Ma fin imminente : Que ferais-je si je savais ma mort proche ?
La mort est l’un des sujets les plus difficiles à envisager, et pourtant, elle plane constamment au-dessus de nos vies. Que ferions-nous si on savait exactement quand notre fin arriverait ? Si la date fatidique était inscrite, gravée dans le marbre, comment cela changerait-il notre rapport à l’argent, au temps, au plaisir, à la vie ? Cette question, bien qu’angoissante, mérite qu’on s’y attarde sans tabou ni faux-semblants. Car derrière cette interrogation se cache une vérité troublante sur notre manière de gérer notre argent mort, ces sommes que nous amassons sans jamais vraiment en jouir, par peur de manquer plus tard.
L’incertitude de la durée de vie : le piège qui nous empêche de vivre pleinement
En général, nous vivons dans l’incertitude. On estime notre espérance de vie, on prévoit, on anticipe, on économise, on accumule. Mais on ne sait jamais quand notre existence prendra fin. Cette indétermination est à la fois une bénédiction et une malédiction. Elle nous pousse à préparer un avenir qui peut-être ne viendra jamais. On se dit : « Je dois économiser pour ma retraite, pour mes vieux jours, pour ne pas finir dans la misère. » On constitue ainsi des réserves, de l’argent mort, bloqué, inutilisé, figé dans l’attente d’un hypothétique demain.
Cette peur nous empêche de claquer tout ce que l’on a aujourd’hui, de profiter au maximum du présent. C’est un mécanisme psychologique classique : ne pas vider son coffre de peur de ne pas avoir assez pour demain. Mais si demain ne venait pas ? Et si, en vérité, cette thésaurisation empêchait notre vie d’être réellement vécue ?
Comment je vis aujourd’hui avec l’espoir d’une fin lointaine
Pour ma part, je vis avec une estimation prudente de ma fin de vie. Je me situe dans une espérance autour de 75 ans, ce qui me laisse environ 30 ans encore. Cela me permet d’envisager l’avenir avec une certaine sérénité, mais aussi avec une retenue dans mes dépenses.
Je suis minimaliste de nature. Malgré un patrimoine conséquent — rien à voir avec les fortunes extrêmes, mais suffisant pour faire partie des 1 % les plus riches — je garde un comportement frugal. Je ne me prive pas, mais j’achète souvent au rabais, que ce soit pour des petits plaisirs comme des repas ou des objets personnels. Je choisis des gourgandines pas trop fraîches, des repas simples, je compare les prix pour une raquette de badminton ou un vélo pliable. Ce sont des réflexes de pauvre, un blocage psychologique lié à l’incertitude de la fin. Même avec l’argent mort à disposition, j’ai du mal à lâcher prise.
Pourtant, avec l’âge, je commence à m’accorder plus de plaisirs : des restaurants un peu plus raffinés, des hôtels plus confortables, mais sans jamais ouvrir les vannes complètement. Je me retiens toujours, comme si je préparais une réserve pour un avenir incertain.
Scénario 1 : La fin dans 30 ans — une vie avec réserve
Avec 30 ans devant moi, je vis comme si je devais rationner mes dépenses, utiliser prudemment cet argent mort pour éviter la ruine avant la fin. Je ne me fais pas vraiment plaisir à fond, mais je savoure par petites touches. C’est une vie sous contrainte, mais aussi sous contrôle. Je suis dans une sorte de zone grise où l’on ne profite pas pleinement, mais où l’on ne gaspille pas non plus.
Scénario 2 : La fin dans 20 ans — le début de la libération
Si on me disait que ma vie ne durerait plus que 20 ans, tout changerait. Je pourrais alors envisager de dépenser jusqu’à 400 € par jour. C’est une somme conséquente pour s’amuser, pour goûter un peu plus aux plaisirs matériels, pour voyager un peu plus, pour choisir des gogos de meilleure qualité, pour prendre des restaurants de meilleure facture.
Avec une fin à 20 ans, la notion d’épargne excessive s’effondre. On veut vivre plus fort, plus intensément. Pourtant, même là, le réflexe du pauvre peut encore freiner. J’hésite encore entre choisir le moins cher et me faire plaisir pleinement.
Scénario 3 : La fin dans 10 ans — une explosion des dépenses et des plaisirs
À 10 ans de la fin, la logique change radicalement. Je pourrais dépenser jusqu’à 800 € par jour. Cela ouvre les portes du luxe, des voyages, de l’opulence contrôlée. L’investissement à long terme perd tout sens. Il faudrait vendre tous les biens immobiliers, toutes les actions à risque, liquider les actifs pour avoir tout en argent liquide, prêt à être dépensé.
C’est un horizon qui permet de planifier sérieusement : les voyages dans des lieux qu’on a toujours rêvé de voir, mais jugés trop chers, comme le Japon. Je me permettrai les meilleurs gogos, les top modèles, sans compter. La vie serait plus intense, plus riche en expériences, en qualité.
Scénario 4 : La fin dans 1 an — vivre à 8000 € par jour
Dans ce cas, la dépense quotidienne possible grimpe à 8000 €. C’est un saut dans une autre dimension. Plus question d’économies, mais d’explosion des plaisirs, de débauche contrôlée. On se donne carte blanche pour tester des expériences que l’on n’aurait jamais envisagées.
