Payer une femme : mascarade, hypocrisie ou affirmation brute de réalité ?

Ça explose dès l’ouverture : la fameuse « chaîne de la vérité » est en réalité l’antichambre du mensonge. Cette structure toute relative met en avant des « relations » empaquetées et vendues – relations avec des femmes qui mentent pour obtenir du fric. Si on creuse, on réalise que tout le système, depuis toujours, repose sur ça. Même les putains de guerres pour le gibier, il y a 300 000 ans, c’était déjà ça : tu ramenais de quoi bouffer et, en retour, tu méritais ton petit plaisir. Pas de repas, pas de câlin. 

300 000 ans de ce modèle transactionnel, voilà. Depuis que l’humanité existe, aucun mec n’a jamais eu une femme “sans payer”. On peut chambrer avec « combien payer une femme pour le ménage en cesu » ou débattre « payer sa femme de ménage », ou encore évoquer « payer une femme pour le ménage », mais au fond, c’est la même merde : c’est un échange.

Tout est toile de transaction

Il faut voir la réalité en face : faire gratuitement quelque chose, c’est moral, chrétien, pur, tout ce que tu veux. Mais c’est de la comédie. Quand tu salues ton chef le matin, ce n’est pas par amour, tu le fais parce que tu veux toucher ta paye. Quand tu te lèves pour aller bosser dans ton open‑space et endurer toute l’absurdité du monde corporate ? Ce n’est pas par passion, mec, c’est pour l’argent. Tu travailles comme un esclave, mais tu kiffes la paie. Tu te claques la vie pour un salaire. Fini la comédie du “je suis sincère par bonté d’âme”. Non : tu es là pour encaisser. Assume‑le.

Alors, forcément, certains disent : “Moi, je suis adepte du dieu Mamon.” Au moins, c’est clair et net. Le problème, ce sont les faux‑culs qui prétendent faire par sincérité et finalement jouent le rôle de vendeurs soi‑disant désintéressés. Si tu donnes de l’argent à ta femme, ou à ta compagne, ces histoires d’argent placé sur la table en Asie, et que la femme s’éclate parce qu’elle voit le fric, ça te fait kiffer aussi. C’est du concret, du joie de vivre, pas du romantisme en toc. Tu “payer une femme”, elle sourit, elle t’offre du plaisir, et toi tu récupères ta dose de bonheur. Bingo.

Le cadeau, l’échange masqué

Faire un cadeau, partir en vacances… tout est construit sur cette illusion : “Je fais plaisir à l’autre.” Ouais, mais en vrai, c’est pour soi‑même. C’est du don‑contre‑espoir. C’est un don non commercial qui recèle un calcul sous‑jacent. Même dans les contrats de mariage, il est inscrit « obligation conjugale », « soutien économique ». Tout est monnayé dans un beau paquet de fausse générosité. Ce n’est pas sale. C’est juste assumé ou pas. L’objectif, ce serait de restructurer l’échange pour “payer la vraie valeur”. C’est tellement plus honnête.

Gourgandine, ou l’acte de prestation de service

Le gourgandinage, au fond, c’est un service de comédienne. Certaines femmes joignent l’utile à l’agréable, et il faut le reconnaître : elles jouent un rôle, elles vendent une expérience. Il y a un taux de rejet normal : certaines ne veulent pas, tu “payes ta femme”, mais c’est elles qui choisissent. Dernière séance en Thaïlande : 80 à 90 % de refus. C’est crypto, mais c’est la réalité. Elles choisissent, elles se mettent en mode comédienne, et toi tu payes pour cette performance. Elles donnent parfaitement leur prestation, avec génie parfois.

Alors, c’est quoi, la sincérité ? C’est la perception de la personne qui reçoit. Si la comédienne est de haut niveau, tu perçois une girlfriend experience (GFE), mais plus vraie. Les expériences les plus intenses, sincères, puissantes, viennent de ces gourgandines motivées. Elles peuvent être motivées de plusieurs façons : soit elles t’aiment réellement, soit tu les as payées plus, soit elles espèrent un lien plus durable. 

C’est l’histoire du don réciproque qui bouclait déjà dans les temps ancestraux… Beaucoup se retrouvent à conclure, à passer de “gourgandine” à amante, puis à épouse. Et les mecs disent : « Je l’ai payée, mais elle était différente des autres. »

La rationalité féminine dictée par le pragmatisme

Pourquoi faire des choses gratuitement quand on peut se faire payer ? Normal, logique, rationnel. Une femme peut se dire : cet homme me plaît, il est beau, mais je peux le rencontrer gratuitement ? Ou je peux faire “payer une femme” et avoir le même mec en surplus de respect monétaire ? Pourquoi pas ? 

