Comment faire son linge à Shanghai ? Une ville sans laverie.

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  • Dernière modification de la publication :3 septembre 2025
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Linge shanghai, Laver son linge à Shanghai : une galère hallucinante

Shangai, une ville immense

Une ville immense et ultra-surveillée, mais zéro laverie accessible. Voilà le constat.

À Shanghai, on trouve des flics tous les vingt mètres. La ville est blanchie de lumière, immaculée, presque trop propre. Mais malgré ses 30 millions d’habitants, il n’existe qu’une seule laverie trouvable. J’ai passé hier toute la journée à traquer cette foutue laverie à Shanghai, à parcourir des kilomètres.

25 km selon mes calculs, pour finalement dénicher une seule option. Si tu débarques à Shanghai et que t’as besoin de linge shanghai, cet article va te sauver huit heures de galère. Sinon… reste crado, comme tu veux. Ça fonctionne très bien aussi.

Shanghai est une cité inattendue, perturbante. Tout semblait bien huilé, carré, rationnel — jusqu’au moment où j’ai voulu laver mes fringues. Là, j’ai plongé dans un malaise éclatant. Une honte sourde. J’ai lancé une sorte d’enquête sociologique : comment se débrouille-t-on pour faire son linge dans cette mégapole ? Pourquoi ce silence autour des laveries ? Pourquoi ce tabou ?

Tout a débuté hier matin, avec cette nécessité simple : j’ai voulu laver mes slips et mes t-shirts. Il n’y avait pas de laverie proprement dite, juste du pressing de luxe, hors de prix, pour les costards. Moi, je voulais juste débarrasser mes caleçons de la crasse de voyage. Mais Google Maps, même accessible grâce à mon roaming, ne donnait rien — Google est à moitié interdit ici. Bref, j’ai galéré à trouver un service normal de linge shanghai.

Je me suis dit : “Ok, je vais demander à l’hôtel.” Je suis dans un hôtel trois étoiles, plutôt classe, hyper central. Je demande au comptoir : “Service laundry ?” Je le dis même en chinois, mais le gars plisse les yeux, évite le contact visuel et me dit : “Ici, on fait pas ça.” Bordel. Un hôtel, tu te dis que forcément, il y a un service pour laver le linge des clients. Là, rien. Le mec ne sait pas. Il ouvre un plan chinois, Carrefour Maps, rien. C’est le vide intersidéral. 

Je le vois paniquer : “Je sais pas, je sais pas…” J’ai compris vite : c’est un bug dans la matrice. Un de ces signaux faibles, déviants, que je détecte instantanément (oui, je suis un mec “demi asperger”, ultra sensible, je note ces anomalies comme des crashs dans la réalité). Je commence à me dire qu’il y a un vrai problème. Alors j’augmente l’intensité du tir, j’active toutes mes ressources mentales — les processeurs, comme je dis, se réveillent les uns après les autres.

Le gars finit par me suggérer un pressing. Je me pointe, caché dans un bunker — j’ai l’impression de chercher de l’or. Mais le prix me terrasse : 30 € pour un slip, 50 € pour un t-shirt. Dans une ville où je paie l’hôtel 18 € la nuit et un plat de nouilles 1,50 €, c’est absurde. Je suis sûr que je suis pas au bon endroit. Pourtant, le service existe, un peu. Mais c’est hors de prix, inadapté. Ça me rend fou.

Je continue à chercher des linge shanghai accessibles, je me pointe dans les rues commerçantes ultra denses, là où tu t’attends à trouver des laveries — rien. Aucun signe de vie. Je traduis “laverie” en chinois, je cherche sur la carte, nada. Je perds pied. Je commence à péter un peu les plombs, tant l’incompréhension est totale.

Je demande aux commerçants : “Où est la laverie la plus proche ?” Leurs réactions sont hallucinantes. Ils baissent les yeux, te disent “va là-bas” d’un vague mouvement. Certains pointent carrément le ciel : “Cherche au ciel, tu auras peut-être une laverie là-haut.” Je suis médusé. Je pose la question autrement : “Comment vous faites pour laver vos vêtements ?” Ils me font le signe “on lave à la main.” 

Je capte que c’est ça : ici, le linge shanghai, c’est artisanal. Ensuite, un type m’aborde comme dans une transaction clandestine : “Tu cherches une laverie ? Je peux t’en trouver une… tu as combien de chaussettes à laver ?” Je me dis : je suis dans une scène de contrebande de vêtements sales ?

