Comment ne pas craquer devant une putain de gourmandine de Nana Plaza ?

Il y a des trucs que même les plus endurcis finissent par se prendre dans la gueule. Tu peux faire le malin, jouer au mec détaché, micto convaincu, mais à un moment donné, la réalité te rattrape. Et à Bangkok, ou pire encore à Nana Plaza, cette réalité a des courbes, des yeux en amande et un sourire qui te fout en vrac ton plan de vie de mec libre et détaché.

La « gourmandine » : entre gourgandine et piège à sentiments

Faut qu’on pose les bases. Une gourmandine, c’est pas une gourgandine classique, c’est pas juste une fille de bar qui te vend son temps contre quelques bahts. Non, c’est une meuf avec un truc en plus, une manière de t’attraper sans même sortir les griffes. Elle est là, elle te bouffe du regard, elle respire la fraîcheur d’une nana qui vient juste de débarquer de l’Isaan. Elle n’a pas encore été abîmée par les nuits sans fin de Bangkok, pas encore maquillée comme une voiture volée, ni rincée par cinquante touristes suants.

Une gourmandine, c’est une gourgandine, mais version premium. Pas par le prix : par le danger. Elle te fait croire que c’est pas du business, que t’as un truc spécial. Tu sens que tu risques de flancher, et c’est ça le pire.

Quand t’as accès à tout, tu ne prends pas tout

Quand t’es à Bangkok ou à Pattaya, t’as accès à un putain de buffet à volonté. Toutes les femmes que tu veux, à portée de main. Tu penses que tu vas t’en mettre plein la tronche tous les jours. Et au début, ouais, tu consommes. Tu fais tourner. Une, deux, dix. Et puis au final, tu te retrouves à tourner sur quatre ou cinq. Toujours les mêmes. T’as beau avoir le pouvoir de choix, ton cerveau te ramène sur les mêmes têtes, les mêmes fesses, les mêmes rires. C’est comme ça.

Et c’est là que le risque commence. Parce qu’à force de tourner, y’en a une qui commence à te plaire plus que les autres. Tu ne veux plus la lâcher. Tu veux la revoir. Et là, tu sens que tu glisses. Lentement. Discrètement. Comme un mec qui pensait jamais mettre le pied dans un couple et qui commence à acheter deux bouteilles d’eau le matin, une pour lui, une pour elle.

Mgtow en danger à nana plaza

Quand tu fais partie des mecs détachés, ceux qui revendiquent leur liberté, leur indépendance, le couple c’est la honte ultime. Finir en couple, c’est trahir. Trahir les principes, trahir les potes, trahir le combat. C’est dire que t’avais tort depuis le début.

Mais le pire, c’est que même avec cette conscience-là, tu n’es pas immunisé. Même avec un détachement émotionnel, même avec une pseudo-diagnostique d’Asperger chopé sur Internet, t’es pas à l’abri. Parce que la chair, le regard, le naturel d’une meuf venue traire des vaches dans l’Isaan, ça te démonte tous tes murs mentaux en trois secondes.

nana plaza : La fatigue du chasseur

Y’a un moment où t’en as marre. Pas de baiser, pas de femmes. Mais de la recherche. De la rotation. De devoir re-séduire tous les soirs. De parler, de sourire, de jouer le jeu. Y’a une lassitude. Et même les plus gros chasseurs, les vétérans de Pattaya, ceux qui ont enchaîné 300 nanas par an, finissent par le dire : au bout d’un moment, tu veux poser ton sac. Pas pour la beauté du couple, mais pour le repos. Tu veux une favorite. Une qui comprend. Une qui demande pas, qui râle pas, qui s’adapte.

Et à Bangkok, y’en a. Elles sont là. Surtout autour de nana entertainment plaza. Et elles n’ont rien à voir avec les harpies occidentales qui veulent une bague, une maison et des vacances à Bali. Là, elles veulent un mec. Point.

