Comment piner des brahmanes et femmes indiennes à Auroville ?

Auroville témoignage : ce qui se passe vraiment avec les femmes indiennes

Ce texte n’est pas une leçon de morale. C’est une plongée crue dans ce que j’ai vécu, à Auroville, en Inde. Un auroville témoignage sans filtre, où je dis ce que j’ai fait, ce que j’ai vu, ce que j’ai compris, ce que j’ai encaissé. C’est mon histoire avec les femmes indiennes, les castes, la séduction, la galère, la passion, le sexe, le jeu de pouvoir, le délire émotionnel. Le tout raconté sans fard. On parle de vérité, sans masque. Si tu veux comprendre, lis jusqu’au bout.


1. Le contexte : Auroville, tourisme, castes, misère

Auroville, c’est un endroit unique en Inde, un carrefour de cultures, de visiteurs étrangers, de gens bien nés, de gens pauvres, de hippies, de curieux, de tout. Je suis arrivé avec peu, je vivais avec peu. On me donnait 100 €/mois, dont 50€ envoyés par ma mère. On m’a aussi donné des dons parfois. Avec ça, je vis. Mais je ne paye pas pour séduire. Dans ce récit, je te dis comment on « score » des femmes sans payer – ou presque pas, ou de façon assez naturelle, ou parce qu’elles veulent aussi.

La misère attire‑t‑elle ? Oui, parfois. Est‑ce que je l’ai utilisée ? Pas directement. Je dirais plutôt que la vie modeste que je mène à Auroville finit par raconter quelque chose. Le pauvre blanc sans prétention, c’est parfois un charme. Mais ce n’est pas ce qui prime. Ce qui compte, c’est le contact, l’attitude, le jeu, le naturel. Ce auroville témoignage est là pour montrer qu’on peut séduire sans luxe, mais pas sans risques.

Auroville, sur ces dernières années, ça a changé. Les conditions dans lesquelles je rencontrais beaucoup de femmes, elles se sont évaporées. Mais ce que j’ai vu auparavant, ce que j’ai vécu, ça reste. Un auroville témoignage c’est aussi ça : documenter ce qui existait, ce qui ne se fait plus, ce qui reste possible, ce qui est devenu plus dur.


2. Les castes, les types de femmes : ce n’est pas uniforme

Première nuance : toutes les femmes indiennes ne sont pas pareilles. Il y a celles qui viennent des villages, des castes « basses » (terme brut, mais je vise ce que je vois), et celles de familles aisées, de grandes villes. Les valeurs, le mode de vie, la timidité, les codes ne sont pas les mêmes. Si tu veux piner une Brahmane, ça demande plus de finesse, plus de respect, plus de compréhension. Je l’ai déjà fait. Oui, j’ai déjà « choppé » une femme de caste élevée, de type Brahmane.

Mais ce n’était jamais simple. Les Brahmanes ont des attentes, des barrières culturelles plus fortes. Il faut que la fille ait un problème familial, être en rupture, ou qu’elle soit très ouverte. Il faut aussi être prêt à encaisser les jugements, les silences, les regards désapprobateurs. Dans mon auroville témoignage, j’explique comment ça s’est passé, ce que ça m’a coûté en énergie.

À l’inverse, les femmes des villages, des castes inférieures, sont parfois plus spontanées. Moins de filtres, de pressions. Elles peuvent être plus accessibles, plus enclines à accepter une avance, un geste spontané. Mais ça ne veut pas dire que c’est plus simple. Les compromis sont nombreux. Les attentes aussi. Parfois l’instabilité psychologique, les familles, les obligations sociales, tout ça pèse. Une femme peut être géniale, mais les réseaux autour d’elle peuvent la ramener dans un cadre rigide qu’elle ne maîtrise pas.


3. Anecdote : la fille du café sous la pluie

Voici un exemple concret, qui illustre tout ce mélange de hasard, d’attirance, d’opportunisme et d’émotion.

Un après‑midi de juin, la pluie tombe soudainement, glaciale, imprévue. Tout le monde se réfugie dans un petit café de survie : smoothies, glaces, café, abri. Je suis trempé, frigorifié. Elle, une fille que j’ai croisée deux‑trois fois dans des soirées à Auroville, est là aussi, avec un débardeur fin. Indienne. Villageoise. Caste modeste. Le t‑shirt trempé. Le froid. La pluie. On se regarde, je lui dis : « attends, tiens, tu as froid ? » Elle répond. On parle. Je lui propose de venir chez moi se changer, prendre des vêtements secs. Elle hésite une seconde, me dit que c’est un peu loin, puis finit par accepter.

