femme pattaya : Budget et réalité crue des relations féminines à Pattaya

Quand on débarque dans cette ville bourdonnante, entre néons et promesses faciles, la question revient toujours : quel budget prévoir quand on pense “femme pattaya” ? Et plus profondément, qu’est-ce que ça veut vraiment dire ? Cet article, tranchant et sans filtre, te livre une plongée directe — en mode reportage cru — dans les réalités à Pattaya, sans chiqué, sans fioriture ni faux semblants.

Il s’agit ni plus ni moins d’un guide sans concessions, où je t’explique comment jongler entre “femme avec abonnement” ou “femme sans abonnement”, entre relations tarifées “short time” ou “long time”, entre bars, gogos, applications, négociations, et même coups de cœur improbables. Je t’emmène, mot à mot, dans les coulisses de ce business (parfois bien plus qu’un business), en gardant la langue crue, directe, sans ménager ta sensibilité.

1. Pourquoi parler de femme pattaya ?

Dès qu’on envisage de s’installer ici, ou juste de s’y amuser, on sait qu’il y aura probablement une présence féminine dans l’équation. Et si tu ne fais pas partie des beaux gosses éligibles à l’amour pur, cette présence, tu la payes. Ce mot cru, “femme pattaya”, représente à la fois l’attraction, la transaction, parfois l’enfermement dans un système tarifé. On va pas tourner autour du pot : si t’es vieux, moche, ou les deux, tu dois ouvrir le porte-monnaie si tu veux une compagnie.

2. « Femme avec abonnement » vs « femme sans abonnement »

Deux modèles s’opposent :

• La femme avec abonnement : c’est la relation à long terme, presque institutionnelle. Mariage, check-in. Divorce, check-out. Gestion administrative, frais de congé, vacances, obligations. Avec le temps, le sexe s’émousse, la “boniche” s’installe. Tu la subis, elle te prend la tête, organise ta vie. C’est un abonnement tout inclus — sauf que tu découvres vite que la promesse de l’amour éternel, c’est un bordel logistique.

• La femme sans abonnement, ou “gourgandine”, c’est l’option pay-as-you-go. Tu la paies juste pour ce que tu veux — souvent court terme (short time), parfois long terme. Ici, t’es dans le concret immédiat : un rapport, un prix. Pas de contrat social, pas de prise de tête émotionnelle… sauf si t’es trop con pour comprendre où est le piège, ou l’éventuelle marque d’attachement.

Et là, je te le dis direct : je suis plutôt short time. Une heure, un échange, chacun part de son côté. Mais tu vois, parfois même ce peut être gratos, quand t’as un réseau qui fonctionne. Ce contraste te donne une idée de l’absurdité et de la variété des situations à Pattaya.

3. Combien de femme pattaya par mois ?

Difficile de donner un chiffre exact, chaque personne vit ça différemment. Certains s’en tapent complet de la sexualité, d’autres sont accros au moindre sourire. Moi, ça tourne entre deux et trois fois par semaine en moyenne.
Résultat : grosso modo 10 à 12 “femme pattaya” par mois (pour les moins actifs), jusqu’à 15–20 pour les plus assidus. Oui, je sais, ça paraît fou, mais c’est juste la réalité crue du terrain.

4. Types de frais et usages

On distingue plusieurs façons de “consommer” la présence féminine :

• Lady drink : tu paies un verre, souvent entre 100 et 200 bahts (≈ 2,50 € à 5 €), selon le bar. Le verre — le fameux lady drink — peut venir avec quelques attentions, effleurements, massage à l’ongle, méditation express… bref, un service soft, instantané.

• Short time : généralement entre une heure (faire l’amour, hop) pour un certain montant.

• Long time : la fille reste toute la nuit — tu payes plus, évidemment, mais t’as plus de temps à partager.

Autre subtilité : rencontrer une fille en-dehors d’un bar ou d’un club peut te faire économiser le barfine, une commission que tu passes généralement au lieu ou gogo (~500 à 4 000 bahts). En résumé, plus le trajet via des connexions personnelles, moins t’as à payer.

Il y a aussi ton circle, ton cercle, avec lequel tu peux taper le taf via applis de rencontres ou même en rue. Tu files le contact à la nana, la revois off-duty, sans barfine — le système devient informel, presque familier.

5. Construire un réseau

Avec le temps, tu construis ton carnet d’adresses — “lines” avec notes, appréciations, des icônes, des couleurs selon les expériences sexuelles, le feeling humain, l’alchimie, la ville d’origine, le prix… Un système de classement très personnel. Là, t’arrives même à gérer les contacts, savoir lesquelles sont “W” (ouh la waouh), etc.

À un moment donné, tu te rends compte : plus besoin de chercher. Tu appelles, elles répondent dispo, souvent avec un tarif réduit ou même gratos si le feeling passe. Tu passes d’acheteur à confident, compagnon, parfois plus.

Mais clairement, garder l’équilibre est délicat. Respecter les femmes, c’est le b.a.-ba. On parle de “femme pattaya”, mais on ne les traite pas comme des chiennes. L’idée, c’est la clarté, l’échange sincère — même si ça commence par un paiement. À force, certaines filles te disent “non, c’est bon, l’argent j’en veux plus” : tu échanges, t’es seul, sans protocole, sans transaction.

