqu’un qui ne veut pas juste vivre mais construire, inventer, laisser une trace, alors tu dois regarder loin, regarder large, regarder ce qu’il y a derrière les frontières. Ne pas fuir ses racines, mais ne pas t’enchaîner non plus.
Parce qu’au bout, ceux qui osent bouger, ce sont ceux qui gardent plus que ce qu’ils laissent derrière. Ce sont ceux qui aujourd’hui peuvent dire : j’ai choisi ma vie. Et toi, tu choisis quoi, quand on te pose encore et encore la question rester en france ?
Je ne vais pas te dire “pars, coûte que coûte”. Je vais te dire : pèse ton bordel. Regarde ce que tu gagnes aujourd’hui, ce que tu perds, ce que tu perdras demain si tu restes passive ou bloqué. Si tu fais ce calcul honnêtement, je pense que tu verras que partir pourrait être la décision la plus sensée pour t’enrichir, pour t’épanouir.
Alors, la prochaine fois que les gens te demanderont si tu veux rester, tu pourras répondre : rester en france ? Oui ou non. Mais surtout, savoir pourquoi.
L'Enrichissement Pour TOUS - Sébastien de Stratégie Liberté
Envie de transformer radicalement ta situation financière et de prendre le contrôle total de ta vie ? « L’Enrichissement pour Tous » est bien plus qu’un simple livre développement personnel, c’est ta feuille de route vers la liberté financière !
Pourquoi ce livre est-il différent des autres livres développement personnel ? Parce qu’il ne se contente pas de théories creuses, mais te propose des stratégies concrètes et applicables immédiatement pour construire ton indépendance financière.
Tu rêves de vivre de tes rentes et de ne plus dépendre d’un salaire ? Ce livre va transformer ce rêve en réalité. Inspiré par des penseurs comme MJ DeMArco (ou MJ de Marco dans certaines références), cet ouvrage déconstruit tous les mythes sur l’enrichissement.
Comment passer de la survie financière à la prospérité ? La clé réside dans une approche systémique et méthodique. Pour être rentier, il ne suffit pas d’avoir de bonnes intentions, mais de mettre en place des stratégies intelligentes.
Devenir rentier comment ? En comprenant les principes fondamentaux de la création de richesse. Tu apprendras à :
– Investir stratégiquement
– Multiplier tes sources de revenus
– Développer un état d’esprit d’entrepreneur
– Gérer intelligemment ton patrimoine
Pour devenir rentier immobilier ou dans d’autres domaines, tu dois maîtriser l’art de la négociation. Le livre t’enseignera des techniques précises, comme la phrase type pour négocier un prix ou comment refuser une offre d’achat trop basse.
Négocier le prix devient un art que tu maîtriseras parfaitement. Ne t’inquiète pas si tu as peur de faire une offre d’achat trop basse : tu recevras des outils pour négocier avec confiance et intelligence.
Devenir rentier sans capital de départ peut sembler impossible ? Ce livre te prouvera le contraire. Tu découvriras des méthodes innovantes pour générer des revenus passifs, même en partant de zéro.
Ce n’est pas qu’un livre, c’est un véritable programme de transformation. Chaque chapitre est conçu comme une étape concrète vers ta liberté financière. Tu ne liras pas simplement, tu agiras !
Les témoignages de lecteurs qui ont réussi grâce à ces méthodes sont là pour le prouver : changer sa vie financièrement est possible. Tu as entre tes mains plus qu’un livre, tu as une opportunité unique de réinventer ton rapport à l’argent.
vivre de ses rentes, est on riche avec 100 000 euros ? Attention : ce livre n’est pas pour les rêveurs passifs, mais pour les acteurs déterminés. Si tu es prêt à sortir de ta zone de confort, à remettre en question tes croyances limitantes sur l’argent et à agir concrètement, alors « L’Enrichissement pour Tous » est fait pour toi.
pour une longue vie et prospérité, Ne laisse plus jamais ton avenir financier au hasard. Chaque page de ce livre de développement personnel est un pas de plus vers la liberté, la sécurité et l’abondance. Ton voyage vers l’indépendance financière commence maintenant !
Ce livre est un véritable grand guide pratique, il t’apprendra comment développer tes connaissances financières dans tous les domaines, même les impôts ne seront pas oubliés. Une véritable mine d’or d’informations et actions à entreprendre te seront dévoilées, pas à pas, sans aucun tabous. Tu y trouveras une multitude d’exemples simples chiffrés pour aider l’assimilation et la compréhension des différents concepts.
Ton niveau de salaire importe peu, ce qui importe, c’est ce que tu vas faire de ce salaire. Apprend et applique ce que les riches savent tous pour s’enrichir toujours plus de manière sereine et pérenne. Découvre comment court-circuiter les mauvaises pensées qui te maintiennent pauvre.
Ta richesse se construira sur la durée moyennant de petits efforts qui provoqueront sur la durée de gros résultats. Crois-moi tu ne regretteras pas ce petit achat ! Tu en ressortiras bien plus malin, je te le garantis ! Si tu veux voir un court extrait et le sommaire détaillé, c’est par ici :
https://www.amazon.fr/dp/2959545052
Pages : 330
Prix : 19,90€ au format papier broché disponible sur Amazon
Prix : 9,90€ au format Ebook Kindle disponible sur Amazon
Année : 2024
Table of Contents
TogglePublications similaires :
- Josh Kaufman : Un Autodidacte Visionnaire du Développement Personnel et Professionnel
- développement personnel olivier bourdeaut
- Comment éviter les blocages des comptes Wise et Revolut ?
- Les riches vont-ils au paradis ?
- 52 semaines d’exercices pdf complet – Napoleon Hill – Réfléchissez et devenez riche
- Pourquoi s’expatrier en Russie en 2025 ?