Nous sommes tous deux trempés, mais la proposition est sincère. Elle me suit sur ma moto, elle en scooter. On arrive, hors de la pluie. Je vais chercher des vêtements secs, reviens. Elle est là, complètement nue. Pas d’ambiguïté : elle le désire. Elle me dit « j’adore le sexe, allons‑y. » On couche. On passe la nuit. Le matin, elle est enfiévrée, excitée, me saute dessus. Je découvre une femme indienne, au désir puissant, instable aussi. Deux semaines d’enfer. Elle m’a suivi partout, hurlé qu’elle est enceinte, qu’elle m’aime, qu’on va se marier. Elle volait des trucs, jalousies, appels incessants de sa mère, appels du frère, conflits. Moi, je fuyais. Puis tout a fini.

Cette anecdote, c’est un auroville témoignage : du désir, de la passion, du chaos. Le bon, le mauvais, le coul, tout ça. Ça m’a marqué.


4. L’âge, la différence, le désir, les Européennes

J’avais 49 ans au moment de ce récit, l’expérience qu’on raconte remonte à quelques années, quand j’avais 44. Une jeune femme indienne, de ~22‑23 ans, belle comme un ange, de grande ville, haute caste. On s’est rencontrés. Ça s’est passé. J’ai eu du désir, elle aussi. On a partagé. Aucun paiement de ma part pour la séduction (sauf quelques restos, cafés, etc., mais souvent, ce sont elles qui invitaient). Je n’ai pas de préférence de caste ou d’origine géographique. Je n’ai pas de préférence d’ethnie de façon stricte. Ce qui compte c’est le contact, la beauté physique, la connexion.

Il y a eu des Européennes de passage aussi. Mais je suis exigeant physiquement. Il faut que ça m’attire fortement, qu’il y ait un lien au‑delà du superficiel. Si ce n’est pas le cas, je ne force rien. Je ne suis pas du genre à courir après ce qui ne me fait pas vibrer. Ce auroville témoignage rectifie l’idée que je prends tout ce qui bouge.


5. Le jeu du contact physique, les signaux, l’humour

Séduire, ce n’est pas payer. C’est toucher. C’est créer un contact, petit à petit. Parler, rire, poser une main sur le bras, sur l’épaule, tester. Si elle repose sa main sur ta main, ça peut être énorme. C’est un signal. Statistiquement, c’est un pas très fort. Créer un contact physique tôt : c’est risqué, oui, mais ça rend tout beaucoup plus clair. C’est comme ça que j’ai pû emmener la fille du café chez moi.

Humour aussi. Être léger quand il faut, être sérieux quand il faut. Cette capacité de changer de ton, de personnalité : un moment plaisanter, un moment profondeur. Ça donne une image complète, un peu mystère, un peu sincérité. Beaucoup de femmes réagissent à ça.


6. Les contraintes sociales : famille, caste, appels

Avec une femme indienne, beaucoup de choses autour grosso modo : la famille appelle. Tu couches avec elle, elle te dit « attends je dois répondre à maman » ou « Papa », ou « frère ». Tu dînes, t’es en amour, tout va bien, puis le téléphone sonne, coupure. Elle doit aller répondre, se présenter, rassurer quelqu’un, parler en visio, s’excuser. Le contrôle social est énorme.

Avec les femmes de caste élevée, c’est pire. Plus de pression. Plus d’hypocrisie. Plus de peur de l’opinion. Tu ne peux pas juste être un mec blanc qui vit ses envies. Tu rentres dans des jugements. Dans des contraintes. Dans des barrières culturelles. Beaucoup de choses qui ne se voient pas au premier abord.


7. L’instabilité, les drames affectifs

Ce auroville témoignage montre aussi que séduire, ce n’est pas toujours une partie de plaisir. Tu tombes sur des femmes instables. Parfois amoureuses à l’excès. Parfois trop possessives. Elle voulait me marier, m’annoncer grossesse, elle me suivait partout. Elle volait. Elle criait. Je vivais mal. J’ai dû fuir. Ce n’est pas un conte de fées.