Le piège de la nouveauté

Quand t’es nouveau en Thaïlande, tout est magique. Tu sors dans la rue, et t’as l’impression d’être un dieu. Les femmes sont jeunes, belles, fraîches, abordables. Tu viens du pays où une meuf à moitié potable te fait poireauter deux semaines pour un rencard, et là t’as une nana qui te fait un massage complet pour le prix d’un sandwich SNCF.

Nana Plaza, c’est l’épicentre de cette illusion. Tu passes la première fois, tu trouves ça crade, un peu triste, trop alcoolisé. Mais tu reviens. Parce que c’est là que ça se passe. Et un jour, tu tombes sur une gourmandine. Pas une professionnelle fatiguée, mais une fille propre, qui débarque du Nord, avec un sac de fruits à la main. Une qui parle un anglais approximatif, mais qui te regarde avec envie. Pas comme une cliente regarde un billet. Comme une femme regarde un mec. Et là, t’as les jambes qui flanchent.

Donation-based, pas tarifaire

Le plus vicieux dans ces rencontres, c’est qu’elles ne te parlent pas d’argent. Tu demandes, à un moment, parce que t’as été habitué à payer. Et elle te dit : « C’est basé sur la donation. » Tu comprends que c’est pas du tarif. Que c’est à toi de voir. Que tu peux donner ou pas. Et ça, c’est mille fois plus efficace pour te faire tomber. Parce qu’elle te vend rien. Elle te donne. Et l’être humain, quand on lui donne sans rien demander, il culpabilise. Il veut rendre. Et là, t’es foutu.

Tu la ramènes chez toi. Elle te masse. Elle te fait tout ce que tu veux. Et elle rajoute encore. Elle te dit en anglais déglingué : « I make good to you. » Et c’est pas une blague. Elle le fait. Elle te sert. Elle te soigne. Elle te dorlote. Elle te suce avec amour. Et tu te demandes pourquoi t’as jamais vu ça avant. Pourquoi personne ne t’a jamais dit que l’amour, c’était peut-être aussi simple.

Le regard des autres

T’en parles aux autres. Aux vétérans de Pattaya. Aux mecs qui ont tout vu. Ils te disent que c’est normal. Qu’ils sont tous passés par là. Qu’ils en ont vu des centaines. Et qu’au final, y’en a toujours une qui sort du lot. C’est humain. Ce que tu crois être un crush unique, c’est juste le syndrome classique du mec qui découvre l’Asie.

Mais eux aussi, ils ont succombé. Ils se sont mis en couple. Certains sont restés. D’autres sont repartis. Mais tous te préviennent : ça n’arrive pas qu’aux autres.

Et l’âge dans tout ça ?

À 44 ans, t’es encore bon pour la chasse. Mais l’horloge tourne. À 49, t’auras plus les mêmes cartes. Les nanas de 25 ne voudront plus de toi, sauf si tu craches un max. Et celles qui voudront encore seront souvent rincées, déjà mères, divorcées trois fois, pleines d’aigreur et de vénalité.

Tu veux éviter ça. Tu veux garder ton pouvoir. Mais pour ça, faut rester frais, rester micto, ne pas te faire embarquer par une meuf, aussi parfaite soit-elle. Parce que le vrai amour, ici, s’écrit avec un A majuscule. Un A comme Argent.

La distinction cruciale : gourgandine vs gourmandine

Les gourgandines, tu les trouves partout. Bars, clubs, trottoirs. C’est la prostitution classique. Il y a du déchet, de la lassitude, du maquillage à la truelle. T’as un taux de rejet. Elles te testent. Elles veulent du fric, du cash, pas ta gueule.

Les gourmandines, elles sont rares. Ce sont des meufs propres, douces, fraîches. Elles t’abordent dans la rue, te regardent droit dans les yeux. Elles débarquent du fin fond du pays, comme cette nana venue du Nord-Est, avec ses vaches et ses rambutanes. Elle bossait dans un bureau, elle n’a pas d’enfant, elle est là juste pour voir. Pas aigrie. Pas usée. Et surtout, pas encore trop éduquée au business du sexe.

C’est pour ça qu’elles te font chavirer. Parce qu’elles te rappellent ce que t’as jamais eu chez toi : une femme douce, serviable, qui veut juste te faire plaisir.