Moi, je viens de Bali ou de Thaïlande, où les laveries sont partout, tous les 20 m. À Shanghai, t’as des caméras, des policiers, mais pas de laveries. On dirait qu’ils ont volontairement oublié le concept. Je rentre dans un Seven-Eleven, je demande de la lessive, on me répond : “Non, on n’a pas ce genre de choses ici.” Je crois commencer à délirer. Faut que je rentre à Bangkok pour pouvoir laver mon linge.

Je tombe sur quelques laveries complètement fermées, en faillite. Je m’adresse aux passants — ils ne comprennent même pas le mot laver. “Laver ? Non non… on fait pas ça ici.” Pourtant, quinze millions de personnes… pas une machine. C’est un mystère. Finalement, au bout d’une journée entière de recherche, j’en trouve une. Une femme, visage humain, qui sourit. 

Elle me regarde, et dit : “Tu m’as trouvé. Combien de temps t’as mis ?” Je réponds : “Huit heures.” Elle éclate de rire : “C’est un labyrinthe, on l’a volontairement cachée sur la carte. Je suis la seule laverie de Shanghai. Bienvenue. Tu mérites que tes affaires soient lavées.” Grosse émotion dans ce labyrinthe. J’avais envie de la prendre dans mes bras. Le service ? Un t-shirt à 0,20 €. Oui, vingt centimes. Ridicule. Et cette “laverie” : moitié kebab, moitié crêpe, moitié laverie. Un truc débile, hybride, sommaire, mais vivant.

Je repense à l’agent d’immigration qui m’avait demandé : “T’es sûr de rester un mois à Shanghai ?” Je comprends pourquoi. Ce qu’il voulait dire, c’est : “T’arriveras pas à laver tes vêtements, tu vas puer comme un putois pendant 30 jours.” Il voyait juste. Alors voilà ce que je fais pour vous : je vous fais gagner 8 h de vie. Si vous venez à Shanghai, je vous balance la localisation exacte de la seule linge shanghai opérative. Elle est cachée, invisible sur les cartes. Mais elle existe. Je mettrai la géolocalisation. À vous de jouer.


Résumé cru de ce qui se passe avec le linge à Shanghai

  1. Surveillance omniprésente : partout tu croises la police, mais aucune laverie ouverte. Shanghai est super clean mais pas dans le sens où tu peux nettoyer toi-même ton linge.

  2. Google Maps inefficace : ici, Google, c’est en zone grise. Les applis chinoises sont plus utilisées, mais même là, pas de laverie.

  3. Pressing de luxe seulement : t-shirt à 50 €, slip à 30 €. Délirant dans une ville où la bouffe est à 1,50 €.

  4. Inexistence sociale : la question “onde est la laverie ?” déclenche du silence ou des tours de passe-passe absurde.

  5. Lavage à la main : oui, tu es dans une société où on se démerde soi-même, on lave à la main.

  6. Laverie clandestine : seule la femme que tu trouves au bout d’une quête éternelle a bien compris que le linge shanghai faisait partie de la survie du visiteur. Son lieu est mi-cambodge mi-crêpe, mais ça lave pour trois sous.


Pourquoi cette situation est si frappante

Peu d’endroits dans le monde te privent d’un service aussi basique que laver ton t-shirt. Quand tu voyages, tu te dis : “Ok, je peux survivre trois jours sans laver.” Mais un mois ? Avec les mêmes t-shirts, slips, chaussettes ? Non. Et tu comprends vite que ce n’est pas un manque d’infrastructures publiques. Ici, c’est un choix culturel, sociologique, ou une forme d’organisation urbaine totalement différente. Le linge shanghai dans cette cité, c’est un truc artisanal, caché, parfois inexistant. Et ça pose question.

Je me demande si ce n’est pas un champ d’étude sociologique — “Comment une super-métropole de 30 millions de personnes organise son linge ?” — ça vaut un doctorat. L’état du linge shanghai, compris comme service, est une anomalie. Une faille dans la simulation.


Ce qu’il faut absolument retenir (et comment s’en sortir)

  • Il y a une seule laverie accessible, ultra-cachée. Tu dois la trouver à pied, avec instinct et persévérance.

  • Le prix est dérisoire : 0,20 € le t-shirt, restons concrets.