Culpabilité. Pression. Même si au début le désir est pur, le plaisir partagé, ça peut vite virer en cauchemar émotionnel. Tu pèses ce que tu acceptes, ce que tu refuses. Tu vois que l’attachement est dangereux. Tu vois qu’il y a des filles qui s’accrochent, même quand toi tu veux juste quelque chose de plus léger. Elle se met à dépendre de toi, à te demander, à poser des conditions, à vouloir le mariage, les enfants, un statut. Et toi tu flippes.


8. L’argent : qui paye quoi ? Le prestige, la générosité

Je n’ai jamais « acheté » une relation. Jamais. On m’a invité. Parfois j’ai payé une pizza, quand c’est arrivé. Parfois j’avais un peu plus d’argent, j’ai invité. Mais généralement c’est elle qui paye ou on partage. Ce n’est pas parce que je suis fauché, c’est parce que j’installe un contexte, je montre que je ne suis pas quelqu’un de prodigue, de luxe. Si tu veux être avec moi, tu sais à quoi t’attendre. Tu ne peux pas croire que je vais te payer des dîners chics chaque soir si mon mode de vie est frugal.

Quand tu vis humblement, tu ne crées pas d’illusions. Certaines femmes de caste élevée, par curiosité ou par désir, acceptent ce mode de vie. Elles voient que j’ai des valeurs. Elles savent que c’est sincère. Elles savent que je ne fais pas semblant.


9. Mariage, visas, avenir

Est‑ce que se marier avec une femme indienne permet de rester légalement en Inde ? Oui, potentiellement. J’ai eu des filles qui auraient été d’accord pour ça. Le deal aurait été que je lui permette d’avoir un visa pour l’Europe, et elle de m’aider à avoir un permis de résident en Inde. Mais il y a des délais, des conditions : être marié depuis deux ou trois ans, remplir des critères administratifs, prouver des choses. Si j’avais fait ça il y a longtemps, ça aurait pu être possible. Aujourd’hui, ça ne me branche pas autant. Parce que le risque, l’attachement, les complications, la réalité quotidienne me font hésiter.


10. Réflexions, regrets, ce que j’aurais fait différemment

Si je pouvais revenir en arrière : accepterais‑je de me marier avec la fille « folle dingue » qui m’a fait vivre deux semaines d’enfer ? Non. Absolument pas. Ce serait pactiser avec la folie. Le désordre. Le risque émotionnel. Mais avec une autre, oui, peut‑être. Avec celle qui se bat pour toi en soirée, celle qui est stable, qui a des projets, qui est sincère.

J’ai aussi compris beaucoup sur moi. Sur mes dents, sur mon apparence, sur la confiance. J’ai des dents qui ont commencé à tomber il y a 4‑5 ans, ça m’a complexé. Ça impacte la séduction, l’assurance. Tu vois, c’est con, mais des dents pourries ou manquantes, ça change la donne. Quand j’aurai un dentier, de belles dents, y’a des chances que ça change quelque chose. Parce que les gens jugent. Physiquement. On ne peut pas le nier. Ce auroville témoignage le montre : l’apparence compte (et beaucoup), même si ce n’est pas tout.


11. L’essentiel : être naturel, vrai, toucher tôt

Ce que je conseille, ce que j’ai fait : être naturel. Ne pas trop forcer. Créer le contact physique tôt, sans violence. Pas un jeu de manipulation lourd, mais des gestes simples : toucher un bras, l’épaule, rire, plaisanter. Si elle pose sa main sur la tienne, bingo, tu avances. Si elle te repousse, tu recules. Être attentif. Être sincère. Ne pas mentir sur ce que tu es, sur ce que tu veux.

Une femme indienne respectée, élevée dans une caste haute, saura reconnaître quand tu es authentique. Tu peux la séduire, mais il faut qu’elle te sente sincère. Et ce n’est pas parce que tu es étranger que tout est permis. Très loin de là. Le respect, la dignité, l’écoute, l’humilité, tout ça pèse.


12. Le bon, le mauvais, pourquoi ce auroville témoignage est important

Je raconte tout ça parce que je veux qu’on comprenne. On entend souvent des récits idéalisés d’amour exotique, d’aventures « spiritualistes ». Mais la réalité, c’est aussi des larmes, des crises, de la jalousie, des appels de la mère tard le soir, de la mise en scène, du bluff, des illusions. Ce auroville témoignage apporte de la matière brute, pour ceux qui veulent savoir ce que ça coûte, ce que ça donne, ce que ça dérange.

