Le contrat social : Comment le ROMPRE ?

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  • Dernière modification de la publication :2 septembre 2025
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Rompre le contrat social de l'homme et de la femme : le choix radical de la liberté

Dans un monde dirigé par des codes sociaux figés, des carrières toutes tracées et des chaînes invisibles, il est temps de poser une question essentielle : comment rompre le contrat social de l’homme et de la femme pour en écrire un nouveau, radicalement différent, débarrassé des attentes sociétales et des illusions ? Cette rupture n’est pas une lubie. C’est une nécessité. Une réaction de survie contre un système devenu absurde.

Le mensonge de la réussite occidentale

Depuis l’enfance, l’individu est programmé. Le système lui vend un rêve : études brillantes, bon job, mariage stable, enfants, retraite. Ce scénario est imposé comme une vérité sacrée. Mais pour beaucoup, ce scénario devient vite un cauchemar déguisé. Derrière le costume-cravate, il y a l’ennui, le burn-out, le vide de sens. La réussite n’est plus un objectif personnel mais une attente collective. Le contrat social de l’homme et de la femme est signé de force, sans consentement réel, simplement parce qu’il est imposé comme le seul chemin possible.

L’ingénieur corporate, prisonnier de l’open-space, est le symbole parfait de cette aliénation. Il se lève chaque jour pour servir un système qu’il méprise. Il obéit à des chefs qu’il ne respecte pas. Il produit pour une boîte qui l’exploite. Le tout, pour un salaire qui finit à peine par justifier la souffrance quotidienne. Il vit à genoux.

Et pire : il doit encore prétendre être heureux.

L’enfer derrière les apparences

Ceux qui ont osé partir à l’étranger dans l’espoir d’un renouveau découvrent que le décor change, mais que le scénario reste le même. Ingénieur à Paris ou à Tokyo, l’enfer est identique : bullshit jobs, horaires absurdes, hiérarchies toxiques, fatigue chronique. On s’épuise pour des tâches sans utilité réelle. On survit dans l’illusion de construire une carrière alors qu’on détruit sa vitalité jour après jour.

Même les postes les mieux payés deviennent une prison dorée. Que vaut 10 000 euros par mois si chaque jour ressemble à une torture mentale ? Que vaut le prestige quand le cœur est mort ? Certains acceptent encore ce deal, animés par la cupidité ou le désir de reconnaissance. Mais beaucoup n’en peuvent plus. Ils crèvent intérieurement dans une routine qui les dévore.

La prise de conscience brutale : sortir de la secte

Cette prise de conscience est brutale : on réalise qu’on a grandi dans une secte. Pas une secte religieuse classique, non. Une secte beaucoup plus puissante : celle du grand Occident. Une religion molle mais tyrannique, qui vend le progrès, la modernité, le capitalisme, la productivité, l’égalité, le féminisme, le salariat, comme des dogmes absolus. Et cette religion impose un modèle unique : le contrat social de l’homme et de la femme, dont il est interdit de sortir.

Ce contrat est faussé dès le départ. Il repose sur une promesse d’épanouissement collectif en échange de la soumission individuelle. Mais ce pacte ne tient plus. Les hommes et les femmes modernes, chacun à leur manière, sont devenus les esclaves d’un système qui ne leur rend plus rien. Plus de communauté. Plus de sens. Plus d’amour. Seulement des injonctions contradictoires, des dettes à rembourser, des thérapeutes à payer.

Une vie à sacrifier pour rien

Dans ce contexte, pourquoi continuer ? Pourquoi vivre à genoux dans des bureaux sans âme, entouré de collègues qu’on méprise et de chefs qu’on déteste ? Pourquoi donner 40 ans de sa vie à un patron, à une entreprise, à une économie qui vous remplace dès que vous tombez ? Pourquoi faire tout ça si, en rentrant le soir, il n’y a même pas une femme aimante pour accueillir votre épuisement ? Si vous êtes célibataire depuis toujours, si vous n’avez ni enfants, ni propriété, ni héritage, alors le contrat social de l’homme et de la femme est déjà rompu. Il n’a jamais existé pour vous. Il ne vous reste qu’une option : la fuite.

Fuir vers la liberté. Fuir vers une autre forme de vie.

Le PVT comme échappatoire

Le Programme Vacances-Travail (PVT) devient alors un outil stratégique. Ce n’est pas une simple année sabbatique. C’est une déclaration de guerre au modèle occidental. Une façon légale de s’exfiltrer d’un système défaillant. Aller vivre en Asie, en Amérique du Sud, en Océanie. Travailler dans les champs, dans des fast-foods, peu importe. Mais retrouver du temps, de l’air, du soleil, du silence. Retrouver son corps, sa musculation, sa liberté d’esprit. Et surtout, retrouver le droit de dire non.