La nourriture serait probablement exclusivement haut de gamme, des restaurants étoilés Michelin plusieurs fois par jour, mais sans excès quantitatif. La qualité primerait sur la quantité. Je pourrais presque devenir fou à dépenser autant, surtout que je ne bois pas, ce qui limite les options habituelles pour claquer l’argent mort.
Scénario 5 : La fin dans 1 mois — 100 000 € par jour à brûler
Dans ce scénario, la dépense quotidienne atteint 100 000 €. Le challenge devient presque insurmontable. Même les plus grands hôtels, les plus belles femmes, les sorties les plus luxueuses peinent à absorber une telle somme.
Je ne possède pas de voiture ni de permis, alors difficile d’imaginer dépenser autant. Peut-être tomberais-je dans la folie. On parle ici d’une liberté totale, d’une absence de freins. La tentation de tout brûler est grande. C’est l’apothéose de la dépense, le summum de la jouissance.
Scénario 6 : La fin dans 7 jours — 400 000 € à dépenser par jour
À une semaine de la fin, on atteint un niveau où la morale, les lois, les conventions sociales perdent tout sens. On ne respecte plus rien, parce que tout s’arrête dans quelques jours. Cette dernière semaine peut être dangereuse, car on peut devenir incontrôlable, impulsif, violent.
L’argent mort cesse d’exister : il faut tout claquer, sans frein, sans limites. Le rêve de privatiser une rue entière, d’acheter toutes les femmes d’un club, de s’offrir tous les plaisirs en même temps devient réaliste. C’est la libération totale, l’abandon complet.
Scénario 7 : La fin dans 24 heures — 3 millions d’euros à brûler
Enfin, si la fin était dans 24 heures, le dernier jour de vie, la somme à dépenser pourrait atteindre 3 millions d’euros. Une vraie folie.
On pourrait privatiser toute une rue célèbre, manger où on veut, faire des folies sans nom. Mais même là, on peut ressentir une forme de retour aux plaisirs simples, comme une pizza. Car au fond, quand la mort est imminente, les luxes deviennent parfois dérisoires.
Dans ces dernières minutes, un dernier acte symbolique : uploader sa conscience dans un autre corps, une autre vie, une gogo danseuse, afin de continuer à exister autrement, ailleurs.
Argent mort : un paradoxe qui nous emprisonne
Au fil de ces scénarios, une évidence apparaît : l’argent mort est un paradoxe terrible. C’est ce capital accumulé, stocké, sans que l’on ose réellement le vivre, le brûler, le transformer en expériences. L’argent mort est ce poids invisible qui nous empêche de vivre pleinement parce qu’on craint la la mort de largent.
Ce paradoxe explique bien des comportements contradictoires. Même quand on pourrait claquer tout, on hésite, on rationne, on garde des réserves. L’argent mort devient alors une forme de prison psychologique, un fardeau plus qu’un atout.
Argent et la mort : une relation complexe et fascinante
Cette réflexion rejoint une vérité universelle : largent et la mort sont intimement liés. L’argent est conçu pour assurer la survie, prolonger la vie matérielle. Mais la mort est l’inéluctable qui annule toute possession.
On peut faire un parallèle avec des symboles célèbres comme le collier reliques de la mort dans l’univers de harry potter la, où la possession ultime ne donne pas l’immortalité. L’argent, quelle que soit sa quantité, ne peut rien contre la mort. Pourtant, on s’y accroche, on le chérit comme un espoir de sécurité.
Vivre avant de mourir : l’urgence oubliée
La vraie leçon, c’est qu’il faut apprendre à vivre avec la conscience de la fin, sans que celle-ci ne devienne une obsession paralysante. Savoir quand on va mourir pourrait libérer une énergie folle. On dépenserait, on profiterait, on vivrait comme jamais.
Mais la plupart d’entre nous restent piégés par cette peur, cette crainte d’épuiser leurs ressources trop vite. On accumule de l’argent mort, on stocke sans fin. Pourtant, la vie est courte, et le temps s’épuise.
Que feriez-vous si vous saviez votre fin imminente ?
À vous maintenant de vous poser la question : que feriez-vous si vous saviez précisément quand vous alliez mourir ? Claqueriez-vous tout ? Ou resteriez-vous dans la retenue, dans la peur ? Feriez-vous des folies ou continueriez-vous à rationner votre argent mort ?
Conclusion
Savoir sa fin imminente bouleverse totalement le rapport à l’argent, au temps, à la vie. Cela libère, mais peut aussi faire peur. Pourtant, ne rien savoir est pire, car c’est rester prisonnier de la gestion prudente d’un argent mort qui ne profite à personne.
Alors, que vous reste-t-il à faire ? Apprenez à vivre comme si vous alliez mourir demain, à dépenser, à jouir, à brûler cet argent mort qui vous emprisonne. Profitez de chaque instant, car la vie est un cadeau fragile.
Si vous voulez, vous pouvez me dire ce que vous feriez si votre vie était aussi éphémère que dans ces scénarios. En attendant, profitez bien de chaque jour, car largent sa vie mort ne vaut rien s’il n’est pas vécu.
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