Je garde aussi, dans mes souvenirs et dans les moments de recul, une collection de scènes, des images, des échanges hallucinants. Un jour une fille m’a appelé « mon mari » devant tout le monde parce qu’elle avait peur que je reparte. L’instant d’après, une autre me criait « non c’est moi ta femme ». Deux femmes hurlant devant 30 personnes pour un mec comme moi. C’est fou. Ce sont ces pics, ces excès, ces contrastes qui marquent le plus. Et je les archive, dans mes archives en inde à auroville et ailleurs.


13. Si j’étais millionnaire demain

Si je devenais riche, millionnaire, avec des filles splendides autour de moi : est‑ce que je paierais pour avoir des femmes ? Non. Je resterais fidèle à ce principe : les femmes ne paient pas moins ; elles ne mémorisent pas une relation sur ce qu’il y a eu dans le porte‑monnaie, mais sur ce qu’il y a eu dans le regard, dans le jeu, dans la relation. Si une femme s’intéresse à moi, je veux qu’elle s’intéresse à ce que je suis, pas à ce que j’ai.

Mais je ne dis pas que je ne pourrais jamais changer. Les circonstances font les gens. Tu peux être pauvre, puis tu deviens riche. Et là, il y a des tentations, des attentes différentes. Mais je ferai en sorte de rester fidèle à ce que je crois : pas de transaction sexuelle ou affective en fonction de l’argent. Ce auroville témoignage reste là pour ça : rappeler que même avec peu, on peut vivre des choses, qu’on peut aimer, qu’on peut désirer, sans vendre son cœur.


14. Les trucs simples qui marchent

Voici les astuces concrètes que j’ai testées, ce que j’ai appris sur le terrain :

  • Dès que possible : le contact physique. Pas brutal, pas vulgaire, mais un simple geste, une main sur le bras, une épaule, un sourire, un toucher léger.

  • L’humour. Rire. Ne pas se prendre toujours au sérieux. Alterner humour, sérieux.

  • Être utile, protecteur : par exemple, dans des soirées où il y a des abus, des jeunes bourrés, des filles en difficulté, intervenir, prendre soin. Les gens voient, les femmes remarquent. Tu gagnes du respect, de l’admiration, tu te distingues.

  • Ne pas donner de faux signaux. Si tu veux quelque chose de sérieux, le dire un jour. Si ce n’est qu’un plan d’un soir, le ressentir aussi. Être honnête avec soi‑même.

  • Ne pas faire de la séduction une marchandise. Ne pas calculer tout comme transaction. La séduction, le désir, la passion sont aussi des choses spontanées. Laisser de la place à l’imprévu.

  • Respecter la personne, respecter sa culture, ses barrières. Savoir quand reculer. Ne pas forcer. Ne pas imposer.


15. Le bilan personnel

Ce auroville témoignage ne se veut pas un guide complet, mais une carte des dangers, des plaisirs, des coulisses. J’ai eu des moments magnifiques, des nuits merveilleuses, des femmes incroyables. J’ai aussi eu des jours sombres, des déceptions, des blessures. Mais je ne regrette pas. Ce que j’ai vécu m’a construit. J’ai appris ce que je suis, ce que je veux, ce que je ne veux pas.

Je suis devenu plus prudent. Plus exigeant. Moins naïf. J’ai compris que séduire ce n’est pas juste le désir immédiat mais ce qu’il y a après : la stabilité, le respect mutuel, la clarté sur les attentes. J’ai compris aussi que la mixité culturelle, les différences, la caste, la famille, tout ça ça pèse. Que ce ne sont pas des clichés, mais des réalités structurantes.


16. En conclusion

Si tu veux venir à Auroville ou ailleurs en Inde, ou simplement tu es curieux : ce que je raconte est mon auroville témoignage. Ce n’est pas universel. Ce n’est pas toujours pareil. Mais c’y est. Et si je devais donner un conseil ultime : sois toi‑même. Arrive pas avec la prétention de tout obtenir. Arrive avec l’humilité, avec le goût du partage, avec le désir sincère. Si tu fais ça, les rencontres peuvent être vraies, les moments puissants.

Et s’il y a une chose qui ressort de ce texte : la vérité crue, le sexe, le désir, les drames, les joies, tout est mélangé. Il n’y a pas de conte de fée. Il y a des victoires, des défaites, des traumatismes, des sourires. Ce auroville témoignage veut être la bordée de réalité derrière l’image romantique de l’Inde exotique.

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