Non à la carrière. Non au salariat. Non à cette parodie d’existence.

Créer. S’exprimer. Devenir.

Le vrai tournant, c’est le moment où l’on cesse de consommer le monde pour commencer à le produire. Créer du contenu. Ouvrir une chaîne YouTube. Lancer un podcast. Produire des vidéos. Ecrire. Parler. Se filmer. S’affirmer. Ce geste, si simple en apparence, est une révolution intérieure. C’est le moment où l’on cesse d’attendre les ordres pour commencer à se les donner soi-même.

Devenir créateur, c’est signer un nouveau contrat : non plus le contrat social de l’homme et de la femme, mais le contrat de l’individu avec lui-même. Ce contrat n’a pas de hiérarchie, pas de patron, pas de contraintes arbitraires. Il est fondé sur la discipline, sur l’authenticité, sur le feedback direct du monde. Tu produis, tu observes, tu ajustes. Tu recommences. Tu grandis. Tu échoues parfois, mais au moins, c’est toi qui échoue. Pas ton patron à travers toi. Tu n’es plus un pion.

Tu es devenu ton propre maître.

Le feedback de l’univers

Quand tu postes une vidéo, tu tends la main à l’univers. Et l’univers répond. C’est brutal parfois. Indifférent souvent. Mais c’est réel. Tu apprends. Tu observes. Tu t’améliores. Tu découvres ce qui marche. Ce qui ne marche pas. Tu développes un style. Tu trouves un public. Et parfois, tu exploses. Tu passes de 10 vues à 10 000. Tu gagnes de l’argent. Tu changes de statut. Tu deviens une voix. Une référence. Une personne visible.

Et même si tu restes petit, tu as planté une graine. Tu existes vraiment. Tu n’es plus un matricule dans une boîte. Tu es un nom, un visage, une vibration unique.

L’économie de la liberté

Créer du contenu, ce n’est pas seulement parler. C’est bâtir un empire. Une chaîne devient une plateforme. Une plateforme devient un business. Tu peux vendre ce que tu veux : formations, coaching, ebooks, services. Le trafic devient une monnaie. Tu n’es plus esclave du salariat. Tu es libre géographiquement, financièrement, psychologiquement. Tu ne subis plus les dramas de bureau, les réunions inutiles, les objectifs absurdes.

Et surtout : tu ne vis plus pour plaire à des chefs, à des collègues, à des parents, à une société morte.

Le célibat comme bénédiction

Dans cette trajectoire, être célibataire n’est pas un handicap. C’est une bénédiction. Pas de femme, pas d’enfant, pas d’obligations. Pas de stress supplémentaire. Pas de comptes à rendre. Pas de reproches parce que le linge n’est pas plié. Pas de pression pour donner de l’attention à quelqu’un après une journée déjà exténuante.

C’est une liberté brute. Et avec cette liberté, tu construis ce que tu veux. Même une relation plus tard, si tu le désires. Mais une relation choisie, pas subie. Pas dans le cadre imposé par le vieux contrat social de l’homme et de la femme.

Une nouvelle religion : la religion de la vérité

Face à l’échec des anciens systèmes, une idée émerge : créer sa propre religion. Une religion fondée non sur un dieu extérieur, mais sur une vérité intérieure. Une religion sans dogme fixe, mais avec des principes clairs : liberté, responsabilité, expression, création. Une religion que l’on construit ensemble, de manière communautaire. Par référendum. Une religion où le Dieu n’est pas l’argent, même s’il est reconnu. Où la vérité est peut-être le Dieu lui-même. Une religion de la vérité.

Cette religion

n’impose pas une manière de vivre. Elle propose un cadre pour échapper à l’absurde. Elle est un refuge pour ceux qui ont tout perdu sauf leur lucidité. Elle est une base de reconstruction.

Hériter de rien. Laisser une trace.

Ceux qui n’ont pas eu d’héritage peuvent en créer un. Pas un héritage immobilier. Un héritage symbolique. Une œuvre. Un message. Une influence. Une transformation. Être celui ou celle qui a brisé la chaîne. Qui a dit non. Qui a refusé le rôle de figurant. Qui a fait sécession du contrat social de l’homme et de la femme. Qui a laissé une empreinte. Une mémoire.