À Dubaï, par exemple, c’est flagrant : t’as l’impression qu’il n’y a que des femmes accompagnées de prix affichés, tant elles sont rationnelles. Si elles peuvent bosser, sortir, se faire plaisir, être payées et avoir un mec en prime ? Ok, c’est intelligent. Et logique. Assumons cette intelligence plutôt que de la juger.

Et ce qui est encore plus fou, c’est que cette sincérité payée est parfois plus vraie que ce qu’on imagine. Pareil quand on parle de travail freelance ou mission‑consulting : payé à 500 € par jour, tu fais le taf au minimum, tu fais le job sans plus. Mais payé à 1 000 €, t’assures, tu sois performant, tu le fais avec le sourire, tu te donnes à fond. Quand t’es rémunéré à la hauteur, tu travailles mieux, plus efficacement. C’est évident, c’est mécanique. Tu “payer une femme” ou un prestataire, dès que le montant est juste, ça change le comportement, ça change le niveau de prestation. C’est la logique du marché, on ne peut pas l’ignorer.

Exemple brutal : fusible consultant sacrifié avec le sourire

Une anecdote frappante : proposer de te faire virer sur place pour une mission formatée pour échouer. Tu acceptes si tu es bien payé, et tu le fais avec le sourire. Présenter un projet foireux, savoir que c’est ton dernier jour, mais tenir bon, garder le sourire, faire le taf, et repartir. Et ça, le coefficient sincérité‑performance, ça marche. La boîte est impressionnée, te propose autre chose. Tout est payant et tout est reconnaissance — car plus tu es payé, plus tu donnes et tu brilles. OMG.

Décryptage : la “chaîne de la vérité” est une façade

Alors quel est le cœur du débat ? Est-ce la “chaîne de la vérité” ou bien une façade du mensonge, du calcul, de l’échange ? Comme si c’était une chaîne… de paradoxes. Parce qu’on nous vend la sincérité, la spontanéité, la relation naturelle. Au fond, on parle de « combien payer une femme pour le ménage en cesu », de « payer sa femme pour le ménage », de « payer une femme pour le ménage », on parle de “payer une femme” dans tous les sens, dès qu’il y a un enjeu de relation, d’échange, d’attention.

On est loin de penser que l’amour vrai, la passion, les connexions profondes, ça se monnaye. Mais… si tu donnes du fric, tu reçois du plaisir, de la sincérité, du jeu. Le système est transparent. À partir du moment où on assume, “payer une femme” devient une opération claire, purement transactionnelle, sans hypocrisie. Et le résultat, c’est souvent plus vrai que n’importe quel “acte gratuit” feint.

Pourquoi ce pragmatisme choque

Ça choque parce que ça brise l’illusion de la pureté romantique. Parce que l’économie sexuelle, affective, relationnelle, ça faisait partie du deal depuis nos ancêtres. On est là, on ne parle pas d’un demi‑mensonge ou d’une humiliation. On parle d’un deal clair : je paye, tu donnes, je prends. Et je prends du vrai. Je prends de la sincérité dans l’acte payé. Étonnant, non ? Pourtant, c’est ça la vérité. Le sexe, l’amour, les attentions, les services, tout est marché. C’est ce qui fonctionne depuis des millénaires. Faut juste le dire sans filtre. “Payer une femme”, 8 fois ou plus, c’est la prose de la réalité économique dans l’intime.

Conclusion frontale

Arrêtons de nous gaver de fausse morale. Assumons que tout est échange, tout est prix, tout est valeur. Que la sincérité se trouve dans le contrat, dans le fric livré, dans le sourire payé, dans la prestation libérée. 

Que « combien payer une femme de ménage en cesu », que « payer sa femme pour le ménage », qu’« payer une femme pour le ménage« , ça fait partie d’une même histoire. Et que « payer une femme », dans n’importe quel contexte, c’est un acte clair, pur, libérateur. Peu importe la cible du paiement — épouse, gourgandine, prestataire, consultant — tant qu’on l’assume, c’est honnête.

Alors dis-toi : cette chaîne, cette chaîne de la vérité supposée, elle est soit la chaîne du mensonge, soit la chaîne du paradoxe. À toi de choisir : tu veux le spectacle aseptisé de la sincérité de façade, ou tu veux la balle dans la gueule de la vérité transactionnelle ? À toi de voir.