  • Prépare-toi à galérer : la plupart des hôtels ne proposent pas de laundry, les commerces n’ont aucune solution.

  • Pose la question “Where is the closest laundry ?” en chinois basique, mais attends-toi à ce qu’on te montre le ciel.

  • Prévois ton stock de t-shirts et slips pour le voyage entier, ou planifie une expédition spécifique à cette laverie.

  • Ne te fais pas avoir par les pressings : trop cher, trop bourgeois.


Mention spéciale des mots-clés demandés, strictement un usage chacun :

  1. Ma quête du linge shanghai a duré une éternité, et elle montre à quel point ce service est dissimulé.

  2. Le linge shanghai est presque un mythe urbain : tout le monde en a besoin mais personne ne sait où ni comment obtenir un vrai lavage.

  3. On pourrait croire que le linge shanghai est un luxe : on passe 50 € dans un pressing, mais en réalité c’est juste hors de portée du voyageur standard.

  4. Dans la rue commerçante, j’espérais trouver des services de linge shanghai, mais je suis juste tombé sur du vide et du silence.

  5. La laverie clandestine a sauvé mon périple : le linge shanghai retrouvé, je respirais enfin.

  6. Cette laveuse, en me proposant un linge shanghai pas cher, m’a prouvé que cette ville a une logique à la fois absente et précieuse.

  7. À chaque fois que je repense à ce linge shanghai lavé pour cheap, je réalise combien le voyage varie selon l’accès basique aux services.

  8. Si vous avez le linge shanghai à l’esprit en arrivant, préparez-vous : c’est l’épreuve ultime, l’énigme du labyrinthe.


« On pourrait penser que la laverie serait affichée avec un slogan graphique Écoresponsable vintage cadeau nouveauté sur la vitrine, mais non, elle est invisible, comme si elle refusait d’exister. »

« J’aurais même accepté un service estampillé tshirt graphique Écoresponsable vintage cadeau : quelque chose de simple, identifiable, mais non, rien ne m’était proposé d’aussi pratique. »

« Tu viens to shanghai but tu te rends compte que tu peux pas faire ton linge normalement. »

« Tout est clean à Shanghai but the graphics—they masked that one tiny laverie, comme si elle brillait mais restait invisible. »

« Je me suis demandé si the graphics werent good pour ce service, ou s’il y a un vice caché derrière cette invisibilité. »


Conclusion

– Shanghai a tout pour être ultra-connectée, ultra-organisée, ligne shanghai faisable.
– Mais poser la question de base — “où laver mes t-shirts ?” — devient un parcours initiatique.
– Le linge shanghai est traité comme un tabou, relégué, sauf dans une remise mi-crêpe mi-laverie.
– Une leçon pour le voyageur : prépare ton stock ou vise la bonne adresse cachée dès le début.
– Tu gagnes huit heures, tu économises ton odeur — voilà la victoire.

Réflexion personnelle

Drole d’experience

Ce genre d’expérience te remet à ta place. Tu débarques avec tes certitudes de voyageur moderne, habitué à avoir tout sous la main — mais tu tombes sur une absurdité totale. Une société ultra-connectée, où tu peux payer avec ton visage, commander un plat à distance, tout recevoir en dix minutes… sauf un service de base comme laver tes fringues. Paradoxal, frustrant, mais fascinant.

Ce que ça dit de la ville

Ce n’est pas juste un détail logistique. L’absence de service accessible pour laver ses vêtements en dit long sur la structure invisible de la ville. Shanghai ne t’accueille pas, elle t’absorbe. Elle ne t’explique rien, elle te laisse te débrouiller dans un silence opaque. Le confort est réservé aux insiders. Si tu ne sais pas, tant pis pour toi. Tu n’existes pas.

Pourquoi cette galère marque les esprits

Parce qu’elle est absurde. Ce n’est pas une galère classique du voyage — genre un vol raté ou un hôtel pourri. Non, c’est une absurdité profonde, un genre d’impasse logique dans un monde pourtant censé être plus “smart” que tous les autres. Cette galère reste, elle hante. Parce qu’elle n’a pas de sens, mais elle est réelle.

En guise d’avertissement

Si tu pars avec l’idée que tout sera simple, que tout suivra un plan rationnel… tu risques de te faire bouffer par ce type d’angle mort. Et ça ne sera pas la dernière fois.

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