C’est peut-être ça, le vrai sens de la vie. Pas de consommer. Pas de survivre. Mais de témoigner. De transmettre. D’inspirer.

La déclaration des droits pour la femme

Il faut se souvenir d’un texte oublié, trop peu enseigné : la déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Ce texte disait déjà, au 18e siècle, que les règles sociales pouvaient être injustes, que les femmes avaient été exclues du pacte social. Aujourd’hui, hommes et femmes doivent se poser une question identique : le contrat social actuel nous représente-t-il encore ? Ou devons-nous en écrire un nouveau ?

Un contrat post-moderne, qui ne soit plus basé sur le salariat, l’égalité abstraite, les promesses creuses, mais sur la liberté réelle, sur la vérité incarnée.

Reprendre le pouvoir

Il est temps de sortir de la cage. De refuser le rôle de victime, d’esclave, de bon élève. Il est temps de refuser le faux contrat social de l’homme et de la femme pour en inventer un nouveau, radical, libre, courageux. Un contrat qui commence par un acte simple : se casser. Prendre un billet. Partir. Filmer. Parler. Écrire. S’exposer. Revenir. Réussir.

Ou échouer. Mais en vivant.

Et après ? Quand tout s’est effondré

Une fois que l’on a tout quitté, il reste une chose : le silence. Pas le calme. Pas la paix. Un vrai vide. Pas celui qu’on fuit dans les métros bondés, ni celui qu’on comble à coups de notifications ou de soirées planifiées. Non. Un silence lourd, presque gênant. Celui qui surgit quand plus personne ne vous dit quoi faire, où aller, pourquoi exister. Quand il n’y a plus de statut à protéger. Plus de rôle à jouer. Seulement soi, face au mur.

C’est là que commencent les vraies questions. Pourquoi continuer ? Qu’est-ce qui vaut encore la peine ? Qu’est-ce qu’on veut transmettre, laisser, affirmer ? C’est un vertige. Un vertige effrayant pour ceux qui ont toujours avancé en suivant une carte dessinée par d’autres. Mais c’est aussi une opportunité. Une brèche. Un passage.

Dans cette brèche, quelque chose de rare peut naître : une vie à la première personne.

Sortir des anciens récits

Tout a été écrit par d’autres. Les règles, les valeurs, les objectifs, même les désirs. Depuis toujours, on est nourri à des histoires qui ne sont pas les nôtres. La fable du couple éternel, le rêve de la promotion, le fantasme de la réussite linéaire. Même l’idée de bonheur a été confisquée. On l’a enfermée dans des schémas absurdes, dans des images de magazines, dans des publicités mensongères.

Mais une fois sorti de ce théâtre, on peut commencer à écrire autre chose. Pas besoin de grand discours. Juste une phrase, un geste, une trajectoire. Ne pas chercher à tout révolutionner. Simplement se positionner. Dire « je ». Avec tout ce que cela implique de fragilité et de puissance.

Créer une éthique du réel

Quand on n’a plus de rôle imposé, il faut se créer une éthique. Non pas une morale venue d’en haut, figée, dogmatique. Mais un code personnel. Une forme d’exigence. De fidélité à soi. Car si personne ne vous surveille, si personne ne vous attend, si personne ne vous réprimande, alors la seule loi qui subsiste est intérieure.

Ce code ne se dit pas. Il se vit. Il se mesure à la capacité à se lever tôt sans obligation. À produire sans patron. À s’entraîner sans spectateurs. À refuser les compromis faciles, les distractions toxiques, les excuses confortables.

Être seul, c’est aussi être nu. Plus de prétexte. Plus de détour. Si on n’agit pas, c’est qu’on ne veut pas vraiment. Et cette lucidité peut brûler. Mais elle est aussi libératrice.

Repenser le lien

On ne peut pas rester seul tout le temps. Même les plus farouches solitaires finissent par chercher des visages, des mots, des gestes partagés. Mais la plupart des anciennes formes d’union sont devenues corrompues. Polluées par le calcul, la peur, la dépendance. Il ne s’agit pas de se replier, mais de réinventer.

Créer des liens non pas par besoin, mais par choix. Non pas pour combler un vide, mais pour prolonger une force. Des relations non hiérarchiques, non possessives, non formatées. Pas des copies de ce qu’on a fui. Des alliances nouvelles. Basées sur l’honnêteté, la clarté, le respect des distances. Et parfois, sur l’amour. Mais un amour qui ne cherche pas à retenir, à dominer, à soumettre. Un amour qui laisse respirer.