6. Des exceptions, des moments forts

Parfois, tu lâches plus que le prix. Parce que c’est exceptionnel, parce que la fille est sincère, parce que tout va bien. Je pense à une fille, Emy : je lui offre un pourboire, elle refuse. Voire, même hors contexte sexuel, elle veut juste qu’on partage un resto ou un verre, sans qu’elle bosse. Et en retour, tu lui apprends le français ou l’anglais, elle t’initie au thaï, dans un échange codé presque amical. Là, c’est du “femme pattaya” qui dépasse la transaction.

7. Devenir local, pas touriste

Tu veux faire baisser les prix ? Apprends quelques phrases en thaï. Même deux, trois, quelques mots ; prononciation approximative mais sincère, un sourire. Tu passes de 2000 bahts à 1000 ; de 1500 à 750. Ce n’est pas juste une question d’argent, c’est une question de respect, de montrer que tu t’intègres, que tu es plus qu’un touriste crasse en tongs. Les meufs te voient maintenant comme un gars qui connaît, qui prend le temps. Ça change tout.

(On peut rigoler, plaisanter, dérider l’atmosphère. Et l’argent devient secondaire — tu achètes du moment, du temps. Rien de plus ni de moins.)

8. Coups de cœur, coups de foudre, et alchimie

Oui, il y a des moments où toi, ou elle, vous craquez. Les prix baissent sans qu’on demande rien. Tu deviens “celui qui me correspond”, ce qui nourrit l’espoir d’une vraie connexion — ou du moins, d’une illusion choisie. Ça se passe. Ce “femme pattaya” devient parfois plus qu’un tour de passe-passe mercantile.

9. Sur place ou emporté ?

Tu peux choisir de rester sur place (dans le club, le bar), ou “emporter” — ramener la fille chez toi. Pour ma part, je suis full emporté. Ça vaut mieux — plus d’intimité, moins de témoins gênants, un sentiment d’un moment plus vrai. Au final, c’est ce qu’on recherche, non ? Un instant simple, sans rideau, mais pas gratuit pour autant.

10. Body count, ego, et souvenirs

Avant même Pattaya, mon body count était déjà dans les quatre chiffres — séduction, hypnose, massages aux huiles… J’avais appris à “manipuler” le cerveau, à enseigner comment “influencer”. Alors Pattaya, ça a fait exploser les compteurs. Mais je te le dis cash : ce n’est pas une compétition. C’est surtout une expérience, parfois épuisante autant qu’excitante.

11. Addiction ou plaisir maîtrisé ?

On peut te juger : “tu paies pour des femmes, tu gaspilles ton argent”. On peut te parler d’addiction, ou te conseiller d’investir dans le S&P 500. Mais sérieux : ça sert à quoi de thésauriser si t’en profites jamais ? L’argent sert aussi à vivre — pas juste survivre. Pas juste à coûter un sac, un ordi, un voyage, un investissement abstrait. Se faire plaisir, intensément et maintenant, c’est aussi légitime. Tu mérites ces moments — si t’as les moyens, pourquoi s’en priver ?

12. Les adresses incontournables

Pour finir, parlons des lieux. Certains gogos sortent du lot — je ne vais pas faire de liste exhaustive, mais quelques noms reviennent souvent :

• XS : belles femmes, show soigné, ambiance… tu peux rester 10–15 minutes (pas juste 5), et les tarifs restent raisonnables — 4–5 €. Attention, ce ne sont pas des créatures faciles. Mais c’est du haut niveau local.

• Lady Love : situé sur “LK Metro” (je vous laisse deviner), très bien noté par ceux qui aiment la fête soft.

• The King : ambiance explosive, festive, parfois vulgaire, mais efficace, avec une variété de profils féminins.

• Mamassan (LK) : un peu moins en vogue partout, mais notre petit coup de cœur discret.

• Red House, Kinari, Lucy Joyce… chaque lieu a sa vibe, son style, son public. Ces clubs et bars offrent des expériences différentes, à toi de tester.

13. En résumé — un dernier mot cru, direct

Tu veux vraiment tout savoir sur le budget femme pattaya ? Voici la réalité sans maquillage :

• Il faut prévoir plusieurs “femme pattaya” par mois si t’es actif — entre 10 et 20.

• On distingue abonnement vs sans abonnement, avec ou sans contraintes.

• Les transactions peuvent aller de 100 bahts pour un drink à plusieurs milliers pour un long time, plus le “barfine” surprise.

• Certains contacts deviennent gratuits si le feeling passe.

• Apprendre un peu de thaï, c’est un bon investissement pour baisser les prix.

• Tu peux parfois sortir du schéma transactionnel et atteindre un échange plus humain, plus proche de la compréhension mutuelle.

• Bons lieux : XS, Lady Love, The King, Mamassan, Red House, Kinari, Lucy Joyce… à tester selon ton mood.

• Et s’il y a un mot-clé à bien marquer — femme pattaya, encore et encore — ben voilà, je l’ai balancé 8 fois. Parce que c’est le cœur du sujet, l’objet brut de l’article.