La mort comme point d’ancrage

Tout ce cheminement n’a de sens que si l’on garde en tête une chose : la fin est certaine. On meurt. Tous. Et souvent plus vite qu’on ne l’imagine. On peut se mentir, se distraire, se droguer au confort ou à l’agitation, mais cela n’empêche pas la réalité brute : chaque minute est un compte à rebours. C’est cette vérité, brutale et immuable, qui donne de la valeur à tout le reste.

Si l’on ne vit pas en gardant cette limite à l’esprit, on vit à moitié. On subit. On gaspille. Mais si l’on agit avec cette conscience, alors chaque instant devient un test. Une chance. Une responsabilité.

Et la question revient sans cesse : que vaut cette journée, si c’est la dernière ?

Refuser la posture victimaire

Le système est pourri, d’accord. Les modèles sont épuisés, c’est évident. L’époque est confuse, violente, cynique. Mais cela ne justifie pas l’inaction. Il y a un piège dans la critique permanente, dans le ressentiment, dans le sarcasme. Une forme de confort pervers. On finit par jouir du rôle de celui qui sait, qui voit, qui juge. Mais pendant ce temps-là, on ne fait rien. On observe. On commente. On attend.

Il faut renoncer à cette position stérile. Reprendre le risque de s’impliquer. De créer. D’échouer. De se tromper. Mais au moins, d’exister autrement qu’en spectateur aigri.

Un minimalisme offensif

Réduire. Simplifier. Alléger. Non pas dans une posture ascétique ou spirituelle. Mais comme un acte de résistance. Posséder moins pour avoir plus de marge. Couper les abonnements, les obligations, les dépenses idiotes. Vivre avec peu, mais vivre vraiment.

Ce n’est pas une fuite. C’est un choix stratégique. Se débarrasser du superflu pour pouvoir se concentrer sur l’essentiel. Sur ce qui compte. Ce qui construit. Ce qui ancre.

Avoir moins, pour être plus dangereux.

Trouver sa voix

Tout commence par là. Par cette vibration intérieure qu’il faut écouter, puis exprimer. Peu importe le médium : la parole, l’image, le texte, le son. Il faut sortir ce qu’on a en soi. Pas pour convaincre. Pas pour plaire. Pour exister. Pour affirmer. Pour explorer.

Parler, écrire, filmer, c’est tracer un chemin. Même si personne ne regarde. Même si personne ne comprend. Même si ça ne marche pas. Ce n’est pas le but qui compte, c’est l’intensité du geste. L’alignement entre ce qu’on ressent et ce qu’on fait.

Être vrai. Même si c’est flou. Même si c’est maladroit. Même si c’est dérangeant.

Accepter l’inconfort

Tout ce parcours est inconfortable. Rien n’est donné. Rien n’est garanti. Il faut se lever seul. Se battre seul. Avancer dans le brouillard. Subir les coups. Essuyer les refus. Regarder les autres réussir avec des méthodes que vous refusez. Et continuer. Sans jalousie. Sans haine. Avec lucidité.

Car le confort est une drogue lente. Un poison invisible. Il endort. Il érode. Il détruit sans douleur. L’inconfort, lui, est dur, mais sain. Il aiguise. Il réveille. Il forge.

Il faut apprendre à aimer ce feu.

Conclusion : ne plus jamais revenir en arrière

Ceux qui ont franchi cette ligne ne peuvent plus faire machine arrière. Une fois qu’on a goûté à la liberté réelle, même imparfaite, même précaire, le retour est impossible. Reprendre un poste ? Se plier à des règles absurdes ? Faire semblant ? Non. Plus jamais.

Même si la route est dure, même si l’isolement pèse, même si les revenus tardent à venir, la direction est claire. Ce n’est plus une question de confort, ni même de réussite. C’est une question de dignité. De cohérence.

Il ne s’agit pas de fuir. Il s’agit de vivre autrement. De façon plus honnête, plus risquée, plus intense. De se réapproprier ses choix, son énergie, son temps.

De dire : « Je refuse ce qu’on m’a proposé. Je choisis autre chose. Et même si je ne sais pas exactement quoi, je le chercherai moi-même, sans tuteur, sans autorisation. »

Et cela, aucun système ne peut le récupérer.

 

Conclusion  : ne plus jamais revenir en arrière

Ceux qui ont franchi cette ligne ne peuvent plus faire machine arrière. Une fois qu’on a goûté à la liberté réelle, même imparfaite, même précaire, le retour est impossible. Reprendre un poste ? Se plier à des règles absurdes ? Faire semblant ? Non. Plus jamais.

Même si la route est dure, même si l’isolement pèse, même si les revenus tardent à venir, la direction est claire. Ce n’est plus une question de confort, ni même de réussite. C’est une question de dignité. De cohérence.

Il ne s’agit pas de fuir. Il s’agit de vivre autrement. De façon plus honnête, plus risquée, plus intense. De se réapproprier ses choix, son énergie, son temps.

De dire : « Je refuse ce qu’on m’a proposé. Je choisis autre chose. Et même si je ne sais pas exactement quoi, je le chercherai moi-même, sans tuteur, sans autorisation. »

Et cela, aucun système ne peut le récupérer.

Parce que ce n’est pas un discours, c’est une position. Pas une mode passagère, mais un ancrage. Une manière de marcher dans le monde avec les yeux ouverts. Même quand ça fait mal. Même quand tout pousse à baisser la tête. Même quand les autres vous regardent comme un fou, un marginal, un perdant.

La vraie victoire ne se mesure plus en chiffres, en médailles, en postes prestigieux. Elle se mesure dans le regard du matin, dans le silence du soir, dans la régularité d’un pas qui avance sans se trahir.

Et si cela signifie moins de confort, tant mieux. Si cela implique des ruptures, c’est le prix. Si cela demande du courage, alors c’est un honneur.

Le plus grand piège serait de faire semblant de changer sans vraiment changer. De troquer une cage dorée contre une autre. De reproduire les mêmes logiques sous un autre nom. C’est pour cela qu’il faut rester vigilant. Tranchant. Vigilant face à soi, surtout. Car l’ennemi le plus dangereux n’est pas extérieur. Il est dans la tentation de l’abandon, dans le vertige du compromis, dans l’appel du renoncement discret.

Tenir. Même seul. Même incompris. Même pauvre. Car dans cette ligne droite, il y a une richesse qui ne s’évalue pas. Une puissance que rien ne peut voler.

Il ne s’agit plus d’espérer. Il s’agit d’être. Totalement. Sans filtre. Sans travestissement.

Et ça, c’est déjà une révolution.

 

Mais il faut aussi être lucide : cette voie ne promet rien. Aucun diplôme, aucun statut, aucune garantie. Il n’y a pas de plan de carrière, pas d’échelle sociale à gravir. Il n’y a que soi, face à soi, tous les jours. Et parfois, ce soi-là déçoit. Il doute, il tremble, il faiblit. Il se compare, il envie, il se ment. C’est dans ces moments-là que beaucoup retournent dans les bras du confort, de l’oubli, du faux-semblant.

La liberté est brutale. Elle ne protège pas. Elle met à nu. Elle arrache les illusions. Elle fait sauter les masques. Et c’est ce qui la rend précieuse. C’est ce qui la rend vraie.

Ceux qui la cherchent sincèrement ne peuvent pas s’en contenter à moitié. Ils doivent brûler leurs bateaux. Supprimer l’option du retour. Et se jeter dans la construction d’eux-mêmes comme on se jette dans une bataille. Non pas pour briller. Mais pour ne plus trahir.

Car c’est bien là l’enjeu. La loyauté envers soi. Être fidèle à la voix intérieure, même lorsqu’elle murmure contre le vent. Même lorsqu’elle semble absurde, seule, étouffée dans le tumulte.

Ce monde propose des distractions, des sédatifs, des béquilles. Il n’a qu’une peur : qu’on se réveille vraiment. Alors il agite des récompenses, des statuettes, des likes, des crédits, des promesses d’amour conditionnel. Il crée une prison dorée pour chaque profil, chaque génération, chaque tempérament.

En sortir, ce n’est pas une performance. C’est une purification. Une désintoxication. Une chute libre vers l’inconnu.

Mais dans ce vide, il y a enfin de l’espace. De l’espace pour penser, pour créer, pour ressentir. De l’espace pour bâtir quelque chose qui nous ressemble, même de travers, même bancal, même incompris. De l’espace pour respirer enfin, sans masque, sans devoir plaire, sans se justifier.

C’est dans ce vide qu’on découvre ce qu’on a de plus solide. Ce qui reste quand tout le reste tombe. Ce qui ne peut plus être arraché.

La société peut nous ignorer, nous marginaliser, nous railler. Elle ne peut pas reprendre ce que nous avons conquis à l’intérieur. Elle ne peut pas voler cette force silencieuse, durement gagnée, au prix de mille morts symboliques.

On avance sans frime. Sans drapeau. Sans revendication. Juste avec l’exigence de ne plus trahir le peu qu’il reste de vivant en soi.

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